Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Chroniques de Pieter Kerstens

  • Trier les ordures : un devoir citoyen !

    Vidons les ordures politiques.JPGAprès la trêve des confiseurs et l'extinction des lampions, l'année 2020 démarre sur les chapeaux de roues. La tension américaine au Moyen-Orient aboutit à un dommage "collatéral" à Téhéran avec 176 passagers morts dans un avion abattu par un missile iranien. 
     
    Les incendies de forêts en Australie dévastent le pays dans des proportions gigantesques. Les spéculateurs boursiers sont à la fête et engrangent des profits inattendus et incongrus. De Hong Kong à Rio, et de Alger à Bagdad, les peuples manifestent leur mécontentement.
     
    On vit une époque formidable : les "Gilets jaunes" vont aller manifester pour le 60ème samedi consécutif et les syndicats radicaux poursuivent les grèves pour la défense de leurs privilèges, en contradiction avec la solidarité des travailleurs du secteur privé, moins bien lotis quant à leur retraite.
     
    Effectivement, si le combat contre la pollution de l’environnement est nécessaire, combattre la pollution des esprits est également indispensable.

    Depuis trop longtemps, les contribuables, les parents et les électeurs assistent béats à la destruction de notre civilisation par des technocrates qui imposent leurs schémas et leurs dogmes, au nom d’un égalitarisme impalpable.

    Quiconque s’oppose à cette décérébration mondialiste se voit taxer de « politiquement incorrect ». Ceux qui se battent depuis des années contre les valets de BIG BROTHER sont poursuivis en France, ou ailleurs en Europe, par la police de la pensée.

    Cela a trop duré ! Nous sommes responsables de l’héritage légué par nos ancêtres et du patrimoine que nos aïeux ont enrichi à force de ténacité et de sueur au cours des siècles. Nous devons en répondre devant nos enfants et leurs descendants. Socialement, économiquement et culturellement il est urgent d’opérer une révolution mentale.

    Il faut en finir avec la dictature socialo libérale qui permet l’ascension des parasites au détriment de l’individu compétent. Il faut en finir avec la Nouvelle Religion « droit de l’hommiste » qui génère la crapule s’imposant face aux honnêtes gens. Il faut punir ce régime de pourriticards qui a enfanté des bataillons de corrompus, petits et grands, en ridiculisant les personnes intègres.

    La Liberté doit accoucher d’un Front du Refus. Quand l’oisiveté et le vice prennent le pas sur la compétence et l’efficacité, alors la révolte se justifie par des rejets populaires. La rébellion des « Gilets jaunes » en est la parfaite illustration, avant sa récupération par les activistes gauchistes.

    Pourquoi? Parce que :

    * les parents ont vu s’effondrer les jalons qui garantissaient un enseignement de qualité et vu aussi la violence envahir les salles de cours, parce que la discipline est absente !

    * les enfants ont constaté que de nombreux diplômes ne leur permettaient que l’accès au chômage. Par ailleurs, il existe aussi plus de 1.500.000 analphabètes dans l’Hexagone. Surprenant.

    * les patrons, artisans et commerçants sont spoliés par l’Administration et ne sont plus défendus par leur corporation. En 2019, la pression fiscale atteint 46% du PIB, la plus forte du monde et pour la seconde année consécutive.

    * les automobilistes, englués dans des bouchons sans fin, sont cloués au pilori pour le moindre prétexte et proprement rackettés par les taxes, accises et autres amendes.

    * les contribuables français voient d’année en année leurs impôts et les taxes augmenter et le gouffre de la dette s’approfondir (2.432 milliards € au 12 janvier 2020, soit 38.726 euros par habitant : c’est criminel). Chaque jour la dette augmente de 230 millions d’euros !

    Partout, le malaise est palpable et c’est ce que nous constatons tous les jours dans nos quartiers : l’envahissement de notre économie par des multinationales étrangères, le métissage de notre population par une immigration hors contrôle et l’insécurité permanente dans nos rues et transports publics.

    Trois aspects de notre quotidien imposés par les laquais du mondialisme et les gourous du multiculturel. Leur échec est évident !

    Pour sortir du gouffre, il faudra donc éliminer les incapables et trier les ordures politiques lors des prochains scrutins.

    Pieter Kierstens

  • L'Asie aux Asiatiques, l'Afrique aux Africains, l'Europe c'est chez nous !

    Il est stupéfiant de constater que les libres penseurs et les laïcistes se taisent à ce sujet, alors même qu’avec le renfort des socialo marxistes, durant des décennies ils ont vidé les églises pour remplir les mosquées. On peut les accuser d’être complices d’une réelle « colonisation ».

    Or, la politique du multiculturel et du pluriethnique avait déjà suscité l’analyse suivante d’ARISTOTE, philosophe grec et disciple de PLATON, né quatre siècles avant notre ère :

    « L’absence de communauté nationale est un facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation.

    Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard et elle a besoin de temps pour se coaguler.

    C’est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre. »

    Ce constat, d’une clairvoyance limpide, n’a pas pris une ride 25 siècles plus tard ! Et d’ailleurs, Merkel, Cameron et Sarközy ont reconnu en septembre 2010 que le « multikulti » était un réel échec.

    Les euros mondialistes, adeptes des dogmes sectaires imposant une « société plurielle » au service d’un métissage généralisé, imaginé, planifié et imposé aux peuples d’Europe, nous conduisent vers un affrontement et un choc de civilisations. Il suffit de voir ce qui se passe dans les banlieues et dans nos écoles pour s’en rendre compte.

    Le politiquement correct, la police de la pensée et les lois liberticides mises en place depuis 40 ans, interdisent toute prise de conscience populaire face à ce défi du 21ème siècle :

              « OSER PENSER, OSER AGIR »

    La grande majorité des individus, homo-consuméris, se préoccupe bien plus de ses biens matériels quotidiens que du devenir et du futur de ses enfants. Matraquée à longueur de journée par la propagande anesthésiante du Régime, cette majorité ne se soucie plus de l’intérêt des nations ni des fondements historiques de l’Europe, pour lesquels nos parents et nos aïeux ont combattu.

    C’est bien grâce aux sacrifices de nos ancêtres que nous connaissons aujourd’hui un niveau de vie incomparable à de nombreux pays dits « émergents » et autrefois sous-développés.

    Notre devoir de mémoire impose aussi cette réalité, face au déferlement des informations étatiques basées seulement sur l’émotionnel et privilégiant le principe de « précaution ».

