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  • Immigration bénie ?

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    Par Yves Darchicourt

    "Aux nombreux exilés et réfugiés qui proviennent de différents pays africains (...) que se manifeste la solidarité de tous. Que les hommes de bonne volonté soient éclairés pour ouvrir leur coeur à l'accueil, afin que de façon solidaire et concertée il soit possible de répondre aux nécessités pressantes (...) Qu'à tous ceux qui se dépensent en de généreux efforts et offrent des témoignages exemplaires en ce sens parviennent nos encouragements et notre appréciation."

    Dans son message pascal, le pape Benoît XVI semble bien s'être égaré sur le terrain politique en confortant la position des mondialistes qui vont se servir de ces paroles de générosité pour justifier leurs actions en faveur d'une immigration planétaire, laquelle serait rendue nécessaire par les évènements dramatiques qui surgissent ici ou là et précipitent des afflux de réfugiés réels ou supposés vers l'Europe. On va peut-être en arriver à voir des laïcards militants auréoler leurs actions immigrationnistes délétères du message urbi et orbi du Souverain Pontife qu'ils brocardent tant en d'autres circonstances.

    Si l'on se réfère à l'ancestrale distinction (non pas la séparation) entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel, on pourra regretter que Benoït XVI ait cru bon de parler globalement de politique migratoire, intervenant ainsi indirectement auprès des responsables politiques non pas seulement ratione peccati (en raison du péché, auprès d'un chétien, pour des motifs de foi ou de morale) mais ratione feudi (en raison de fief, c'est à dire dans une affaire touchant à la politique ou à l'administration d'un pays). C'est sans doute fort regrettable !

    Source : Synthèse nationale

  • Rivarol cette semaine

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  • La municipalité de Nantes entre en dhimmitude

    Lu dans Presse-Océan du 11 février (extrait) :

    « La salle de prière fera près de 600 m² avec une mezzanine sur trois côtés et deux salles pour les ablutions, décrit Boubakar Labidi, de l’association islamique (AIOF, affiliée à l’UOIF). Elle pourra accueillir 800 personnes et sera surplombée d’une coupole à quatorze mètres de haut. » La mosquée sera reliée par une galerie à un centre culturel de trois étages, comptant six salles, une bibliothèque. « Nous aurons des bassins en extérieur. » L’ensemble des bâtiments couvre 3 100 m². (…)

     

    Budget : 4,5 millions d’euros
    « Le budget de cette future mosquée atteint 4,5 millions d’euros »,chiffre Boubakar Labidi. L’association islamique (AIOF) porte l’investissement avec une souscription qui a réuni 1,5 million d’euros pour lancer le gros oeuvre. Près de deux millions sont à ce jour réunis. La collecte des dons continue au fil des travaux.

    La municipalité de Nantes apporte 200 000 € pour contribuer au financement du centre culturel.

    « La mosquée fait partie intégrante du projet de rénovation de Malakoff (GPV). Elle sera ouverte, intégrée dans le quartier, défend l’architecte Jean-Muc Martin. Le minaret de 17 mètres de haut sera constitué d’un voile de béton habillé de verre. Les murs seront couverts d’un parement en granit. L’étage de la mezzanine sera doté de zinc, comme la coupole. La fin des travaux est envisagée pour 2011. » À la Janvraie, la communauté turque termine en ce moment la construction d’une autre mosquée. L’association table sur deux mois de travaux avant l’ouverture. Lire l’article intégral.

    Rappel : le maire de Nantes est Jean-Marc Ayrault, président du groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche à l’assemblée nationale…

    Financer une association (AIOF-site Internet) affiliée à la très radicale UOIFne pose donc pas de problème au Parti Socialiste.

    Relevé sur Altermedia

  • Rivarol cette semaine

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  • Intervention d'Annick Martin au colloque de Synthèse nationale, samedi 9 avril à Paris

    Voici le texte du discours d'Annick Martin, vice présidente du MNR, prononcé samedi 9 avril lors du Colloque de Synthèse nationale sur les 35 ans du regroupement familial à Paris :

    Le problème de l'immigration que nous traitons aujourd'hui est la conséquence d'un choix politique en matière de démographie.

