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Antidote - Page 93

  • Quick : halal avec l'argent public

    fapubs93.gifComme personne ne semble s’en être avisé, je signale aux gens qui se plaignent ces temps-ci de ce que la société Quick promeut la viande halal (et donc finance l’islamisme via la certification halal) que le capital de la société Quick est détenu à hauteur de 94 % par CDC Capital Investissement, elle même filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations, donc par l’État français.

    Peut-être un spécialiste de la loi de 1905 versé aussi dans les finances publiques pourrait-il nous dire si c’est permis de donner de l’argent aux sacrificateurs halal quand on est l’État français, via une activité concurrentielle d’un machin comme la CDC.

    Notons que le résultat net de Quick en 2007 était une perte d’un milliard et demi d’euros. Quand on vous dit que c’est des génies financiers les X-ena…

    Ajoutons le petit baratin de la CDC sur son site :

    Un groupe unique
    Le groupe Caisse des Dépôts est un « groupe public au service de l’intérêt général et du développement économique ».

    Créé en 1816, pour restaurer la confiance suite à la crise financière. Sa mission première est de « recevoir, conserver, rendre les valeurs qui lui sont confiées ».

    Depuis, ses missions n’ont cessé de croître pour répondre aux urgences du pays.

    Source : Nations Presse Info

  • Rivarol cette semaine

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  • Non aux minarets en Europe !

    spieler.JPGPar Robert Spieler

    Délégué général de la

    Nouvelle Droite populaire


    Imposons aux tyrans la volonté du peuple.


    Exigeons un référendum populaire européen.


    Le peuple suisse, aidé il est vrai par un système authentiquement démocratique, grâce au référendum d’initiative populaire, a décidé d’interdire la construction de minarets : émotion considérable chez les lobbys et leurs représentants qui ont, grâce à leur puissance financière, pris le pouvoir en Europe. Certains, tels Cohn-Bendit et Kouchner, exigent même un nouveau vote en Suisse. Quand le peuple vote mal, terrorisons-le, affamons-le, brisons-le, et puis, s’il est nécessaire, changeons de peuple. Cette pratique typiquement bolchevique a entraîné au cours du XXème siècle quelques centaines de millions de morts, mais ceci est un détail de l’Histoire (je fais le pari que je ne serai jamais poursuivi par les ligues vertueuses pour cette affirmation…).


    Exigeons l’organisation d’un référendum populaire européen.


    Est-il possible de consulter les peuples européens par un référendum qui poserait la même question que celle qui fut posée aux Suisses ? La réponse est négative. Que prévoit le Traité de Lisbonne ? C’est à la Commission et au Parlement d’examiner une telle demande. Il faut qu’un million de personnes d’un nombre « significatif » de pays en fasse la demande. Le « nombre significatif de pays» n’est pas encore défini et devrait l’être par un vote règlementaire du Parlement. Qui, quand, où et comment ? Aucune réponse à ces questions. En clair, rien n’est encore fixé pour l’application de cet article .Le jour où le règlement existera, cela ne signifiera absolument pas que, nonobstant les millions de signataires, qu’un tel référendum devra être obligatoirement organisé. La Commission et le Parlement auront à examiner la proposition, sans obligation cependant de la soumettre à quelque référendum que ce soit. On imagine la suite…


    Une pétition européenne : « Pas de minarets en Europe. Nous exigeons un référendum ».


    Nous proposons l’organisation d’une pétition européenne sur le thème « Pas de minarets en Europe ». Nous verrons bien si les tyrans pourront résister à la détermination de millions d’Européens.


    Nous ne sommes pas seuls à œuvrer dans ce sens. Nos amis allemands de Pro-Köln qui ont mené un combat courageux contre la grande mosquée de Cologne, sont à la pointe du combat et exigent, comme nous, l’organisation d’un référendum européen. Mario Borghezio, député européen de la Lega Nord italienne est mobilisé. Nos amis autrichiens, flamands, espagnols, hollandais, etc…aussi. Partout, en Europe, les forces nationales et identitaires de la Résistance se lèvent !


    Alors ? Mobilisation européenne !


    Oui, l’Europe doit rester européenne. Une grande manifestation européenne aura lieu en Allemagne fin mars contre la construction de mosquées sur notre continent. Des milliers de manifestants se réuniront, dans la Ruhr, pour dire au cœur de l’Europe leur refus de l’invasion. Toutes les forces combattantes de la résistance européenne seront présentes.


    Simultanément, en France et en Allemagne, se dérouleront des élections régionales. Ce sera une magnifique occasion pour les forces nationales et identitaires de nos deux pays de démontrer leur volonté de résistance.


    Chez nous, des listes d’union et de rassemblement de la Nouvelle Droite Populaire, du MNR et du Parti de la France donneront aux Français la possibilité de manifester leur attachement à une France française dans une Europe européenne.


    Espérance, rassemblement et résistance !

