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Par Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
Treize élus de l’UMP, dont les députés Thierry Mariani et Lionel Luca, vont lancer, sous le nom « Collectif de la Droite Populaire » (sic…), une structure de plus au sein de l’UMP avec pour objectif « plus de rupture avec le politiquement correct ». Une fois par mois, ces élus devraient aborder, « sans langue de bois » des questions liées aux « valeurs républicaines » (« Mieux respecter la Marseillaise et notre drapeau français », « Assez de l’insécurité », « Nous avons notre pays à fleur de peau »…). Le Collectif soutient (bien entendu) Sarkozy et estime « qu’il n’est pas question de laisser au FN le terrain de l’immigration ou de la sécurité, ni des valeurs de la nation ».
La manœuvre est cousue de fil blanc. Le Système, qui sent une partie importante de l’électorat populaire lui échapper, allume des contre-feux. Les pseudopodes extérieurs à l’UMP, tels le MPF de Villiers, le RPF de Pasqua, et le CNI, qui servaient de ratisseurs de naïfs, ayant disparu, il cherche désespérément à susciter en son sein les moyens qui permettraient de sauver en 2012 le soldat Sarkozy. Bien entendu, cette manœuvre échouera.
Il est amusant de constater la réaction de ceux qui se définissent en France comme « néo-conservateurs », et qui, a priori, devraient applaudir cette initiative. Rappelons que le néo-conservatisme, fondé aux Etats-Unis par William Krystol et Norman Podhoretz, se situe très à droite, se réfère à Ronald Reagan et Margaret Thatcher, et développe des thèses ultraconservatrices, ultralibérales, très anti-islamiques, et surtout ultra pro-israéliennes. Quels reproches les néoconservateurs formulent-ils à l’encontre de cette initiative ? « Le Collectif de la Droite Populaire veut revenir aux valeurs républicaines, sans plus de précision sur ces valeurs » Mais encore ? Les « valeurs républicaines » défendues par ce Collectif « veulent une laïcité inquisitrice contre les Juifs et les Chrétiens ». Diable, voilà qui devient grave…
On comprend mieux les raisons de ce questionnement douloureux quand on découvre que l’auteur de cette analyse, parue sur le site juif.com, est Michel Garroté, membre fondateur de l’Alliance judéo-chrétienne pour Israël, et journaliste ultra-sioniste et anti-islamique qui s’agite considérablement dans les milieux de la Droite française.
Si les fondateurs du « Collectif de la Droite Populaire » avaient rajouté un petit, tout petit codicille sur « le soutien indéfectible à Israël », nul doute qu’ils auraient eu droit aux dithyrambes des agents d’influence « néo-cons ». Mais sans doute, rappelés à l’ordre, le feront-ils.
Bon, cessons de perdre notre temps avec ces plaisanteries, et passons aux choses sérieuses. Le combat pour le renouveau de la France et de l’Europe doit se situer contre le Système et hors du Système. C’est l’objectif de la « Nouvelle Droite Populaire » depuis sa création, il y a deux ans.
Source : Synthèse Nationale
Par Yvan Benedetti,
Directeur de Droite Ligne
On me reproche de citer les Protocoles des sages de Sion, vieux texte de référence de la propagande antisémite. On sait que ce brûlot, un des succès d’édition de l’entre-deux-guerres fut confectionné par le socialiste Urbain Gohier à partir du texte de Maurice Joly Dialogues aux enfers entre Machiavel et Montesquieu, un pamphlet publié depuis la Belgique sous le Second Empire pour dénoncer la censure d’État sur la presse. Ce pamphlet concourut-il à faire chuter Napoléon III au même titre que La Lanterne d’Henri Rochefort ? Rien n’est moins sûr… Toujours est-il que l’auteur, dans sa rage à démonter la mise en place d’un régime qui préfigure ceux du XXe siècle, imagine tous les moyens dont se doterait le dictateur ultime pour asseoir sa domination sur un peuple sans recours face à la destruction de toutes ses défenses naturelles.
Urbain Gohier, pacifiste enragé qui s’était illustré dans la dénonciation du militarisme et des horreurs de la campagne de Madagascar, avait viré sa cuti après l’affaire Dreyfus (qu’il jugeait traître à la patrie parce que militaire et non parce que Juif !), et consacra le reste de sa vie à fustiger le capitalisme international qui commençait à éclore. Ce socialiste énergique (c’était avant les théories marketing de la société du «care» chère à Mme Aubry) estimait que la création d’un monde dirigé par ce que ses continuateurs ont nommé la fortune anonyme et vagabonde, destructrice des identités et des peuples qui pourraient lui résister, était le fait d’apatrides, c’est à dire des Juifs. Il imagina donc un Congrès juif mondial où ces derniers, ameutés de tous les pays du globe, venaient concevoir le projet de domination mondiale qu’il leur prêtait. Ce sont les Dialogues de Joly qui lui servirent de trame pour mettre en scène cette planification de hold-up mondial sur les nations.
Tout le monde sait que les Protocoles sont un faux. Adolf Hitler peu suspect de sémitophilie, le déclare lui-même dans son célèbre Mein Kampf. Depuis, la généalogie des Protocoles a été étudiée de manière scientifique par Henri Rolin dans l’Apocalypse de notre temps, puis par Pierre-André Taguieff qui a laissé sur la question un texte très fouillé.