    En effet, nous traversons une très grave crise démographique : l'Europe ne renouvelle plus ses générations. Faute d'une natalité suffisante et du fait de l'allongement de la durée de vie des individus, on assiste à un vieillissement très préoccupant de notre population. Cette récession est loin d'être négligeable, puisque non seulement elle affecte le moral des peuples, mais de plus, elle hypothèque la relance économique et l'avenir social des nations européennes.

    Les dirigeants politiques qui se sont succédé après la seconde guerre mondiale ont eu un objectif commun : soumettre la démographie au monde économique. Et pour ce faire, ils ont choisi la pire des solutions : la mise en oeuvre d'un flot ininterrompu d'immigration en provenance du continent africain principalement, en ce qui concerne la France.

    Le choix d'une politique démographique

    Ils ont choisi l'immigration alors qu'ils auraient pu choisir de relancer la natalité par une politique familiale au profit des familles françaises et européennes. Ce choix n'est pas neutre. Au-delà de l'aspect purement arithmétique dès phénomènes démographiques, les individus ne sont pas interchangeables d'une civilisation à l'autre et le danger de disparition menace les peuples européens, s'ils ne renouvellent pas eux-mêmes leurs générations et acceptent que cette mission soit accomplie par des populations non européennes, dont l'indice de fécondité sur notre sol dépasse largement trois enfants par femme.

    Le choix de substituer les peuples européens est un choix délibéré qui s'opère au bénéfice de nos concurrents mondiaux. On peut d'ailleurs observer que l'immigration en provenance de pays moins développés est en véritable surchauffe depuis la chute du mur de Berlin et l'organisation de la mondialisation par la puissance américaine.

    En ce qui concerne la France, ce qui n'était au départ qu'un levier en faveur de certains secteurs économiques est devenu un moyen d'écraser les Français qui auraient la volonté de relever la tête et de prendre en main leur destin.

    Dans cette évolution mortifère, une étape majeure a été franchie en 1976 avec la décision de Giscard et Chirac, de donner un coup d'accélérateur à l'immigration majoritairement africaine, en instaurant ce qu'on appelle le '' regroupement familial ''. On peut fixer à ce moment le début de la politique d'immigration massive. En effet, il est clair que ce phénomène démographique qui menace lourdement notre société dans son identité, dans ses valeurs de civilisation, je dirais dans son âme, ce phénomène n'aurait pas pris les proportions qu'il a prises, sans cette décision. Aujourd'hui encore, le plus gros contingent de primo-arrivants, se fait par ce biais.

    Avec le regroupement familial, nous assistons à l'organisation d'une substitution de population tout à fait insidieuse, d'une invasion irrépressible qui se fait par la seule force du nombre, avec l'appui du nouveau code de la nationalité qui veut que toute personne née sur le territoire français ait droit à la nationalité française.

    Signalons aussi que l'Union Européenne a repris à son compte le décret sur le regroupement familial dans une directive de 2003 (2003/86/CE) qui préconise que '' l'état doit permettre à un étranger séjournant sur le territoire national de faire venir son conjoint et ses enfants mineurs dans les deux ans qui suivent son arrivée ''.

    L'immigration au service des marchands

    Au départ, l'instauration des mouvements migratoires étaient censés dépanner l'industrie en manque de main-d'oeuvre.

    Jusqu'au XIXème siècle en Europe et particulièrement en France, une population abondante avait fait notre puissance, puisqu'il fallait des soldats pour les combats et que les invasions de l'époque se faisaient à coup d'épée puis de mousquets et pas encore au titre du regroupement familial... et que, par ailleurs, il fallait des bras pour assurer l'économie de subsistance.

    A la fin du XIXème siècle on a commencé à avoir besoin d'ouvriers pour les usines, mais la France restant un territoire très rural, son industrialisation s'est faite progressivement et n'a pas provoqué de grande migration comme cela s'est produit en Angleterre.

    C'est au XXe siècle qu'a eu lieu la grande mutation industrielle. C'est donc logiquement au cours de ce siècle que les besoins d'une nouvelle main-d'oeuvre se sont fait sentir.

