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  • A Lyon, une jeunesse debout

  • Roland Hélie était mercredi à l'Université d'été des jeunes du Vlaams Belang

    Vlaams_Belang.jpgMercredi 25 juillet, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau national de la Nouvelle Droite Populaire, était invité par Filip Dewinter, dirigeant du Vlaams Belang, à participer à l'Université d'été des jeunes de ce mouvement qui se déroule actuellement en Bretagne.

    Au cours de son intervention, Roland Hélie salua la grande amitié qui lie les nationalistes français et les nationalistes flamands et insista sur la nécessité de mener un combat commun dans toute l'Europe contre l'islamisation qui menace notre continent. Cette sympathique réunion fut l'occasion de retrouver, dans un cadre de rêve, de nombreux amis flamands et bretons et d'échanger ainsi, de manière constructive, nos vues sur l'avenir du combat nationaliste et identitaire. 

    Une formidable veillée, au cours de laquelle retentirent jusquà tard dans la nuit nos vieux chants de combats européens, conclua cette journée fort enrichissante.

  • Appel à l'union des nationalistes par Yvan Benedetti

    PAR YVAN BENEDETTI, PRÉSIDENT DE L'ŒUVRE FRANÇAISE

    (POUR LA VIDÉO, CLIQUEZ ICI)

    Françaises, Français, chers amis,

    Les dernières élections ont permis d’accentuer la bipolarisation de la vie politique française et de vérifier à quel point le Système, dans notre pays, était bien verrouillé. La mainmise du PS sur les institutions est désormais absolue, la droite courbe ayant été supplantée et le centre littéralement siphonné par le parti de l’anti-France, allié à des écologistes plus pastèques que jamais !

    Le nouveau président de la République s’est empressé de faire allégeance, tant sur le plan financi er que militaire, aux forces malfaisantes qui, en coulisses, travaillent à la mort des nations et à l’avènement du nouvel ordre mondial, de la pieuvre américano-sioniste !
    Face à l’écueil du scrutin majoritaire, l’illusion mariniste s’est évanouie. Seuls, l’avocat Gilbert Collard, girouette politique ouvertement anti-frontiste et maçon notoire, et la toute jeune et jolie Marion Maréchal-Le Pen ont pu surfer sur la vaguelette bleu marine, à la faveur de triangulaires idéales.

    La politique mariniste de prétendue dédiabolisation, qui s’est exprimée constamment par des concessions idéologiques majeures que tout nationaliste français digne de ce nom ne peut décemment cautionner, débouche donc sur un échec cuisant accentué par le revers personnel de Mme Le Pen et sur une impa sse politique. Cette déconfiture sonne aussi le glas des espérances électoralistes que d’aucuns nourrissaient encore dans notre famille politique.

    Il faut que les patriotes de France encore dupes du jeu pseudo-démocratique comprennent enfin que par les urnes, il n’est point de salut pour la France ! Et que le salut se trouve encore moins dans le reniement de nos idéaux !

    C’est en dehors du Système et non à sa périphérie, en rupture totale avec tous ses vices, toute la pourriture qui l’articule, qu’une force patriotique doit se dresser au plus tôt.

    Oui, il est grand temps qu’un front vraiment nationaliste s’oppose à l’oligarchie composée des mercantis les plus vils. Il en va de la pérennité de notre nation et de notre civilisation.


    Je vous exhorte, de toutes mes forces, à vous rassembler dès aujourd’hui, vous, autochtones de France traités en « 
    sous-chiens » sur votre sol, vous tous, patriotes des mouvements d’Extrême-France qui ne transigez ni sur la nation, ni sur la défense de la famille et de la vie, vous qui voulez renverser le Veau d’Or et anéantir la religion du mensonge, encore renforcée après la récente intervention servile et repentante du chef de l’État.

    Je mets à votre disposition ma personne et toutes les structures du mouvement que j’ai l’honneur de conduire pour permettre cette unité derrière laquelle nous œuvrons depuis si longtemps.

    Il faut cesser de se complaire dans la contemplation morbide de la décomposition de notre pays. Place à l’action !