    Fuir la réalité et dénier la liberté d’expression aux opposants du Nouvel Ordre Mondial et aux adversaires du capitalisme apatride, relève du totalitarisme pur et simple et peut se comparer à une Nouvelle Inquisition ! Si l’on y rajoute la nouvelle religion Droits-de-l’Hommiste et la dictature des « minorités visibles » on peut comprendre pourquoi nous sommes en pleine décadence.

    Il est l’heure de battre le rappel des bonnes volontés, des individus déterminés et des élites indispensables qui, avec efficacité et abnégation, pourront rendre l’Europe aux Européens, enfin débarrassée des prédateurs de nos peuples :

     « ILS SONT VENUS MALGRÉ NOUS.

               ILS PARTIRONT GRACE À VOUS ! »

     Pieter KERSTENS.

  • GOULAG et LAOGAI, piliers des démocraties « populaires »

    made in China.25.02.2018.jpg

    La mafia de l’Internationale Socialiste et ses complices écologistes, libéraux et capitalistes nous ont imposé depuis des lustres une omerta sur les camps de concentration et les camps d’extermination construits par les républiques « socialistes » et « démocratiques » dans le monde entier.

    Les intellectuels et les médias de toutes obédiences ont enterré dans les fosses du devoir d’oubli les dizaines de millions de victimes de ces camps de la mort.

    Si les camps de concentrations allemands ont pu symboliser la destruction d’un peuple par un autre, le GOULAG, lui, a symbolisé la destruction d’un peuple par lui-même.

     Les Européens ont pu prendre connaissance de l’extermination de certaines populations russes classifiées comme « ennemies » par le Comité Central du Parti Communiste, lors du XXème Congrès du PCR quand en 1956 Nikita Khroutchtchev révèle les crimes de Lénine et de Staline et dénonce le Goulag. Ce n’est qu’en 1962 qu’Alexender Soljenitsyne publie son premier récit dans la revue Novy Mir, intitulé « Une journée d’Ivan Denissovitch » véritable message de désespoir, qui sera suivi quelques années plus tard par ses ouvrages « Le pavillon des cancéreux » et « L’archipel du Goulag », descriptif incontestable de l’enfer des camps de la Vorkouta, de l’Archipel d’Ozerlag ou de la Kolyma, entre autres régions concentrationnaires.

    Mais des figures de proue comme Louis Aragon, Simone Signoret, Yves Montand et Jean-Paul Sartre se montreront toujours les ardents défenseurs du « Paradis Soviétique », à l’exemple plus tard de Jean Ferrat qui, lui, chantera les louanges du système communiste avec la foi et la conviction des idiots utiles.

     

    Le Glavnoïe   Oupravlennïe   Laguereï, c’est la direction générale des Camps.

     Les détenus étaient appelés « ZEKS » et sous emprise directe de la Tchéka en 1917, puis du

    Guépéou en 1922, du NKVD en 1934, du NKGB en 1941, du MGB puis du MVD en 1946, du KGB en 1954 et enfin du FSB depuis 1991.

    Juste après la révolution russe de 1917, une terrible famine ravage les régions de la Volga, conséquence de la politique bolchevique. En 1921-1922, elle entraine la mort de 5 millions de personnes, dont une majorité d’enfants. On vous en a parlé ?

    Pour collectiviser les terres, en éliminant la paysannerie, Staline organise en 1933 une famine contre les Ukrainiens, appelée « Holodomor ». On estime que cette politique fit 6 millions de victimes et que les cas de cannibalisme sont si fréquents que les bolcheviques font imprimer une affiche « Manger son enfant est un acte barbare »*.

    Dépassant les crimes individuels, par les massacres ponctuels et circonstanciels, les régimes socialauds-communistes ont, pour affirmer leur pouvoir, érigé le crime de masse et les déportations en véritable système de gouvernement.

    Cette efficacité de la terreur et la « mémoire » qu’elle entretient contribue à assurer leur crédibilité.

    D’autres pays ont adopté cette efficacité répressive : la Chine de Mao, la Corée du Nord de Kim Il Sung, Cuba avec Fidel Castro et l’ignoble Ernesto « Che » Guevara, l’Ethiopie de Mengistu, l’Angola de Augusto Neto, l’Afghanistan de Najibullah sans oublier le Vietnam de l’Oncle Ho et le Cambodge de Pol Pot le « libérateur du Kampuchéa »…

    Selon leur condamnation, les délinquants sont envoyés dans différents types d’établissements pénitentiaires de rééducation :

    Colonies de peuplement et de travail correctif  -  Colonies à régime normal

    Colonies à régime renforcé  -  Colonies à régime sévère  -  Colonies à régime spécial.

    Un choix large permettant au juge d’envoyer les zeks selon son humeur, afin qu’ils participent par le travail à retrouver les voies du paradis communiste. Car dans l’URSS de 1917 à nos jours, tous les prisonniers constituent une main-d’œuvre gratuite permettant au régime d’exporter des produits à bas prix. Hier, comme aujourd’hui, car les camps n’ont jamais disparus, ni en Russie de Vladimir, ni en Chine de Xi Jinping !

    Il faut également se souvenir qu’entre 1937 et 1951, Joseph Staline fit déporter plus de 3 millions de personnes habitants en URSS ;  des Polonais, des Coréens, des Baltes, des Allemands soviétiques, des Karatchaïs, des Kalmouks, des Tchétchènes, des Balkars, des Tatars de Crimée, des Bulgares, des Meskhètes-Turcs, des Lithuaniens, des Lettons, des Estoniens, des Arméniens ou encore des Moldaves, parmi les 130 ethnies qui peuplaient  les Républiques Socialistes Soviétiques.

    Le grand ordonnateur de ces « peuplements spéciaux » fut Lavrenti Pavlovitch Béria, chef de la police secrète (Guépéou, puis NKVD), Commissaire du Peuple au Affaires Intérieures, fondateur du Comité Juif Antifasciste et organisateur de la répression des forces contre-révolutionnaires dans les pays libérés de l’Europe de l’Est de 1947 à 1953.

     En 2013, les Fils du Ciel exploitaient 1045 Laogaïs dans l’Empire du Milieu.

     Ces camps de « réforme par le travail » représentent une ressource capitale pour l’agriculture et l’industrie. Les 4 millions de prisonniers constituent une main d’œuvre captive, non rémunérée, prémices mêmes du développement de l’économie chinoise de ces 25 dernières années.