    La production industrielle est directement liée à 2 grands facteurs : le capital (les investissements) et la main d'oeuvre (la population active). Dans la stratégie qui consiste à satisfaire les besoins industriels de main d'oeuvre, l'immigration est devenu un élément clé par son volume et par son bas coût. Cela s'est fait par étapes, mais d'une façon exponentielle.

    Dans les années 50 à 70, la part de la population active étant insuffisante pour les besoins de l'industrie renaissante, dans un premier temps, on a favorisé l'exode rural. Aucun effort n'a été fait pour conserver la population dans les campagnes. Au contraire, on a pratiqué une politique de déracinement et de préférence aux grandes exploitations agricoles, qui a conduit à la désertification. Dans un premier temps, les besoins de main d'oeuvre ont donc été comblés par une population non qualifiée et encore peu payée, par rapport à une classe ouvrière constituée dans les années 30, mieux formée et légitimement plus exigeante. L'ex-ouvrier agricole venait concurrencer l'ouvrier professionnel en place, tirant, déjà, les salaires à la baisse.

    Lorsque cette source s'est tarie, on a fait appel aux femmes, autre catégorie de main d'oeuvre peu exigeante. Peu à peu s'est installée une nécessité : celle du salaire féminin venant compléter le salaire de l'homme que, du coup, on pouvait tempérer. Petit à petit il a fallu 2 salaires au lieu d'un pour vivre. Sans le salaire de la femme, il n'y avait souvent ni confort, ni vacances, ni voiture... Le prix démographique à payer a été lourd, puisqu'il a fallu choisir : travailler - souvent pour un salaire vraiment médiocre - ou faire des enfants... La société de consommation et S. Veil ont fait le nécessaire pour que les femmes à leur tour soient happées par les besoins d'une production toujours croissante, mais de moins en moins généreuse avec ses ouvriers.

    Mais l'appétit de bénéfices étant sans limites, pour contracter encore les coûts, on a fait appel à l'immigration, grâce à la collusion entre le pouvoir politique et le pouvoir économique. En comparaison avec un salarié français, un immigré fraîchement débarqué est toujours meilleur marché et moins revendicateur. C'est pourquoi le système économique réclame toujours plus d'immigrés. Il fait son profit sur un flux qui doit être toujours renouvelé. Et peu importe le taux de chômage...

    On aurait pu penser qu'on était arrivé au bout des possiblités de diminution des coûts en matière de main d'oeuvre. Et bien non !
    Depuis les années 90, une nouvelle vague de populations importées vient concurrencer très efficacement les immigrés légaux, ce sont les150 à 200000 clandestins, qui par leur situation acceptent n'importe quelles conditions de travail jusqu'à l'obtention de leur régularisation.

    Tant que la France était un pays riche, et qu'elle pouvait se permettre d'indemniser largement les Français laissés sur le carreau, les problèmes d'immigration restaient au deuxième plan. Tout le monde y trouvait son compte. Au point que lors de la récession des années 80, la nécessaire diminution des besoins en main-d'oeuvre a été très habilement maquillée par Mitterrand, au moyen de mesures de surcroit très populaires. La réalité était que l'industrie n'avait plus besoin d'autant d'employés, au lieu de renvoyer chez eux les immigrés surnuméraires, on a habillé la crise en progrès social. On se souvient du '' partage du travail '', de la diminution de l'âge des retraites, de l'augmentation du nombre de fonctionnaires, de l'augmentation des congés payés, de la diminution de la durée du travail. Autant de mesures qui, en fait, ont servi à masquer une sorte de chômage technique généralisé, mais qui ont ralenti, voire bloqué, l'évolution des salaires. Donc les mesures pour s'adapter à la situation économique nouvelle ont été prises et on a aménagé, certes de façon très discutable, la contraction de la main d'oeuvre.

    Donc au plan économique on sait et on peut inverser une tendance assez rapidement. En revanche, on n'inverse pas les facteurs démographiques du jour au lendemain... surtout si on n'en a pas envie. D'autant qu'en matière de démographie, l'unité de mesure pour les populations installées c'est la génération, c'est-à-dire 30 ans !