    Il faut donner des coups de boutoir à ce Système de plus en plus vermoulu. L’
    État prétendument socialiste entend réprimer toute action politique des nôtres avec une extrême brutalité. Il ne faut pas avoir peur ! La rafle, le 23 juin dernier, des « souchiens » venus noncer la préférence antinationale et le racisme anti-français à la gare de la Part-Dieu de Lyon, après l’interdiction de leur manifestation, et l’intervention du GIPN, toujours à la Part-Dieu, quelques jours plus tard, pour déloger et interpeller Alexandre Gabriac entouré de trois jeunes nationalistes, démontrent l’intransigeance des autorités à l’égard des vrais patriotes. Mais cette intransigeance trahit justement la crainte du Système de ne pouvoir endiguer longtemps l’adhésion que nos idées rencontrent chez les Français non reniés, notamment auprès des jeunes. Les jeunes Français veulent ressembler à Alexandre Gabriac et ils ont raison ! Ils n’ont pas une vocation d’esclaves. Et c’est précisément cela, la révolte des « souchiens » !

    C’est en continuant à puiser dans les vertus ancestrales de notre peuple, de notre race, que nous répondrons tous présent à ce grand rendez-vous de l’Histoire, que nous restituerons la France au x Français avant de pouvoir restaurer en profondeur notre patrie charnelle. Alors debout, les Français ! Haut les cœurs, en avant la victoire ! Maîtres chez nous !

    Yvan BENEDETTI,
    Président de l’Œuvre française.


     

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  • Il y a 60 ans, ce jour là

    Le 26 juillet 1952, disparaissait la madone de los descamisados (les sans- chemises), victime de la leucémie, après de longs mois de souffrances et plusieurs interventions chirurgicales.

    Et pour tous les Argentins, même après des décennies, Eva DUARTE-PERON reste une icône. Celle qui deviendra la seconde femme du Général Juan Domingo PERON est née le 7 mai 1919 à Los Toldos en Argentine.

    Très jeune orpheline, sa jeunesse fut empreinte de misère et de pauvreté tel qu’était le lot de millions de ses compatriotes à cette époque.

    Adolescente elle rejoint la capitale BUENOS AIRES, dans l’espoir d’une vie meilleure et connut divers métiers comme chanteuse de cabaret, actrice de cinéma et animatrice de la radio locale « Belgrano », ce qui la fit connaître auprès de la population.

    C’est elle qui en 1945 alerta les travailleurs et l’opinion publique sur la disgrâce de PERON et parvint par son opiniâtreté à le réhabiliter.

    Ils ne se quitteront plus et « EVITA » se transformera en propagandiste de charme et de choc pour le régime, tout spécialement en faveur de la femme argentine et des pauvres du pays, multipliant les institutions, les écoles et les dispensaires à leur intention.

    Prêchant le justicialisme social, elle anime et dirige aussi les trois principaux quotidiens du pays, ayant perçu le poids des médias auprès de la population.

    Eva PERON sera l’élément majeur des réussites de son mari, infatigable combattante de l’oligarchie, au point de susciter une véritable idolâtrie de la part des descamisados, les déshérités de la nation dont le culte survivra à sa disparition à l’âge de 33 ans.

    Des milliers de textes politico- historico - économiques ont été écrits à son sujet et personnellement, je prétends que l’on ne peut pas expliquer Eva PERON.

    Tel un ange, elle est sortie de l’ombre. Elle libéra la femme et lui donna le droit de vote. Elle a rendu sa dignité au travailleur et lui fit sentir qu’il comptait pour beaucoup dans la marche du pays. Elle améliora très sensiblement sa vie de famille et fit en sorte que les plus humbles se sentent en sécurité. Elle abrita les enfants abandonnés et s’occupa aussi de l’hygiène publique. Elle se donna entièrement à sa « mission » pour que personne ne souffre de privations et ce, même sur son lit de mort.

    Ce fut une femme remarquable qui appartient à cette minorité de personnages historiques qui défient toute morale ou logique. Les détracteurs d’Eva PERON le reconnaissent : des millions d’Argentins parmi les plus pauvres l’aimaient sincèrement. Devenue la personnalité la plus puissante du pays, cette jeune femme radieuse restait des leurs.

