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Antidote - Page 92

  • Ils n'ont rien compris, rien appris, rien retenu

    Sécurité : les socialistes proposent tout sauf s'attaquer aux délinquants


    On apprend par la presse officielle qu’une politique de sécurité spécifique à la gauche s’élaborerait dans des communes dirigées par des élus socialistes.

    Le journal Le Monde procède au décryptage de quatre politiques locales “de gauche” habillées pour faire sérieux dans des terminologies quasi scientifiques: l’analyse de ces politiques

    - Aulnay-sous-Bois et la “riposte graduée”: en cas d’incident, on envoie d’abord une armée de “médiateurs”, puis la police municipale. “Notre idée, c’est que la police intervienne le moins possible”, souligne le maire qui admet ainsi avoir délégué à des intermédiaires locaux la souveraineté en matière de sécurité.

    - Lyon et la “prévention situationnelle”c’est-à-dire l’adaptation de l’urbanisme aux problèmes de sécurité. “On travaille sur l’éclairage, sur le choix de la végétation, sur les espaces publics mais aussi sur la mixité sociale et les flux de circulation pour anticiper les problèmes d’insécurité”;
    - Aubervilliers et les “citoyens référents”: Surtout, des “citoyens référents”, bénévoles, dotés d’une assurance et de téléphones portables, ont été désignés dans cinq quartiers pour alerter la municipalité des faits d’incivilité et de délinquance.

    - Toulouse et l’”office de la tranquillité” la mairie a créé un “office de la tranquillité” destiné à répondre, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, aux appels des habitants, notamment lorsqu’ils sont confrontés à des incivilités

    On le voit avec ces exemples concrets, les socialistes sont bien conscients des problèmes de sécurité; mais ils ont choisi d’agir mais avec l’obsession de ne pas s’attaquer à la racine du mal : médiation, politique de pot de fleurs, achat de la paix publique, accompagnement des victimes pour canaliser l’exaspération des honnêtes gens, délégation des missions de sécurité publiques à des autorités tiers, … mais en aucun cas, ils ne portent leur action sur les délinquants : expulsion des familles délinquantes des HLM, répression contre les fauteurs de troubles, identification des caïds et traitement policier et judiciaire approprié, expulsion dans leurs pays d’origine des étrangers délinquants, …

    Décidément, les socialistes n’ont toujours rien compris.

    Source : Altermedia

  • Meilleurs voeux pour 2010

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  • Synthèse Nationale numéro 16 est sorti

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    Au sommaire :

    Quand le rassemblement devient une réalité... l'éditorial de Roland Hélie

    La 3ème journée nationale et identitaire du 11 novembre dernier : Une réussite qui va au-delà de nos espérances... reportages.

    Agir groupés sur nos idées, par Annick Martin, Secrétaire générale du MNR

    Dossier : Débat sur l'identité, N'EST PAS GAULOIS QUI VEUT ! Contributions de Robert Spieler, Frédéric Pichon, Eric Lhuillier et Pierre Vial.

    Heinz Christian Strache, la deuxième marche sur Vienne a commencé par Lionel Baland

    Le temps d'Ordre nouveau, 40 ans après... par Philippe Pinson

    Quand Saint-Loup visait le Prix Goncourt... par Francis Bergeron

    Des articles et les rubriques de Jean-Claude Rolinat, Patrick Parment, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Vincent Vallois, Patrick Gofman, Pieter Kerstens, Nicolas Tandler, Gunther Palikao...

    132 pages, 12,00 €. En vente à la librairie Primatice (10, rue Primatice Paris XIIIème - métro Place d'Italie) et dans les bonnes librairies à la fin de la semaine.