    Parler d'immigration : un tabou

    C'est pourquoi, au fil des ans, il est devenu de plus en plus difficile de parler de l'immigration et corrélativement de l'effondrement démographique français et plus globalement européen.
    En ces temps où mondialisme est synonyme de modernité, c'est prendre le risque d'être taxé de ringard(e), d'imbécile ou de paranoïaque, lorsqu'on prétend mettre en cause le dogme absolu de la bienfaisance de l'immigration.

    '' L'immigration c'est bien ''. Et qui conteste cet axiome doit le faire avec la plus grande prudence. Eric Zemmour vient d'en faire l'expérience ; en matière d'immigration, les vérités ne sont jamais bonnes à dire.

    La politique migratoire fait l'objet d'un véritable secret statistique et administratif. Les études sont volontairement tronquées, les enquêtes démographiques ne permettent pas de connaître l'origine des populations et les interprétations des rares chiffres qui sont portés à notre connaissance sont tout à fait fallacieuses.

    Ainsi nous sommes dans une situation paradoxale, alors que nous sommes abreuvés de sondages qui observent jusqu'à nos moindres faits et gestes, qui dissèquent notre manière de penser et de consommer, nous ne savons rien - du moins officiellement - sur les populations immigrées. Il est urgent de faire un véritable inventaire démographique. Comme lors de son arrivée au pouvoir la gauche avait fait un inventaire économique, je suggère qu'à son arrivée, le prochain ou la prochaine président(e) de la république, procède à cet inventaire démographique.

    Depuis la pratique du regroupement familial et l'application du nouveau code de la nationalité, et compte tenu également du nombre effréné de naturalisations (+ 16,8 % en 2010) à un rythme moyen de 12 000 par mois depuis 10 ans, l'implantation immigrée est tellement explosive qu'il n'est pas facile d'être exhaustif.

    Malgré l'omerta statistique, l'explosion des minorités visibles est corroborée par les rares chiffres dont nous disposons. Encore faut-il les trouver et les lire avec attention et un minimum d'esprit critique.

    Ainsi, alors que le chiffre de la population française est vraisemblable (63 millions d'habitants en métropole et 1 900 000 dans les DOM), l'INSEE nous annonce un taux d'immigrés de 8,3 %. Ce résultat (5,2 millions) paraît faible en regard du nombre d'immigrés musulmans revendiqué par les constructeurs de mosquées.

    Il faut signaler aux amateurs de calcul, que les vérifications sont difficiles. En effet la consultation du site de l'INSEE est édifiante. En ce qui concerne les flux d'immigration permanente, l'INSEE a bloqué les compteurs en 2005 au chiffre de 135 395 pour cette année. Concernant le recensement des familles d'immigrés selon le pays d'origine, les derniers chiffres datent de 1999. Quant à la rubrique '' immigrés selon le pays d'origine '', elle comporte la mention '' tableau introuvable '' !

    Concernant les naissances, sur les 800 000 naissances annuelles, 20 % sont des petits Français nés d'au moins un parent étranger (dont 7% de 2 parents étrangers). Notre population croissant de 346 000 individus / an, 57 % de l'accroissement démographique est donc le fait de l'immigration.
    Les travaux de Gérard-François Dumont (in : Population & Avenir, n° 681 de janvier 2007) ont permis d'évaluer quelle est la contribution des femmes selon leur origine : la fécondité des femmes françaises (y compris celles qui ont la nationalité française mais sont d'origine immigrée) est de 1,79. Celle des femmes maghrébines est de 3,25, celle des africaines de 4,04, celle des turques de 3,35 et celle des asiatiques de 2,83.

    La forte fécondité de ces femmes témoigne de leur satisfaction de se trouver en France et de pouvoir y bénéficier d'avantages médicaux et sociaux incomparables.
    Certes la fécondité de la 2ème génération d'immigrées rejoint celle des françaises, mais elles sont remplacées par d'autres arrivantes.
    Au total, on évalue à 0,2 la part de l'indice synthétique de fécondité liée aux populations récemment arrivées en France.