     Ces « Laogaïs » sont différents des « Laojiao » -camps de « rééducation  par le travail »-  où ne sont détenus que les individus dont la peine ne doit pas dépasser 4 ans pour des délits mineurs (vols, trafics de drogue ou prostitution), prisonniers contribuant eux-aussi gratuitement à l’essor économique de la Chine.

    Cette différence, fondamentale aux yeux des asiatiques, est bien évidemment à comparer à toutes les nuances et aux délicatesses de la gastronomie chinoise ; nuances de la souffrance et de la cruauté méconnues des Européens.

     Comme pour le système concentrationnaire des Goulags soviétiques, les Européens se sont toujours montrés très discrets à propos de l’existence des Laogaïs chinois.

    Prenant exemple sur le Rideau de Fer soviétique, Mao avait dressé un Rideau de Bambous dès la proclamation de la République Populaire de Chine le 1er octobre1949. Mais l’un des premiers témoins, rescapé de l’enfer de ces camps, fut Jean Pasqualini (Bao Ruo-wang 1926-1997), écrivain franco-chinois, prisonnier des Laogaïs durant 7 ans dont le récit « Prisonnier de Mao » a été édité par Gallimard en 1975. C’est en 1976 que Simon Leys (alias Pierre Ryckmans), écrivain, historien de l’art et sinologue apporte son témoignage « Images brisées » paru chez Robert Laffont.

     Les écrits et les témoignages concernant les camps de concentrations en Chine, sont rares.

    La chaîne de TV  ARTE  avait diffusé le 4 juin 2014 un reportage de B.Fallevoz sur le Shuanggui, puis le 27 août 2015 un documentaire sur « Laogaï, les travaux forcés chinois » et enfin le 9 septembre 2015 un nouveau récit « Laogaï le Goulag chinois », vidéo indisponible actuellement. Le documentaire vidéo le plus intéressant « China’s labor camp secret / China Uncensored » a été diffusé le 16 janvier 2014 (W8sGJwsUFw4).

    Et dans les médias, comme dans l’enseignement, peu nombreux sont ceux qui nous parlent de ce système de terreur au service du pouvoir Chinois.

     Quel pays a donc osé boycotter les Jeux Olympiques de Pékin en 2008 (204 nations participantes), comme cela c’était passé pour ceux de Moscou en 1980 (80 nations) alors qu’en 1972 à Munich, il y avait 121 pays représentés ?

    2 raisons primordiales auraient dû conduire les Européens à condamner ces J.O :

    1. L’invasion du Tibet par la Chine et son occupation militaire depuis 1950, forçant l’actuel dalaï-lama Tenzin Gyatso à l’exil, en 1959.
    2. Le système des camps de concentrations -le Laogaï- instauré par Mao et toujours en activité.

     Le « Grand Timonier »  a aussi été le plus grand boucher du XXème siècle.

     Ce qui est symptomatique du désintérêt des internautes à ce sujet, c’est bien le nombre de visions des vidéos disponibles sur la Toile : parmi la douzaine (et interviews) figurant sur Youtube, aucune ne dépasse les 40.000 visions et la majorité n’a intéressé que moins de 10.000 internautes. Les membres du Comité Central du Parti Communiste Chinois ne doivent donc pas se faire de soucis pour ce qui concerne les critiques, les condamnations, les manifestations, pétitions et boycotts des produits « made in China »…

    Les « bonnes âmes » et associations Droits-de-l’Hommiste concentrent toute leur énergie pour condamner le président américain Donald Trump, coupable de dérives « racistes », mais ignorent les milliers de décès quotidiens dans les laogaïs !

     L’un des témoins principaux Harry Wu, décédé le 27 avril 2016, a été enfermé 19 ans dans les camps de concentration chinois (de 1960 à 1979) et avait été interviewé par Bernard Pivot le 17 janvier 1997, dans « Bouillon de culture ». Selon cet ancien détenu, « Une priorité : survivre ! Un combat : manger !». Dans ses écrits, Harry Wu raconte aussi les effroyables famines, les actes de cannibalisme et les macabres trafics d’organes auxquels se livraient les services de l’Etat chinois.

     Cet héritage de Mao assure la pérennité du Système et renforce ses assises. Car Mao Tsé-Toung (1893-1976) a été le fondateur du Parti Communiste Chinois –PCC- en 1921. Membre du Comité Central du Kuo-Min-Tang (KMT) en 1924, auquel s’est allié le PCC.

    Il engage la guerre civile contre Tchan Kaï-Chek de 1926 à 1934, puis prend la direction du Comité Central durant la « Longue Marche » qui, d’octobre 1934 à octobre 1935 a parcouru 12.000 km au long desquels les effectifs de ses troupes avaient diminués de 90% (30.000 survivants sur 300.000 partants).

    Après la proclamation de la RPC le 1er octobre 1949, Mao décide en 1956 « Que cent fleurs s’épanouissent, que cent écoles rivalisent ».

    En 1958, c’est la campagne du « Grand bond en avant ».

    Et en 1960, la Chine rompt toute relation avec l’URSS.

    En 1966 les Gardes Rouges de la « Révolution Culturelle » sèment la terreur, dont les plus anciens se souviennent aujourd’hui amèrement.

     Parmi la longue liste des répressions, terreurs et crimes du communisme, enfant taré du socialisme, l’Histoire retiendra notamment qu’en un siècle, il y eu 100 millions  de victimes :

    66 millions de morts en Chine.                         22 millions de morts en URSS

    3 millions de morts dans les pays d’Afrique.     2,5 millions de morts au Cambodge

    2 millions de morts en Corée du Nord.              1,5 million de morts en Afghanistan

    1 million de morts au Vietnam.                          1 million de morts en Europe de l’Est

    1 million morts en Amérique du Sud

     Requiescat in Pace

     

    Pieter KERSTENS

     Bibliographie :

    • * Stéphane Courtois « le livre noir du communisme » Edit. Robert Laffont 1997.
    • Dimitri « Le Goulag » 18 tomes. Edit. Dargaud + Albin Michel + Glénat + Taupinambour. De 1978 à 2007.
    • Patrick Meney « Les mains coupées de la Taïga » Edit. La Table Ronde 1984.
    • Alexender Soljenitsyne « Une journée d’Ivan Denissovitch ». Edit Julliard. 1963
    • Varlam Chalamov « Kolyma, récits de la vie des camps ». Edit. Maspero 1980.
    • Andrée Sentaurens « 17 ans dans les camps soviétiques » Edit. Gallimard. 1960
    • Jean-Luc Domenach, sinologue « Chine, l’Archipel oublié » Edit. Fayard 1992.
    • Harry Wu (1937-2016) « Laogaï, le goulag chinois ». Edit. Dagorno 1997.
    • Yiwu Liao (alias Lao Weï) écrivain chinois, prisonnier de 1990 à 1994 « Dans l’Empire des ténèbres ». Edit. F.Bourin 2013.
    • URSS. 100 questions. 100 réponses. Agence de presse Novosti. 1980.
    • Jean-Jacques Marie, agrégé de l’université « Les peuples déportés d’Union Soviétique ». Edit.Complexe 1995
    • Mao Tse Toung. « De la dictature démocratique populaire » Pékin 1949 et « Petit livre rouge », diffusant ses pensées, en 1966.