    Parce que le peuple la considérait comme une bonne fée, comme une sainte, une madone. Et malgré ses défauts elle était, comme toutes les femmes célèbres de l’Histoire, douée du génie de la création.

    Dans son autobiographie « la razon de mi vida » Eva PERON distingue trois parties : les raisons de ma mission, les ouvriers et ma mission et les femmes et ma mission, ayant comme ligne directrice le sentiment fondamental qui a toujours dominé l’esprit et la vie d’Evita : l’indignation devant l’injustice. Car pour elle, le spectacle de toute injustice a toujours été synonyme de souffrance.

    A la fin de son livre, quelques mois avant son décès, Eva PERON affirme :

    « Mais je n’ai pas écrit pour l’Histoire.Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour le présent, pour ce présent extraordinaire et merveilleux qu’il m’est donné de vivre, pour le peuple argentin et pour toutes les âmes qui, dans le monde, de près ou de loin, sentent qu’un jour nouveau se lève pour l’humanité : le jour du « Justicialisme ».

    Je ne regrette aucun des mots que j’ai écrits. Sinon, il faudrait d’abord les effacer du cœur et de l’âme de mon peuple qui les a entendus si souvent et qui m’en a récompensé par son affection inestimable !

    Une affection qui a plus de prix que ma vie !

    Le mythe d’ÉVA PERON reste encore très tenace aujourd’hui dans l’opinion populaire argentine, parce qu’il incarne la fidélité à ses origines et au combat pour le renouveau de l’ARGENTINE.

    Un de ses plus fameux discours reste celui qu’elle prononça le 22 août 1951, durant lequel elle annonce son refus d’accepter la fonction de vice-présidente du pays, malgré le vote des Argentins en sa faveur.

    Que son combat reste vivant en nos mémoires et qu’Elle repose en Paix ! 

    Pieter KERSTENS

     

    Bibliographie : « La raison de ma vie » de Eva Peron. Editions : Raoul Solar. mai 1952 ;            « Eva Peron » de George Bruce. Editions : edito-service.Genève.  1970 ; « Evita Peron » de Jean-Claude Rolinat. Editions : Dualpha. 2010.

  • Les Bobards d'or 2012


  • Immigration : pourquoi le patronat en veut toujours plus

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    Source Mariane via BCA

    Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.

    On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.

    Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens.

    Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé « l’immigration choisie ».

    L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.

    Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.

    Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.

    

Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’oeuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’oeuvre ailleurs, entend-on souvent.



    « Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).

    Autrement dit, une pénurie de main d’oeuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’oeuvre prête à accepter des salaires plus faibles.

    C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).

    Le rapport du Conseil d’Analyse Economique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% » (page 37)

    « Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).

    Concernant les Etats-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).
     
    Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration.
    Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.

    Relevé sur : Synthèse nationale

  • Rivarol cette semaine

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  • L'islam est-il devenu religion d'Etat en France ?

    « Comme chaque année, alors que le Carême est volontairement et totalement passé sous silence dans l’actualité, le Ramadan qui débute aujourd’hui est annoncé en boucle dans tous les médias, à toute heure et sur toutes les ondes. L’islam est-il devenu religion d’État en France ? Notre pays compte pourtant encore plus de 50 % de baptisés et il est essentiellement de racine et de tradition chrétiennes. Cette surmédiatisation du Ramadan, loin d’être le fruit du hasard, s’inscrit dans un processus toujours plus croissant de déchristianisation-islamisation de notre société, tout cela, bien sûr, au nom de la « laïcité positive ». Cette « laïcité positive » qui permet la multiplication des mosquées-cathédrales et l’occupation illégale de rues par des musulmans pour y prier. Cette « laïcité positive » qui supprime le porc dans certaines cantines et impose progressivement la viande hallal partout . Cette « laïcité positive » qui hurle lorsque des tombes et édifices musulmans sont profanés mais qui se tait immédiatement lorsque de mêmes exactions frappent les autres religions ! Tout cela n’est pas étonnant de la part d’une classe politique inconsciente et suicidaire qui est allée jusqu’à refuser toute référence aux racines chrétiennes de l’Europe dans la funeste Constitution européenne. »

    Relevé sur : La désinformation autour de l'immigration

  • Rivarol cette semaine

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