    Ce qui ramène la contribution nationale à 1,73. Soit au même niveau que la Suède, par exemple.

    Pourquoi escamote-t-on la réalité ? Pourquoi faut-il cacher aux Français la vérité lorsqu'on parle d'immigration ?

    Parce qu'il y a une volonté d'installer définitivement des populations non-européennes sur notre terre, volonté qui s'est concrétisée par la réforme du code de la nationalité dont les pouvoirs économiques locaux n'ont strictement rien à faire. C'est la raison pour laquelle nous ne pouvons nous contenter des raisons strictement économiques pour expliquer cet acharnement à nous imposer ce phénomène qui représente une charge pour la nation, un grave danger pour nos valeurs de civilisation européenne et à terme pour notre existence même.

    Il y a une volonté politique d'affaiblir l'Europe en l'obligeant à prendre en charge sur son sol une partie de la population africaine. Ce n'est pas une vue de l'esprit. En disant cela je ne fais que rappeler ce qui a été préconisé par l'ONU en 2000. L'ONU prévoyait de doubler la population européenne tous les 40 ans et d'implanter 160 millions d'immigrés supplémentaires en Europe à échéance 2025, soit 24 millions pour la France. Cela dans le but de corriger le vieillissement des populations européennes.
    Certes il faut lutter contre le vieillissement de la population et la dépression démographique. Mais pourquoi le recours à l'immigration est-il la seule solution proposée. Pourquoi n'évoque-t-on pas la solution nataliste ?

    Pourquoi choisir la solution qui anéantit tout espoir d'une Europe puissante et indépendante ? Pourquoi choisir la solution qui nous affaiblit face à la concurrence américaine ?
    Nous savons, nous, il y a une autre politique possible que celle qui est mise en musique par nos dirigeants depuis des décennies. Une autre politique que cette politique qui nous est infligée mesure après mesure.

    En effet, la population française et européenne est conditionnée, façonnée, préparée à laisser sa place à des populations immigrées moins développées, imposant peu à peu leurs propres modes de vie, coutumes et religion, mais combien plus malléables !

    Tous les moyens sont bons pour nous imposer cette forme de colonisation à rebours, qui doit éliminer un continent et une civilisation du partage du pouvoir mondial. En résumé, par l'immigration qui est une véritable arme de destruction massive, il s'agit d'éliminer les Européens.

    Pour ce faire, le peuple français subit un véritable bourrage de crâne depuis des décennies. Souvenez-vous... l'immigration a été successivement :
    - une chance pour la France,
    - un nécessaire apport de main d'oeuvre pour faire '' ce que les Français ne veulent PLUS faire '',
    - les '' jeunes '' chez lesquels le taux de chômage avoisine les 35% allaient payer nos retraites,
    - les immigrés rapportent plus qu'ils ne coûtent,
    autant de mensonges éhontés :
    - les prisons abritent 80 % de '' chances '',
    - les Français veulent bien faire n'importe quel travail, mais ils veulent être payés décemment et en ont assez de faire l'aumône,
    - quant à nos retraites, dans le système actuel, elles ne risquent pas d'être payés par des chômeurs ou des allocataires chroniques,
    - enfin dire que l'immigration rapporte est un mensonge éhonté. Tout récemment un ancien expert du FMI (M. Pince) a démontré que l'immigration coûte plus de 50 milliards Euros/an.

    On nous a servi la propagande pseudo-humanitaire la plus éculée.
    Pour justifier le regroupement familial, nous étions des monstres qui séparaient les pères de leur(s) femme(s) et enfants. Sarkozy a du reste invoqué les mêmes mânes familiales pour supprimer la double peine.

    Mais la réticence des Français croissant proportionnellement au nombre d'immigrés s'installant chez nous, une opération de culpabilisation de grande envergure a été menée ces dernières années : colonisation, tirailleurs sénégalais morts en 14-18, repentance à l'égard de l'esclavage... j'en oublie certainement, rien ne nous est épargné...