     

  • Dédiabolisation : Lettre ouverte à un camarade nationaliste

    Camarade,

    De toutes parts, j’ai entendu nos élus, cadres et responsables politiques affirmer, depuis plusieurs années déjà, qu’il fallait « adapter notre discours », devenir « acceptables », ou encore cesser « les critiques outrancières ou blessantes », comme si nous étions coupables d’hérésies.

    Peux-tu alors me faire savoir si , durant les 30 dernières années :

    Le chômage a diminué ?

    La pression fiscale s’est allégée ?

    L’arrivée de clandestins hors-la-loi a cessée ?

    La sécurité sur la voie publique et dans les écoles a été rétablie ?

    La vente de drogues a été éradiquée ?

    La dette publique est en voie d’être résorbée ?

    L’islamisation de nos quartiers et de notre mode de vie est une illusion ?

    Face à ces maux qui gangrènent le quotidien de nos compatriotes, un constat s’impose :

    « La classe politique dans son ensemble entasse les bêtises sur son imbécilité, cumule erreurs et mensonges, et son arrogance frise son incompétence ! ».

    Partout dans les pays d’Europe on constate une radicalisation des électeurs envers le Système.

    Dès lors, pourquoi changer de stratégie dans la conquête du Pouvoir ?

    Quelles raisons s’imposent-elles aujourd’hui pour modifier la tactique destinée à mettre le Régime face à ses contradictions ? Pourquoi vouloir changer le nom d’un parti, connu dans l’Europe entière, au prétexte de respectabilité ? Changer d’emballage, pour garder le contenu ?

    Comment garder (ou récupérer) nos électeurs, déçus par les partis traditionnels, si nous suivons, nous aussi, les règles du jeu et l’autocensure imposées par les gouvernants ?

    Et qu’est-ce qui distinguerait encore ton parti des autres pourriticards, dès lors que vos discours « soft » dérouteraient ceux qui vous soutiennent encore. Parce que la majorité d’entre nous sommes non seulement des révoltés, mais plus encore des rebelles envers le Régime, prétendu « démocratique », qui tolère une invasion de barbares inassimilables, en fermant les yeux depuis des décennies sur leurs dérives.

    Nous voulons abattre cette coalition faite de libéraux conservateurs alliés aux démocrates chrétiens et aux écologistes ; coalition complice des maffieux socialo-marxistes qui nous a entrainés au fond du gouffre économique, financier et moral. Ici, .et ailleurs en Europe !

    Depuis longtemps ces adeptes du consensus mou de la Pensée Unique ont jeté les valeurs de notre Société aux orties en livrant nos quartiers à l’emprise musulmane.

    Pire, les laquais du Nouvel Ordre Mondial ont élaboré des lois liberticides qui interdisent la liberté d’opinion, de réunion, d’expression et de presse à tout mouvement nationaliste et identitaire. Curieusement et depuis longtemps, je n’entends plus les ténors de ces partis, présents également au Parlement Européen, défendre ces libertés fondamentales et au contraire ils me donnent le sentiment de se coucher devant le Pouvoir.

    Il serait grand temps que, tous, vous ouvriez les yeux sur les raisons qui ont motivé ceux qui, depuis 30 ans, vous ont permis de connaître vos succès politiques et électoraux, ceux-là mêmes à qui vous ne demandez jamais leur avis. Ces citoyens « d’en bas » dont un nombre important vous abandonnent depuis 2007, parce qu’ils ne trouvent plus dans vos écrits et dans vos discours le ton et les arguments qui les avaient séduits auparavant...

    Reçois, Camarade, mon sincère salut nationaliste.

    A Bruxelles, le 15 septembre 2017

    Pieter Kerstens

  • Anti-cléricaux hier, pro-islamistes aujourd'hui

    546682491.jpg

    Ces 40 dernières années, nous avons vécu une réelle « colonisation » de notre continent par des individus issus de terres lointaines, entreprise imaginée, planifiée, organisée et qui nous est imposée par des lobbies aux mains des mondialistes, souvent issus du capitalisme apatride.

    Par des études ou des rapports aussi vagues que sectaires, diverses organisations internationales nous matraquent épisodiquement de l’inéluctable obligation de recevoir des dizaines de millions d’immigrés du tiers-monde, au prétexte que ce « sang nouveau » nous sauverait de la décadence démographique, du vieillissement des peuples d’Europe et assurerait la survie de nos caisses de retraites…

    - Nul ne propose l’accroissement et le rajeunissement des populations de nos pays par une politique nataliste et des aides à la famille ou à la mère au foyer.

    - Nul ne s’élève contre le constat de 25 millions de chômeurs européens qui pourraient être mis au travail, sans l’aide d’un afflux de nouveaux immigrants extra-européens !

    - Nul n’envisage le rapatriement de millions de clandestins vivant sur notre sol en réels hors-la-loi, source d’innombrables conflits, de délits divers et de crimes crapuleux.

    - Nul ne songe à la fermeture de l’espace Schengen, véritable passoire au trafic d’êtres humains qui, au lieu de voyages périlleux, devraient se réfugier dans les pays voisins de leur patrie respective.

    Que dire de la désacralisation de nos églises et de la construction de milliers de mosquées en Europe ?

    Depuis plus d’un siècle, les laïcards, les libres penseurs, les francs-maçons et les socialauds-humanistes ont combattu la chrétienté, interdit la soutane dans les lieux publics (de même que les uniformes ou les tenues de pompiers), invectivé les religieuses en cornette et ont mis tout en œuvre pour vider les églises. Cela, décennies après décennies, urbi et orbi, de l’école maternelle jusqu’aux universités, en se servant de leurs dogmes laïcs pour combattre le clergé, partout, encore et toujours anti-chrétiens d’abord !