  • Contre l'islamisation de la France : soutenez la Nouvelle Droite Populaire

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    La Nouvelle Droite Populaire est en campagne permanente afin de sensibiliser les Français contre l'islamisation de notre pays.

    Dans les jours qui viennent, elle va publier deux nouveaux autocollants à cet effet.

    Commandez-les dès maintenant !

    Bulletin de commande

  • Non à la remise en cause de l’histoire et de la géographie en terminale scientifique

    PDF.jpgUn communiqué du Parti de la France :

    Le Parti de la France réprouve la décision de rendre optionnel l’enseignement de l’histoire et de la géographie en terminale scientifique par le ministre de l’Éducation nationale, Luc Chatel.

    Si cette réforme entrait en application, en supprimant l’enseignement de l’histoire depuis 1945 et l’étude de « l’espace mondial » en géographie, les futurs bacheliers scientifiques seraient privés des moyens d’intégrer les clefs d’explication du monde contemporain

    Mais la réforme du lycée dépasse le simple cadre de cette question. En effet, si, sur la base de trois années de lycée, un élève de section S perdra 54 heures d'histoire et de géographie, il devrait perdre également 198 heures d’enseignements scientifiques. Toujours sur la base de trois années de lycée, un élève de la section L perdra 54 heures d'enseignements littéraires et les mathématiques se verront sacrifiées en première.

    Dans les faits, le ministre de l’Éducation nationale du gouvernement Sarkozy ne fait que poursuivre la politique éducative lancée par le socialiste Lionel Jospin, dont le but était d’utiliser l’Éducation nationale comme un outil politique de réduction des inégalités sociales en y supprimant, dans la mesure du possible, toute sélection, ce qui a entraîné un arasement du niveau et un accroissement des inégalités sociales, les classes les plus aisées remédiant à la baisse du niveau collectif par des cours particuliers en faveur de leurs enfants. L’objectif du gouvernement et de la gauche est évidemment de parvenir au lycée unique comme ils ont imposé le collège unique sans souci de niveaux, ce qui a abouti à créer des classes fourre-tout ingérables par les professeurs et à obtenir des élèves d’un niveau catastrophique à leur sortie du collège. Il est assez comique de constater que le ban et l’arrière ban des socialistes signent une pétition contre cette mesure alors qu’elle se situe dans le droit fil de ce qu’ils souhaitent faire, l’élimination de tout « élitisme » dans l’Éducation nationale, sauf pour leurs enfants, évidemment, qui se retrouveront dans les meilleures écoles privées, comme l’école alsacienne.

    Si cette politique éducative promue par la gauche et la droite, depuis trente-quatre ans (réforme Haby), est poursuivie, l’Éducation nationale produira de plus en plus de citoyens sous développés intellectuellement, incapables de comprendre le monde dans lequel ils vivent et surtout dénués de tout esprit critique, bref des individus interchangeables, malléables et sans identité qui s’intégreront parfaitement au sein d’une économie globalisée.

    Le Parti de la France rappelle que le rôle de l’Éducation nationale est avant tout de transmettre des savoirs et des méthodes de travail, que le but d’une véritable politique éducative est de faire progresser le niveau des élèves et non le contraire. Nous demandons par conséquent que l’enseignement de l’histoire et de la géographie soit maintenu dans les terminales scientifiques et que le gouvernement revienne sur la diminution programmée des heures de cours au lycée et, qu’avant tout, il mette fin au collège unique.

  • Les architectes de la grande mosquée de Marseille attaquent le Front National en justice

    nonmosquee0-1.gifCommuniqué de presse du Front National des Bouches du Rhône.

    Le Front National des Bouches du Rhône est attaqué en Justice par les architectes de la grande mosquée de Marseille.

    Les plaignants demandent la saisie du tract dénonçant le projet de grande mosquée qui a été distribué lors de la visite du marché de Noël et qu’ils estiment polémique.

    L’affaire sera jugée devant le Tribunal de Grande Instance de Marseille le lundi 7 décembre 2009 à 14 heures.

    Tous les Marseillais désireux de défendre la liberté d’expression et l’identité de leur ville sont invités à venir soutenir Maître de Saint-Just au TGI de Marseille lundi à 14h.

  • Quand Charles Trenet chantait Paris et sa banlieue

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    La banlieue était leur vrai domaine
    Ils partaient à la fin de la semaine
    Dans les bois pour cueillir le muguet
    Ou sur un bateau pour naviguer.
    Ils buvaient aussi dans les guinguettes
    Du vin blanc qui fait tourner la tête,
    Et quand ils se donnaient un baiser, oui!
    Tous les couples en dansant se disaient :

    {Refrain:}
    C'est la romance de Paris,
    Au coin des rues elle fleurit,
    Ça met au cœur des amoureux
    Un peu de rêve et de ciel bleu,
    Ce doux refrain de nos faubourgs
    Parle si gentiment d'amour
    Que tout le monde en est épris :
    C'est la romance de Paris!

