Antidote - Page 84
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Ce n'est pas nous qui le disons...
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François Desouche fait peau neuve
Le site François Desouche a fait peau neuve. Toujours aussi riche en informations, plus beau, encore plus agréable pour la navigation.A consulter sans modération.(cliquer sur l'image pour y accéder) -
Conférence de Patrick Goffman au Local
Dans la dernière livraison de la revue Synthèse nationale, vous pourrez lire un article de Patrick Goffman consacré au fiasco prévisiblede la Coupe du Monde en Afrique du Sud. -
Le cynisme du mondialisme
Par Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Chiré-en-Montreuil, vous connaissez ? Pour certains lecteurs bibliophiles, ce nom évoque bien sûr une courageuse petite maison d’édition qui, depuis une cinquantaine d’années, s’évertue à diffuser contre vents et marées des ouvrages nationalistes et catholiques. Pour les autres, le joli nom de cette petite commune située aux confins de la Vienne et des Deux-Sèvres, à une vingtaine de kilomètres de Poitiers, ne dira sans doute pas grand-chose.
Pourtant, Chiré-en-Montreuil vient, bien malgré elle, d’être le théâtre d’un psychodrame politico-économique qui pourrait illustrer à lui seul la situation dans laquelle se trouve plongé notre pays où règnent la social-démocratie politique et le libéralisme économique totalement débridé.
Les faits : il existe à Chiré-en-Montreuil une usine qui dépend du groupe suédois Autoliv-Isodelta, spécialisé dans la fabrication de volants pour automobiles. Au début 2009, la direction du groupe décide de procéder à la délocalisation d’une partie de la production de cette usine vers la Tunisie. C’est bien connu, le travailleur tunisien coûte moins cher que le travailleur picton. La logique du profit est implacable. Et qui dit délocalisation, dit forcément licenciements massifs. Plusieurs centaines d’employés de l’usine de Chiré se retrouvent donc sur le carreau. Jusque là rien de bien original dans la France de Sarkozy…
Mais, début 2010, catastrophe, l’usine d’El Nadhour, en Tunisie, est détruite par un incendie. Alors, que faire ? Afin de ne pas ralentir la production, la direction surcharge de travail l’unité réduite restée en activité dans le Poitou. Finalement, cette usine française peut encore servir à quelque chose se disent nos mondialistes suédois. Et puis, il faut bien le constater aussi, les résultats de la délocalisation tunisienne n’étaient pas ceux escomptés.
Le problème se pose alors pour ces patrons multinationaux peu scrupuleux : comment éviter de retourner en Tunisie et faire davantage de profits sur le site français ? C’est simple : il suffit de faire venir les ouvriers tunisiens en France et les faire travailler, à Chiré-en-Montreuil, aux conditions qui sont celles en vigueur dans leur pays d’origine. Il suffisait d’y penser.
Quant aux centaines de travailleurs poitevins licenciés l’année précédente, ouvriers qualifiés qui avaient œuvré des années durant dans cette usine, et qui pour la plupart sont encore au chômage (il faut dire que la région n’est pas très industrialisée), qu’ils aillent se faire voir ailleurs… ainsi en avait décidé la direction du groupe.
Cet exemple de l’usine Autoliv de Chiré-en-Montreuil résume à lui seul la logique libérale : bazarder les usines françaises au mépris des employés français de celles-ci, délocaliser à tour de bras pour s’assurer des profits immédiats, faire venir des travailleurs immigrés exploités et sous-payés, pour remplacer les travailleurs autochtones lorsqu’il y a un hic dans les délocalisations…
Le pire, c’est que lorsque l’on interroge, sur une chaine de télévision, certains employés de l’usine de la Vienne sur l’arrivée éventuelle de Tunisiens, il y en a quelques-uns parmi eux qui trouvent cela « plutôt bien »… allant même jusqu’à évoquer « un enrichissement culturel pour la région » (côté culturel, rassurez-vous, comme nous l’avons évoqué ci-dessus, à Chiré il y a ce qu’il faut…). On croit rêver. Dans quelques mois, si cette logique aboutissait, ces pauvres types se retrouveraient eux-aussi au chômage et il ne leur resterait plus que leurs yeux pour pleurer.
Heureusement pour tout le monde, ou presque, le Préfet de la Vienne s’est opposé à cette décision de la direction de la multinationale suédoise. Mais cet exemple cynique, qui aurait frisé le scandale s’il s’était réalisé, justifie à lui seul notre décision de consacrer ce nouveau numéro de Synthèse nationale aux dangers que représentent pour notre identité, notre indépendance et notre prospérité le mondialisme et l’ultra libéralisme.
A cette vision ravageuse du monde, nous opposons le solidarisme identitaire seul capable de recréer une conception harmonieuse de notre société.