    Mais qu’attendent-ils donc maintenant pour brandir leur idéologie chérie et s’opposer à l’invasion islamique ?

    Pourquoi ne manifestent-ils pas avec autant de virulence envers les musulmans qu’ils ne le faisaient hier avec leur haine de la chrétienté ?

    Pourquoi tolèrent-ils effectivement la généralisation des sacrifices rituels -barbarie moyenâgeuse- quand ils combattaient les processions chrétiennes ?

    Pourquoi ne s’opposent-ils pas au port du voile islamiste, signe de soumission de la femme ?

    Pourquoi ces laïcistes gauchisants ne réclament-ils pas la fermeture des mosquées et le contrôle des imams prêchant contre les « valeurs de la République », sans parler de terrorisme ?

    L’heure n’est plus à la complaisance ni aux atermoiements : il faut réagir avec fermeté sous peine de disparaître ou d’accepter la servitude …(ou encore la dimmhitude).

    Pieter Kerstens

  • Ainsi font font font les petites marionnettes…

    Certains nous présentent Emmanuel Macron comme l’homme nouveau tant attendu, le charmeur de ces dames, mais il est surtout le bateleur de foire qui hypnotise une clientèle crédule.

    Produit marketing du Nouvel Ordre Mondial, fabriqué par les banksters, représentant de la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI), il récoltera sans nul doute l’assentiment des bourgeoises endiamantées et des fanatiques de la compromission.

    Quant à François Fillon, il a démontré sa capacité de persévérance et de résistance face au Régime qui cherche à tout prix à préserver ses prébendes, en le noyant sous un tombereau d’ignominies.  Son programme de réformes structurelles permettrait, nous dit-on, à l’Etat de retrouver son lustre terni par le quinquennat hollandais.

    Rien n’est moins certain. Parce que ces 15 dernières années, plus de 40 milliardaires et 60.000 millionnaires ont quitté la France, sous les présidences de Chirac (deux fois), de Sarközy et de Hollande. « Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche » affirmait le président américain Abraham Lincoln en 1860, devant le Congrès.

    Ainsi font font font 3 p’tits tours et puis s’en vont !

    Alors pourquoi donc Fillon ferait-il demain, et dans l’avenir, ce qu’il n’a pas pu, pas su ou pas voulu faire entre 2007 et 2012 ? ? ?

    En effet, face aux problèmes, l’ex-premier ministre a pratiqué la politique de l’autruche :

    • Il les a tout d’abord niés.
    • Puis occultés et ensuite sous-estimés.
    • Les avait dénommés « exceptions » pour justifier son inaction.
    • Il a créé des commissions, suivies de l’élaboration de multiples rapports.
    • Ces rapports furent transmis à l’Assemblée pour légiférer dans la précipitation.
    • Et au final on en est arrivé à des plans de crises et d’urgence. Pour quel résultat ?

    Remarquons aussi que la dette publique augmente encore de 20 millions d’euros par jour, que le chômage est un vrai fléau, que l’immigration sauvage ne diminue pas, que les impôts et les taxes augmentent en permanence, que les drogues envahissent l’espace public avec les salles de « shoot » et que la corruption persiste dans tous les secteurs.

    Tous ces maux n’ont jamais été réellement combattus ces 20 dernières années, ni par la Droite, ni par la Gauche ou le Centre mollasson.

    Et la France n’a pas non plus besoin d’un jeune Polichinelle, aux ordres des gnomes de Wall Street, qui conduirait à donner toujours plus de pouvoirs aux eurocrates de Bruxelles.

    Alors, même si l’on n’aime pas les blondes, à défaut d’autre chose, on votera le 23 avril et le 7 mai pour le Front National, bon gré mal gré, avant d’entreprendre l’indispensable Reconquista de nos quartiers, avec détermination.

    Pieter KERSTENS.

  • 20 000

    C’est en milliards de dollars, le record que pourrait atteindre la dette publique américaine, au cours des prochaines semaines.

    C’est également, en nombre de points, le niveau historique que la bourse de Wall Street dépasse depuis le 26 janvier de cette année.

    Au Japon, la bourse de Tokyo pourrait, elle aussi atteindre ce sommet, dans les semaines à venir, mais ici il ne s’agit nullement d’un record. En effet, les épargnants japonais ont perdu 50% de la valeur de leurs actions depuis 1989, période où l’indice Nikkeï culminait à 39.600 points, juste avant l’explosion d’une bulle financière. Pendant 27 ans, ces petits épargnants au bord de la ruine n’en finissent pas de souffrir.

    Ce 30 mars, la bourse de Milan affichait 20.276 points. Créé en 1997 à Milan, l’indice S & P MIB (et appelé FTSE MIB depuis 2009), était au plus haut en 2007 avec 44.360 points. Ici aussi, les épargnants italiens ont perdu plus de 50% de leurs économies et rien n’indique qu’ils pourraient récupérer leurs pertes dans un proche avenir.

    La victoire surprise de Donald Trump, au mois de novembre, a, dans un premier temps, créé la panique sur les marchés boursiers, avant que ces derniers ne se reprennent et s’orientent très positivement. Les bourses américaines d’actions marquent des plus hauts historiques, le dollar résiste par rapport au yen et à l’euro, les taux long remontent. En effet, le changement qu’incarne le nouveau président des Etats-Unis, devrait se traduire par des créations d’emplois et des travaux d’infrastructures, mais cela implique également une hausse du déficit américain et partant une hausse des taux. La volonté manifeste de Trump de valoriser le travail et de favoriser la préférence nationale se traduit par un sentiment d’euphorie pour les opérateurs de marchés, les investisseurs saluant actuellement les initiatives du Président des Etats-Unis.

    En Europe, les disparités de croissance économique se font jour. L’Allemagne et le Benelux continuent de favoriser les investissements, porteurs de croissance à long terme. L’Italie dont le système bancaire est défaillant risque de connaître des difficultés financières et économiques : il faut nettoyer les écuries et visiblement le dernier vote des italiens ne va pas dans ce sens. L’Espagne se porte un peu mieux, un gouvernement a vu le jour après plus de 20 mois sans que les réformes nécessaires, mais difficiles, soient mises en œuvre ;  le taux de chômage diminue enfin, passant de 30% à 20%.