    Charles Trenet (La romance de Paris)

  • Le feu au lac contre l'Europe d'en haut

    Philippe Randa.JPGJules Renard écrivait au XIXe siècle : « Le peuple, oui, à condition de ne pas voir sa gueule ! ». C’était alors une remarque fort peu sociale, on en conviendra. Aujourd’hui, si le social est encore dans les préoccupations quotidiennes des « Européens d’en bas », il obsède rarement les médias et les donneurs de leçons professionnels, plus préoccupés de politiquement correct.

    Pour eux, en ce début de XXIe siècle, « le peuple, oui, à condition de ne pas tenir compte de son avis quand il vote mal »… car sinon, que faire sinon le dissoudre, ainsi que le préconisait le si sympathique et tellement marxiste dramaturge allemand Bertolt Brecht ?

     

    Nos dirigeants français ont bien compris en 2005 la douloureuse leçon : la Constitution européenne ayant été refusée à sa plus grande stupéfaction par les électeurs lors d’un référendum, ils ont imposé le traité de Lisbonne grâce à leurs parlementaires, trop soucieux de préserver les multiples avantages de leurs fonctions.

     

    Ce week-end, nos voisins helvètes étaient appelés à s’exprimer pour ou contre de nouvelles constructions de minarets surplombant les mosquées. Leur réponse est sans ambiguïté : plus de 57 % les refusent. Réponse claire, nette… et bien évidemment intolérable !

     

    À l’exception notable de l’ex-Garde des Sceaux et désormais eurodéputée Rachida Dati(1), le tollé médiatique ne s’est pas fait attendre. De l’ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin qui déclare sur BFMTV que le résultat du référendum en Suisse prouve que « tout ne peut pas être décidé par référendum » – on se demande bien pourquoi ? Sinon le risque pour certains de quelques déconvenues comme celle du week-end– à l’actuel ministre des Affaires étrangères, ex-socialiste, Bernard Kouchner, « scandalisé par cette décision » et qui espère que « les Suisses reviendront (dessus) assez vite », ne cachant même pas ainsi un sous-entendu fort explicite : que la Suisse organise un nouveau vote, mais cette fois réservé à leurs seuls parlementaires pour annoncer ensuite sans doute et sans vergogne une grande victoire de la tolérance, de la démocratie, de la lutte contre les extrêmes et toutes ces sortes de choses…

     

    Ces braillements indignés résonnent toutefois de plus en plus dans le vide… Ainsi, le journaliste Ivan Rioufol s’interroge dans Le Figaro (30 novembre) : « Où est l’intolérance ? Chez les Suisses, comme l’a déclaré Bernard Kouchner ce lundi matin (RTL) en critiquant leur vote contre les minarets (à 57,5 %), ou chez le ministre des Affaires étrangères, refusant d’accepter la règle démocratique ? » et qui rapporte qu’« invité à débattre ce matin(-là) sur Europe 1 (entre 13h10 et 13h20), (il a) pu constater que la station ne pouvait diffuser, faute de contradicteurs, que des commentaires d’auditeurs approuvant le vote. Une semblable consultation, en France, donnerait probablement des résultats similaires tant l’exaspération contre le politiquement correct semble être devenu un dénominateur commun, partout en Europe. »

     

    Consultation, d’ailleurs, qui a actuellement lieu sur le site de l’hebdomadaire L’Express qui lance ainsi le premier référendum (ou sondage) sur la question en France ; on notera qu’il y a bien longtemps qu’il n’y a pas eu autant de participation : 19 000 réponses dans les 12 heures contre 2 800 sur l’identité nationale en une semaine.

     

    Ce qui donne tout de même à réfléchir… et à constater que malgré quatre décennies passées par « l’Europe d’en haut » à vanter les bienfaits de l’immigration, à culpabiliser l’homme blanc de son lourd fardeau, à imposer une démocratie de plus en plus totalitaire et à formater ses peuples selon sa logique mercantile, l’échec est notoire.

     

    Alors, oui, on ne peut que se réjouir du résultat de la votation suisse, même si l’on peut s’interroger sur certains de ses aspects, comme le fait très pertinemment Christian Bouchet dans sa chronique« Référendum anti-minarets, quelle victoire ? (vox-nr)

     

    NOTE


    (1) Interrogée sur France Inter, Rachida Dati s’est refusée à critiquer le mode de scrutin d’un pays « totalement démocratique comme la Suisse », considérant que la votation « est ce qu’il y a de plus démocratique » et qu’elle n’a pas à critiquer la réponse des électeurs ; ce qu’elle aimerait connaître, c’est pourquoi ils ont répondu ainsi à cette question et qu’elle ne croit pas « qu’ils aient répondu à une question d’urbanisme » comme l’a si finement estimé le chef de l’UMP, Xavier Bertrand.