Editorial du n°18 de Synthèse nationale
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Il est temps de faire des efforts
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Rivarol cette semaine
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Apéro géant "saucissons et pinard" à la Goutte d'Or
Un apéro géant « Saucisson et pinard » va être organisé à La Goutte d’Or ! Quand ? Mystère… Le groupe Facebook qui vient de se créer ne donne pas de date. Pour l’instant… Mais la présence, parmi ses membres, de Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, laisse penser que ce devrait être très festif ! A moins, bien sûr, que le quartier de La Goutte d’Or ne soit décrété zone interdite à la consommation (modérée) des produits de nos terroirs.
Le groupe « Apéro géant Saucisson et pinard à La Goutte d’Or ! » affiche deux photos dont l’une, représentant une multitude de postérieurs de musulmans agenouillés dans l’une des rues de La Goutte d’Or pour y faire une prière, donne le ton. Elle est légendée ainsi, dans le plus pur argot parigot : « Pas de pinard, pas de sauciflard, que des falzards… » Triste, non ?
On l’a oublié, à force, mais le quartier parisien de La Goutte d’Or tire son nom du vin blanc qu’on y produisait, il y a longtemps… Or, déplore le groupe, « la rue Myrha et d’autres artères du quartier sont occupées, particulièrement le vendredi, par des adversaires résolus de nos vins de terroir et de nos produits charcutiers ». D’où l’idée de « rendre à ce quartier son âme populaire l’espace de cet événement ». Et plus longtemps si affinités ?
La création de ce groupe coïncide avec celle, il y a quelques jours, de celui intitulé « Apéro géant dans le 18eme à Paris », dont il se dit que Riposte laïque serait à l’initiative mais dont l’administrateur s’est mystérieusement envolé. Celui d’« Apéro géant Saucisson et pinard à La Goutte d’Or ! » est là et bien là. C’est même une administratrice, Sylvie François, qui connaît bien La Goutte d’Or pour y habiter et avoir vu ce quartier se métamorphoser sous ses yeux durant ces dernières décennies. A la demande d’entretien que nous lui avons adressée par courrier électronique, elle a répondu : « La semaine prochaine… »
Pour rejoindre le groupe « Apéro géant Saucisson et pinard à La Goutte d’Or ! » : http://www.facebook.com/group.php?gid=120706347964200&v=info&ref=mf
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Amour, paix, tolérance et... fanatisme
Amour, paix, tolérance... mais surtout intelligence, dynamisme, ouverture d'esprit, relationnel, parité, modernité, fantaisie, humour, finesse et tant d'autres qualités que laissent deviner ce déguisement -
Synthèse Nationale n°18 (mai-juin) est paru
Mondialisme, libéralisme, la fin des illusions...
Revue bi-mestrielle nationaliste et identitaire
dirigée par Roland Hélie
Avec des contributions de Franck Abed, Lionel Baland, Francis Bergeron, Nicolas Bonnal, Roberto Fiorini, Patrick Gofman, Günther Palikao, Patrick Parment, Luc Pécharman, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Alain Renault, Jean-Claude Rolinat, Marc Rousset, Chahpour Sadler, Robert Spieler...
114 pages, 12,00 €
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Ce qu'on ne vous a jamais dit sur la guerre d'Espagne
Christophe Dolbeau
Nombreux sont encore les dupes et les niais qui tiennent la IIe République espagnole pour un paisible État de droit, gouverné par une gauche libérale, progressiste, bienveillante et démocratique, et la droite nationale pour un ramassis de réactionnaires obtus, bigots et haineux. Ressassé sans relâche depuis 70 ans par une armée de menteurs professionnels, ce cliché trompeur a la vie dure. Oubliés les incendies d’églises et de couvents, les confiscations de biens, les grèves permanentes, les mutineries, les émeutes, les pillages, les meurtres et les attentats ! Oubliée la cohorte de médiocres et de malfaisants, de terroristes, de tricoteuses et de maçons, qui s’empare du pouvoir et proclame à tous vents qu’elle veut faire au plus vite de l’Espagne une «démocratie populaire».
Légitime réflexe d’auto-défense de l’Espagne éternelle, le soulèvement national n’est pas sans soutien à l’étranger où les bonnes volontés se mobilisent en grand nombre. En France, la droite nationale fait activement campagne pour les insurgés et quelques centaines de militants vont même faire le coup de feu de l’autre côté des Pyrénées. D’autres pays, dont l’Irlande, dépêchent eux aussi des volontaires qui apportent une contribution symbolique à cette nouvelle Croisade. Cet engagement n’a rien d’infamant, bien au contraire, et il est plus que temps d’en parler : nous nous y employons également dans ce petit livre.
Il y a plus de 70 ans, l’Espagne, au prix d’une guerre terrible et de sacrifices immenses, s’arrachait aux griffes d’un gang de «cruels imbéciles», de «crétins criminels» et de « scélérats » (selon les termes mêmes de deux Pères de la République, Pérez de Ayala et le Dr Marañon). Ce sursaut est tout à son honneur, il est juste d’y rendre hommage et nous espérons y contribuer un tant soit peu par ce modeste ouvrage.
Ce qu'on ne vous a jamais dit sur la guerre d'Espagne Christophe Dolbeau, Editions Fol'fer, 2010, 214 pages, 20,00 €.
Source : Synthèse Nationale