Je ne suis en aucun cas tenant des théories conspirationnistes d’Urbain Gohier.
J’observe seulement que les moyens imaginés par Maurice Joly comme étant ceux que devrait utiliser un dictateur mondial pour asservir les peuples ont de fait été utilisés : suppression des frontières, des monnaies nationales, mise en œuvre d’une législation internationale, instauration d’une censure d’État sur l’interprétation du passé… Je ne peux manquer de penser quand je vois l’érection de la société mondialisée à ce vieux texte du militant sincère de la liberté qu’était Maurice Joly.
Que j’aie employé le titre des Protocoles au lieu de celui du Dialogue aux enfers donnera sûrement du grain à moudre à tous les psychanalystes de France et de Navarre qui ont bien besoin de faire oublier la récente charge qu’ils ont subie de la part de Michel Onfray. Mais sous sa forme originale ou sous celle détournée par Urbain Gohier, ce texte qui dénonçait la mainmise d’un système autoritaire destructeur des État et des peuples reste pour moi fondamental et la clairvoyance pessimiste de son auteur voilà 150 ans demeure, à mon sens, admirable.
Toutes ces forces agissant de manière non concertée dans la même direction pour des raisons diverses et parfois opposées s’inspirent d’une doctrine non écrite mais présente partout qu’on a appelée le mondialisme. Je dénonce cette idéologie morbide depuis toujours.
Ma comparaison de la situation présente avec les objectifs que l’auteur des protocoles prête aux comploteurs qu’il met en scène s’arrête à cette situation. Pour le reste, le complot juif dont on voudrait me prêter la dénonciation n’est pas un complot – des intérêts convergents s’étant manifesté en faveur de l’instauration d’une société mondiale. L’idéologie mortifère du mondialisme est malheureusement la chose du monde la mieux partagée et ma plus grande consternation est de voir un nombre si important de mes compatriotes céder aux sirènes de l’internationalisme et au messianisme de la société métissée.
Toute cette histoire prouve que je fais de la politique et pas de la communication, que je préfère le fond à la forme. J’ai employé une référence très connotée mais en tant que conseiller municipal de Vénissieux, j’ai vu trop souvent les énormes méfaits du mondialisme sur notre peuple et sur ceux – victimes tout autant – que le système a déracinés pour le faire venir échouer ici…
Les gens à l’esprit indépendant (il en reste en France) ne manqueront pas de relever d’où vient l’attaque. Les anarchistes en peau de lapin de Charlie-Hebdo déjà récemment discrédités par leur affaire avec Siné viennent de prouver une nouvelle fois qu’ils sont les valets du système politico-médiatique en place. Qu’ils aient choisi de faire figurer à la une du numéro qui m’incrimine une caricature de Sarkozy en fou du roi (qui remplacerait les récents épurés de France inter) est assez amusant. Ce sont eux qui amusent le système ; système qui se laisse un peu titiller, tant qu’on est d’accord avec lui sur l’essentiel : la mondialisation et la destruction des nations.
(*) Yvan Benedetti, directeur de Droite Ligne et du site Jeune nation, militant nationaliste exemplaire et conseiller municipal FN de Vénissieux, s’est vu dernièrement accusé par Charlie Hebdo d’avoir meployé comme réfférence les contreversés Protocoles des sages de Sion.
Source : Altermedia
Communiqué de presse de SOS Racisme :
Ajourd’hui, mardi 29 juin 2010, aura lieu à 13h30, au tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône, le procès des colleurs d’affiches du Front National, poursuivis pour violences entraînant une ITT de plus de 8 jours (64 jours). Les faits qui leur sont reprochés ont été commis en réunion et avec armes, à savoir une hampe de drapeau et un bâton en bois. En effet, c’est dans le cadre de la campagne législative de 2007 portée par Geoffroy Daquin, alors candidat Front National de la 8ème circonscription du Rhône, qu’une altercation a eu lieu entre plusieurs militants du FN et un habitant de Thizy.
Les militants et le candidat ont d’abord tenté de renverser le jeune homme avec leur « caravane législative », puis l’ont par la suite roué de coups. Ce dernier a été hospitalisé pendant deux jours et a été arrêté durant 64 jours. SOS Racisme dénonce le recours systématique à la violence des militants de ce parti d’extrême droite, qui se montrent incapables de s’inscrire dans le processus démocratique d’élections législatives. Si la circonstance aggravante de « racisme » n’a pas été retenue par l’instruction, il n’en reste pas moins que personne n’est dupe quand aux motivations de cette agression.
SOS Racisme attend que la justice prenne une sanction exemplaire à l’encontre des deux individus poursuivis, afin de mettre fin aux pratiques douteuses des militants de ce parti, par ailleurs soutenus par leurs dirigeants. En effet, Bruno Gollnisch, numéro deux du Front National, avait à l’époque des faits déclaré que les militants avaient agi « en légitime défense », après avoir « été attaqués par une bande ethnique d’une vingtaine de personnes ». Cette affaire vient rappeler à quel point la frontière est mince entre les discours haineux et les passages à l’acte dramatiques.
Source : François Desouche
Depuis plusieurs années, une libraire du Bourget subit un calvaire : attaque à main armée, viol en réunion, étouffement, étranglement, projection d’acide… Vingt-cinq agressions en six ans, sans compter les menaces et les intimidations quotidiennes. Interview exclusive.
Source : French Carcan