Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • C'est demain au Local, à Paris

    Le_Local_28-juin-2012.jpg

  • France Terre d'asile juge le gouvernement trop sévère sur l'immigration...

    On est toujours le raciste de quelqu'un, il faut s'y faire. Ainsi, une cinquantaine d'organisations, le plus souvent groupusculaires, interpellent-elles François Hollande et son gouvernement pour les appeler à appliquer son programme politique, notamment en matière d'immigration. Que l'immigration demeure sous le contrôle du ministère de l'Intérieur ne semble pas ravir les tenants de la Collaboration.

    France Terre d'asile en remet une couche et considère que «dans le domaine de l'immigration, l'annonce de la composition du gouvernement Ayrault 2 s'inscrit dans une certaine continuité de la gouvernance mise en place par Nicolas Sarkozy». On en frémit d'effroi...

    Les délicates personnes ajoutent qu'"«Il n'y a là aucun signe encourageant pour la société civile et les défenseurs des droits de l'Homme». Question : dénoncera-t-on un jour suffisamment les ravages du Sida mental, infiniment plus dangereux que le VIH.

  • Elections en douce France

    Elections en douce France
    D’après Jean de la Fontaine

    Voilà plus de quatre ans qu'un coq en rien gaulois
    Gouvernait sans partage et imposait sa loi.
    Nombre de volatiles n'osaient le contredire
    Bien qu'il fut bas sur pattes,
    c'est le moins qu'on puisse dire.
    D'origine hongroise, ce coq trop agité
    Ne laissait à personne le soin de décider.
    Oui mais dans quelques mois il faudrait bien choisir
    Un chef pour la basse-cour. Qui allait-on élire ?
    « On ne veut plus du coq, il nous a affamés
    Gardant le blé pour lui et pour tous ses poulets »
    Disaient les pensionnaires de notre basse-cour.
    « Voyons un peu pour qui voter au premier tour.»

    Trouver un prétendant n'était pas chose aisée,
    On le voulait plus grand, pas trop mou et racé.
    Une faisane royale aux dernières élections
    Avait perdu des plumes dans cette confrontation,
    D'ailleurs perdu aussi la confiance de ses potes
    Qui cherchaient quelqu'un d'autre pour battre le despote.
    Un jars avait la côte, vieux mâle grisonnant ;
    Dominer et niquer, tel était son passe-temps.
    Partout, dans chaque recoin, on le voyait le soir
    Sauter toutes les oies, qu'elles soient blanches ou noires.
    « Pas question de le prendre, il pense trop à la chose.
    Qu'il aille se faire soigner, que nos oies se reposent »
    Clamait un fier dindon venu droit de Hollande
    Qui jurait d'exaucer jusqu'aux moindres demandes.
    Il avait réussi à se débarrasser
    D'une grosse dinde chti qui voulait s'imposer
    En cherchant le soutien des poules et des faisanes
    Par l'interdit des œufs de plus de trente-cinq grammes.
    Ce Dindon courtisait une cane colvert.
    Migratrice, elle venait d'un pays où l'hiver
    Est plus rude qu'en France et pour son grand bonheur
    Avait mis hors combat un pigeon voyageur.
    Au demeurant jolie, elle jugeait qu'il fallait
    Pour pouvoir l'emporter promettre aux poulets
    Nourriture plus saine, une vie plus aisée,
    Mais sans OGM et blé labellisé.
    Le Dindon disait oui mais en réalité
    C'était juste pour lui prendre les voix qu'il convoitait.
    Et pour tout perturber, voila qu'un vieux poulet
    Qui avait trépassé, était ressuscité.
    Prétextant qu'il avait ainsi côtoyé Dieu
    La place de dirigeant, il appelait de ses vœux.
    Ajoutez à ceux là une sorte de poule d'eau,
    Une espèce marine qui parlait fort et haut
    Et voulait qu’Allah sorte de son poulailler
    Mettre les poules tête nue qui avaient immigré.
    « Elles viennent nous envahir et manger notre blé
    Si on les laisse faire, nos cous elles vont plumer.
    Renvoyons les chez elles à coups de pieds aux cul(te)s!»
    Tels étaient les propos de notre gallinule.

    Il y en aura bien d'autres d'ici les élections,
    Candidats qui voudront susciter des passions,

    Des paons et des canards essayant de faire croire
    Que dans la basse-cour il faut reprendre espoir,
    Que le bonheur est là, juste à portée de patte.
    Vous y croyez vraiment ? Mais que vous êtes tartes !
    Anonyme

  • Rivarol cette semaine

    3051.jpg