    Fin 2016, les secteurs bancaires italien et espagnol étaient sous pression. Le ministre des Finances italien a proposé un plan de sauvetage de 20 milliards d’euros, pour les institutions financières en déroute, et particulièrement la Banca di Monte dei Paschi di Sienna (qui serait nationalisée à 70%) alors que le montant des emprunts en défauts frise les 360 milliards  d’euros ! Cela semble bien trop faible. La recapitalisation  de BMPS sera de l’ordre de 7 milliards d’euros. Actuellement les banques italiennes ont le plus mauvais ratio de défauts d’emprunts -autour de 16.5%- comparé à une moyenne européenne de 5.5%, environ 3 fois plus. Unicredit banque phare en Italie devrait lever près de 13 milliards d’euros de capitaux afin de renforcer ses fonds propres et faire face à une série de pertes, principalement dans le secteur immobilier.

    Pour sa part, la Cour Européenne de Justice a confirmé la fraude perpétrée par les banques espagnoles quant aux taux d’intérêt pratiqués avant mai 2013 sur certains emprunts hypothécaires et elles devront payer la différence aux clients lésés. Les banques espagnoles provisionnent aussi des milliards afin de pallier aux effets de la bulle immobilière spéculative et les nombreux défauts de paiements s’y rapportant.

    Les déboires financiers de la Grèce, la faillite virtuelle du système bancaire italien, la fragilité des banques espagnoles et portugaises, mais aussi le géant allemand Deutsche Bank aux pieds d’argile, constituent un réel danger pour l’économie mondiale. La mise en place de réglementations peu efficaces ne permet pas d’assainir le système bancaire européen ni de renforcer sa stabilité. Les décisions visant à ne plus permettre aux banques d’exercer leur métier et leurs activités connexes mettent en péril le « business-model » bancaire européen.

    La baisse excessive des taux d’intérêt provoque non seulement une baisse des revenus traditionnels des banques (marge d’intermédiation), mais pousse artificiellement les valeurs des actifs à la hausse.

    Les assureurs, contraints et forcés d’acheter des obligations d’Etat sans rendement, voire à rendement négatif, ne peuvent qu’espérer naïvement une hausse continue des prix de ces obligations !! Le risque d’une hausse, même minime de 2 à 3 % sur les taux à 10 ans, provoquerait des pertes colossales auxquelles les assureurs sont incapables de faire face : les régulateurs sont des pompiers pyromanes qu’il faudrait condamner pour faute très grave !

    La situation est tout aussi dramatique pour les fonds de pension, les taux d’intérêt faibles ne compensent pas la hausse des valeurs à l’actif de leurs bilans : 90% des fonds de pension dans le monde ne peuvent plus faire face à leurs engagements, pour autant que leurs passifs soient comptabilisés aux taux actuels du marché et non pas aux taux d’il y a 4 ou 5 ans !

    De nombreux hommes politiques européens, en particulier les nationalistes, cherchent à récupérer leur indépendance face à une Europe qui accumule les disfonctionnements et les erreurs dans la gestion des crises humanitaires, industrielles, financières ou sociales. De nombreux économistes réputés s’élèvent notamment contre le diktat de la Commission ou les dérives interventionniste illégales de la BCE (Banque Centrale Européenne). Le prix Nobel d’économie, Olivier Hart, remet en question le bien-fondé d’une monnaie commune, et prône un retour à plus d’indépendance des Etats : une décentralisation des processus de décisions tout en gardant cependant quelques domaines privilégiés  comme la libre circulation des biens et des personnes, la concurrence...

    La situation actuelle est la suivante : les banques, les assureurs et les fonds de pension européens sont structurellement incapables de rentabiliser leurs capitaux tout en contrôlant leurs risques. Une régulation excessive et mal calibrée, une gestion trop souvent gabégique, et clairement un manque d’initiatives, de responsabilités et de courage de la part des dirigeants des institutions financières, favorisent la déliquescence du système financier européen. Afin de préserver la pérennité de certaines institutions, il serait impératif de ne pas se soumettre aux exigences de l’Europe, quitte à payer des amendes, plutôt que de voir la disparition des métiers qui leur sont propres !

    En Chine, depuis plusieurs mois, des signes de ralentissement économique se manifestent : surcapacité de production, baisse des exportations, augmentation du prix des logements, réduction des investissements privés, et enfin baisse des revenus en partie due à la chute des cours boursiers. Plusieurs millions de particuliers ont été ruinés lors de la baisse du marché d’actions chinois. L’endettement des entreprises publiques reste très élevé, les créances douteuses des banques s’accroissent, les risques financiers, commerciaux et industriels ne sont pas gérés efficacement.

    2017 reste donc une année de tous les dangers pour la Chine financière et industrielle, d’autant plus que la politique commerciale américaine, partenaire essentiel pour la Chine, devrait limiter les importations chinoises de biens de consommation. La banque centrale chinoise manipule (comme la BCE, la FED ou la BOJ) les cours des actifs financiers locaux, mais contribue également à contrôler  le cours de sa devise par de nombreuses interventions. Les effets combinés de ces interventions ne font qu’accroître la fuite des capitaux, signe de confiance limitée des investisseurs dans la politique monétaire chinoise. Cependant, l’ouverture aux investisseurs étrangers du marché obligataire intérieur chinois, sans limite de montants (quotas), devrait créer de nouvelles entrées de capitaux.

     La Russie poursuit ses réformes structurelles. Les investissements dans le secteur des hydrocarbures permettent la transformation des infrastructures pétrolières vétustes. Malgré la baisse substantielle des cours pétroliers et des matières premières, depuis 2015,  la Russie s’appuie également sur une demande intérieure en croissance, une consommation en augmentation grâce à la fois à une revalorisation des salaires et à une inflation maitrisée. Les recettes fiscales vont augmenter malgré la baisse des impôts de sociétés actives dans le secteur pétrolier. Ces revenus permettront des investissements dans l’éducation, les infrastructures et l’innovation. La détente des relations américano-russes devrait également favoriser le climat d’investissements étrangers dans la fédération de Russie.

    La stabilité du rouble, malgré une baisse importante ces deux dernières années et une stabilisation des actifs financiers, restaurent un climat propice aux investissements tant privés que publics.

    Comme la Russie, la population indienne bénéficie d’un accroissement de son pouvoir d’achat provenant d’une revalorisation des salaires et une réforme des pensions du secteur public. La stabilité politique et la politique monétaire portent leurs fruits : les entreprises publiques ont vu leur endettement diminuer, tandis que les projets d’infrastructures aboutissent. Les réformes fiscales mises en place pour les sociétés et les personnes physiques, l’application de la TVA sur les biens et services, l’assainissement des finances publiques permettront de dégager des moyens financiers favorisant une croissance durable (éducation, infrastructure, innovation…).