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    Abonnement simple 50,00 €, abonnement de soutien 100,00 € (Chèques à l'ordre de Synthèse nationale)

    A retourner à (correspondance seulement) :

    Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

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  • Carte de France

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  • Rivarol cette semaine

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  • Les comptes redoutables de la Cour du même nom

    Article de Philippe Randa

    « À aucun moment, la réforme de l’État et de la fonction publique n’a été prise à bras-le-corps depuis vingt-cinq ans (…) Je ne veux pas vous proposer une politique de sacrifices où tout le monde est perdant. Je veux vous proposer une politique d’efforts où tout le monde est gagnant.
    C’est beau, c’est ambitieux, c’est généreux. Comme du Nicolas Sarkozy. D’ailleurs, « c’était » du Nicolas Sarkozy, le 19 septembre 2007, à Nantes. Il promettait ce jour-là, devant un auditoire de l’Institut Régional d’Administration.
    Tout le monde gagnant ? N’exagérons pas. Surtout pas après la sortie, ce mois-ci, du rapport de la Cour des Comptes intitulé « Les effectifs de l’État 1980-2008. Un état des lieux. »

    Philippe Seguin, Premier président de ladite Cour, très contrarié, ne mâche pas ses mots : « L’État a été très loin d’être exemplaire (...) parce que sa progression en apparence modérée masque son incapacité à s’adapter aux réformes de l’action publique qu’il a lui-même décidées (…) L’État aurait dû pourtant réduire sensiblement ses effectifs du fait de la décentralisation et de la montée en puissance des opérateurs public. »
    L’enthousiasme de l’électeur sarkozyste est quelque peu mis à mal ? Les nerfs du contribuables français excités ? Le simple observateur de la vie politique quelque peu estomaqué d’une telle distorsion entre promesse politique et réalité quotidienne ?
    »


    Philippe Seguin enfonce le clou : « (de plus) La progression modérée des emplois de l’État n’est (…) qu’optique, puisque ses missions sont désormais accomplies par d’autres structures, mais à ses frais. Les effectifs s’ajustent très peu à la baisse de la demande ou des besoins, mais sont au contraire très réactifs aux nouvelles sollicitations. C’est comme un yo-yo qui ne cesserait de monter et ne descendrait jamais. »
    Un exemple ? L’agriculture, puisqu’on en parle ces jours-ci. Enfin, plus exactement du revenu des producteurs : de 12 milliards d’euros en 2008, celui de la « ferme France » tombe à 8 milliards en 2009, soit -34 % de revenu agricole.
    « Un producteur de lait moyen (200 000 litres) gagne 700 euros de revenu par mois » (www.confederationpaysanne.fr).
    Ainsi, on lit dans les colonnes du Monde (16 décembre), « les effectifs du ministère de l’agriculture et de ses opérateurs ont doublé, alors que le poids de l’agriculture dans l’emploi et la richesse nationale était divisé par deux. »(1)


    Certes, tout le monde n’est pas forcément concerné plus que cela par la condition des paysans, considérés par les héraults moderne de l’écologie avant tout, voire uniquement, comme des salauds de pollueurs, qui plus est serial-chasseurs pour nombre d’entre eux.
    Alors, autre exemple qui interpellera davantage le citoyen-citadin : la police, dont les effectifs ont progressé de 20 % entre 1989 et 2006. Logique quand on apprend que nous avons un policier pour environ 250 habitants en France, contre un pour 303 en Italie et un pour 380 au Royaume-Uni.


    Et le président de la Cour des comptes de marteler : « Plus que le nombre de policiers, c’est bien la manière d’affecter, de gérer et d’organiser les missions des policiers qui est aujourd’hui déterminante. »
    Sans soute, puisque désormais, en France, on ne dit plus : « Quand on a besoin des flics, ils ne sont jamais là », mais « « Quand on a besoin des flics, il suffit de se mettre derrière son volant et ils accourrent. »
    Bon, ce rapport étant à notre disposition à quelques jours de Noël, tout le monde a autre chose en tête. Heureusement ! Imaginez qu’il ait été publié en février, la veille de la date limite de paiement de l’impôt sur le revenu par tiers provisionnel ? Cela aurait été à l’évidence d’un goût des plus douteux…



    Note
    (1) Le nombre d’agriculteurs est passé de 1 267 000 à 660 000 agriculteurs entre 1979 et 2006... alors que le nombre de fonctionnaires a progressé de 20 %, faisant ainsi apparaître un ratio de 1 agent pour 43 en 1979 à 1 agent pour 16, 5 en 2006.


    Source : Philippe Randa

  • Joyeux Noël

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