    Le Brésil, en proie à des scandales touchant les plus hautes sphères de l’Etat, se caractérise par la divergence la plus forte entre les riches et les pauvres : 5% de la population contrôle 95% des richesses du pays. Aucun autre pays des BRICS n’approche ces chiffres. La corruption institutionnalisée et le clientélisme limitent les potentialités industrielles, commerciales et surtout agricoles du pays. Premier producteur et exportateur mondial de nombreuses denrées alimentaires (café, blé, maïs, soja ou agrumes) mais également de matières premières comme le fer, la bauxite, le manganèse ou le pétrole, le Brésil connaît malheureusement des zones d’extrêmes pauvretés et des poches de famines qui pourraient rappeler ce qui se passe encore en Chine. L’augmentation des dépenses publiques a creusé le déficit budgétaire mais la réforme du régime des retraites et des cotisations sociales réduirait  ce déséquilibre. On constate par ailleurs qu’à la crise économique et politique, se mêle une crise morale et éthique aux conséquences imprévues, liées à la corruption massive instaurée par les sociétés Odebrecht et Petrobras.

    Que ce soit en Grèce, en Italie, en France, en Espagne ou encore en Belgique, une rigueur dans la gestion des finances publiques, au niveau de l’Etat mais également des collectivités territoriales, constituerait une base solide indispensable à une croissance bénéficiant à toute la population et permettrait dans le même temps un recul du chômage, véritable fléau social.

    Pieter KERSTENS

  • Hamonistes, Mélanchoniens, Fillonaires, Macroneux &Co

    Tous ces adeptes de la secte mondialiste, dont certains sont de vieilles carnes du Régime, ne vivent que pour défendre leurs privilèges d’une époque révolue.

    Ces chacals du système politico-médiatique n’expriment aucune volonté pour rétablir la protection du bien commun dans l’intérêt général. Car sinon, comment expliquer que ni les uns ni les autres ne souhaitent mettre en œuvre des mesures structurelles pour stopper les déficits publics, réduire la dette abyssale qui sacrifie les générations futures, combattre l’insécurité permanente dans les Zones de Sécurité Prioritaires (chaque jour en France 330 voyageurs sont détroussés dans les transports publics) et diminuer drastiquement la pression fiscale à tous les niveaux. Et, en plus, ils ont le culot de nous donner des leçons de bonne conduite ou de morale!

    Tous obéissent aux lobbies de l’immigration/invasion, véritable cancer de notre société qui voit de jour en jour s’étendre ses métastases mortifères, au prétexte que ces « migrants » seraient une chance pour nos peuples vieillissants. Aucun ne propose de relancer une véritable politique de la famille, ni de favoriser la natalité pour un rajeunissement de la nation.

    Aucun ne veut assumer ni reconnaitre les échecs de la société multiculturelle et pluriethnique. Pourtant c’est bien Angela Merkel qui, le 10/09/2010 devant un congrès de la CDU allemande, avait affirmé que « le multikulti avait totalement échoué », aveu repris par la suite par David Cameron et Nicolas Sarközy.

    La mafia socialaud-écolo-libéro-capitaliste (soutenue par le milliardaire Georges Soros) a bien au contraire organisé toutes sortes de campagnes de désinformation et de propagande destinées à nous faire accepter une prétendue cohabitation avec l’Islam modéré (?) au nom du « Vivr’ensemble » et du « Padamalgam », en ouvrant nos frontières à tous, terroristes inclus.

    Il suffit d’ouvrir les yeux pour constater que partout dans nos rues et dans nos quartiers, nos coutumes, nos lois et nos traditions sont bafouées par le monde musulman, vecteur d’une barbarie omniprésente (habillement féminin réducteur, abattage animal par égorgement, alimentation halal, excision féminine, ou polygamie) niée par nos gouvernements en quête de clients/électeurs. Et l’utopie du métissage à tous les étages est un crime contre nos peuples.

    Cette évolution négative de notre société et la disparition des valeurs ancestrales (qui ont permis à l’Europe de rayonner partout dans le monde au travers des siècles) nous conduiront vers des affrontements inéluctables. L’Histoire fourmille d’exemples et les banlieues s’enflamment.

     Le 23 avril et le 7 mai il sera indispensable de brandir un carton rouge électoral pour éliminer les laquais du Nouvel Ordre Mondial qui nous mènent au fond du gouffre et vers le chaos.

    Méfions-nous aussi des charmants, des charmeurs et des charlatans…

    Ezra Pound écrivait : « Si un homme n’est pas disposé à affronter quelques périls pour ses opinions, ou ses opinions ne valent rien, ou c’est lui qui ne vaut rien ».

    Pieter KERSTENS

  • Quelle alternative : monnaie réelle ou monnaie virtuelle ?

    A l’heure où la Commission Européenne planche pour la suppression du cash et force à nous diriger vers la carte plastique, unique modèle de nos paiements futurs pour toutes nos dépenses qui seraient bien évidemment contrôlées, existe-t-il une autre solution ?

    Le Bitcoin est une première devise monétaire électronique décentralisée.  Cette devise circule via Internet et possède un avantage par rapport aux autres monnaies alternatives : transmission (échanges) via un réseau (le net) sans passer par une banque ou un  intermédiaire financier, ce qui réduit les coûts éventuels de transactions et le temps nécessaire à l’exécution de la transaction qui est plus rapide et rend l’opération mieux sécurisée que les transactions financières classiques.

    L’utilisation du Bitcoin est planétaire, le compte ne peut pas être bloqué, et il n’existe pas de conditions préalables pour son ouverture. Pour effectuer des transactions, il est nécessaire de passer par des bourses d’échanges  et recevoir des devises ou même payer des services comme le taxi, voir l’achat de biens de consommation. Les Bitcoins sont conservés dans un portefeuille électronique dont l’accès est assuré via un ordinateur ou un téléphone. La sécurité des transactions est assurée par des opérateurs rémunérés sur les Bitcoins nouvellement créés. Ces transactions sont enregistrées dans un registre tenu à la disposition du public : la transparence est donc bien supérieure aux flux financiers classiques trop souvent indétectables. Comme ce système de transactions n’est pas soumis à des règles contraignantes, les intervenants comme les entreprises pourraient l’utiliser pour effectuer des opérations sans pertes de changes, à l’instar du WIR en Suisse qui garantit ainsi une meilleure stabilité à l’économie suisse.

    Malgré les quelques déboires enregistrés depuis sa conception en 2009, cette devise cryptographique est nettement moins vulnérable que les devises émises par les banques centrales : pas de contrefaçon possible, vols insignifiants par rapport à l’argent classique, impossibilité de stopper les transactions par un quelconque moratoire, inflation par définition impossible car la création de bitcoins est limitée à 21 millions d’unités.

    Cependant la volatilité du Bitcoin est en fait une « devise » spéculative plus qu’une devise d’échanges car le nombre d’intervenants n’est pas encore suffisant pour assurer une stabilité des transactions. Plus le nombre d’usagers du bitcoin augmentera plus le cours se stabilisera, sans pour autant ne plus varier parfois fortement. En effet, le cours du bitcoin est passé de 15 USD début 2015 à 1000 USD en décembre 2015 avant de replonger à 215 USD début 2015. En ce début d’année 2017, le cours avoisine les 1000 USD.

    Ci-dessous le lien permettant de visualiser l’évolution du cours depuis ses débuts.

    http://www.abcbourse.com/graphes/temp/aotwwpzw.i3p.png

    De plus, comme le compte sur lequel vos bitcoins sont déposés est lié à votre ordinateur il convient de bien protéger celui-ci ainsi que de s’assurer que le fournisseur d’accès à votre portefeuille l’est aussi.

    Pieter KERSTENS

  • L'immigration, l'islam, l'islamisation... Un rapport avec le terrorisme ?

    Pour certaines connues depuis plus de 60 ans, le FLN, MNA, OLP, FPLP, AMAL, GICM, FARL, GIA, DAESH et consorts, sont toutes des organisations terroristes musulmanes identifiées par les « services ».

    Que ce soit à Madrid en 2004 jusqu’à Berlin ces derniers jours, en passant par Londres, Paris, Bruxelles ou Nice, à chaque fois le massacre est revendiqué au nom « d’Allah le très miséricordieux ».

    Tous les gouvernements européens lèvent les bras au ciel et implorent leurs concitoyens de ne pas faire d’amalgame ni de rapprochement avec l’Islam (comme si les attentats étaient commis par des Catalans, des Bretons, des Flamands ou des Ecossais !).

    Merkel, Hollande, Juncker & C° nous prennent pour des cons. Et ils voudraient que l’on accepte ces assassinats sans murmures, sans réactions, sans vengeances, avec abnégation, comme une punition bien méritée.

    Laissons-les à leurs rêves.

    Partout en Europe, de Gibraltar à Oslo et de Brest à Bucarest, les peuples ouvrent les yeux et constatent avec stupéfaction l’état de délabrement matériel des forces de l’ordre et la décadence morale où se trouve l’administration qui gère nos pays.

    Les Anglais, les Autrichiens et les Italiens ont réagi en votant massivement contre les gourous de l’euro-mondialisme et les bonimenteurs de l’Etat-Providence.

    Mensonges, propagandes et manipulations.

    On constate depuis fort longtemps que les télés, les radios ou la presse écrite se comportent comme des putains soumises aux fantasmes des gouvernements, parce que grassement subsidiées par ceux-ci.

    Leurs mensonges le disputent à la propagande et les exemples sont nombreux.

    Rappelons-nous du prétendu charnier de Timisoara en 1988 pour accuser Nicolas Ceausescu et le peuple serbe. Et par la suite ces « atrocités » -mais jamais celles commises par les Musulmans contre les Chrétiens- justifieront les bombardements de l’Otan sur Belgrade en 1999, sans mandat de l’ONU.

    Le devoir de mémoire nous impose aussi le souvenir des informations et des images montrant les bébés sortis de leur couveuse à Koweït-city ainsi que de la prétendue 4ème armée mondiale de Saddam Hussein, vils prétextes pour envahir l’Irak lors de la 1ère Guerre du Golfe en 1991. Etc. et. En 25 ans la liste est longue.

    Face à ces mensonges, ces désinformations, ces manipulations et cette propagande, les politiciens de tous bords se taisent et courbent l’échine, au nom de la Pensée Unique.

    L’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement avait personnellement déclaré le 22 novembre 1994 à 7h45 au micro de la radio Europe n°1 « …tout a été occulté. On vit actuellement dans un système d’informations biaisées », à propos d’une de ses interventions à l’Assemblée Nationale en décembre 1993.

    Et depuis, cela ne s’est pas amélioré, loin de là.

    Certains font preuve de doute, de discernement ou de sérieuse contestation pour remettre en cause la Nouvelle Religion droits-de-l ’hommiste. C’est un bon début.

    Télés, radios, journaux sont les nouveaux saltimbanques du XXIème siècle.

    Les médias ne sont pas dépositaires de la vérité révélée, ni investis du rôle de professeur qui dispense des leçons à des auditeurs/lecteurs décérébrés. Ils se sont accaparés le 4ème pouvoir et veulent nous imposer ce qui est « Bon » ou « Mauvais », en résumé : le Prêt à Penser !

    Nous n’avons que faire de leurs sermons nauséabonds et les politiciens qui courent les plateaux de télés seraient bien inspirés de remettre plus souvent les journalistes à leur place.

    Car complices des régimes, les journalistes ont perdu leur neutralité et leur objectivité pour rabrouer et critiquer ceux (ou celles) qui n’abonderaient pas dans leur sens ou refuseraient les poncifs des salles de rédaction.

    Cette manipulation de l’opinion culmine à un sommet lorsque les charlatans de l’immigration/invasion « bienfaitrice », ont clamé  à longueur d’antennes, que les centaines de milliers de clandestins ayant débarqué en Europe l’an dernier « étaient tous d’un excellent niveau, diplômés et attendus par les industriels ». Désinformation et mensonge calamiteux : « seuls 3% ont trouvé du boulot et 10% peuvent prétendre à des cours de formation. 80% n’ont aucun droit au statut de « réfugié » et 50% de ceux-ci sont totalement analphabètes !» C’est ce qui ressort des dernières statistiques allemandes, à propos des 1.200.000 illégaux arrivés en Germanie en 2015.

    Le président américain Lincoln disait : «On peut tromper tout le monde pendant quelque temps. On peut tromper quelques personnes tout le temps. Mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde ! »

    Et il ne faut être ni de gauche ni de droite, ou posséder un diplôme universitaire, pour se rendre  compte que le continent européen est une terre de beffrois et de cathédrales et non pas de mosquées et de minarets !

    Pieter KERSTENS