    Le peuple français est soumis à un triple conditionnement : culpabilisation, compassion et même tentative de séduction : les charmes de la '' diversité '' ont succédé aux délices de la mixité... mais attention, le bâton n'est jamais loin, la discrimination ne peut être que positive et refuser l'immigration c'est forcément être raciste. On a crée la Halde !

    Mais malgré ce '' pilonnage '', il arrive un moment où la propagande se heurte au mur de la réalité. Et nous assistons à une radicalisation de l'opinion qui s'est traduite récemment dans les urnes.

    Voilà où nous en sommes.

    L'assimilation a échoué.
    L'intégration a échoué.
    La mixité ethnique est une illusion et se développe le communautarisme qui débouche sur les conflits et la violence, entre communautés d'abord, puis avec les institutions du pays d'accueil. C'est pourquoi le communautarisme qui séduit parfois les Français européens qui espèrent trouver là une solution de repli pour eux-mêmes, n'est pas une bonne réponse à la menace qui pèse sur notre civilisation.

    Il n'y a qu'une politique possible en l'état. C'est la politique du retour. Il faut non seulement stopper mais inverser les flux migratoires en provenance des rives sud et est de la Méditerranée et de l'Asie afin de préserver notre identité. '' Organiser le retour des immigrés non européens chez eux, c'est impossible, c'est trop tard... '' Ce sont les propos tenus par les timorés qui regardent disparaître la France avec chagrin, mais sans rien faire. Rien n'est plus faux. Quelques mesures législatives de bon sens sont à prendre :

    * mettre un terme au droit du sol

    * abroger le décret autorisant le regroupement familial
    * restaurer l'éloignement des étrangers délinquants
    * rendre au droit d'asile sa spécificité politique
    * impliquer la préférence française et européenne concernant les emplois, les logements, les allocations familiales, le RSA, la CMU
    * supprimer l'AME, chef-d'oeuvre d'incohérence politique.
    En effet, l'appartenance à la communauté nationale engendre des devoirs et procure des droits et des avantages, qui, par définition ne sont pas accordés à d'autres communautés.

    Commençons par compter les immigrés et qui sont illégalement sur notre territoire ou qui contreviennent gravement à la loi : on compte au bas mot 600 000 clandestins, 300 000 personnes appartenant à des familles polygames, plus de 40 000 incarcérés étrangers ou d'origine étrangère, sans compter tous les délinquants récidivistes parfaitement identifiés ('' connus des services de police '') qui alimentent les faits divers. Sans parler des activistes islamistes... On dépasse très largement le million de personnes qui doivent être reconduits à la frontière sans délai.
    Commençons par là.
    Concernant les immigrés chômeurs en fin de droits, organisons ensuite leur retour humainement.
    Tout cela est possible, la preuve : si 250 000 personnes peuvent passer plus ou moins clandestinement la frontière dans un sens chaque année, on imagine mal qu'un gouvernement ne puisse organiser un retour à hauteur de 250 000 personnes par an dans l'autre sens.

    Mais surtout nous devons reconquérir notre territoire par une natalité dynamique et une vraie politique d'aide aux familles françaises et européennes. Mais pour être efficace, une politique familiale doit tenir compte du désir des jeunes couples de bénéficier d'une qualité de vie comparable à celle des aînés ; et en particulier du désir pour la femme de conserver une activité hors du foyer. Mais ce n'est pas le sujet de ce séminaire.

    La démographie est un secteur plus stratégique encore que celui de l'énergie. On ne s'achète pas un nouveau peuple comme on s'achète des barils de pétrole et l'importation de millions d'immigrés équivaut à un suicide.

    Comme il y a une guerre économique, il y a une guerre démographique. Mener ce combat, résister à l'immigration, défendre notre civilisation et notre identité n'est certainement pas un combat d'arrière-garde. Ce combat n'est pas perdu d'avance, si nous avons l'audace de balayer la classe politique qui nous mène à notre perte. Il faut renoncer au palliatif inadapté qu'est l'immigration et oser faire de la natalité une priorité nationale et européenne.

    À nous de trouver en France et en Europe, les nouveaux dirigeants qui auront à coeur de défendre nos identités et de faire de l'Europe une puissance mondiale.

    Les interventions faites au cours de ce colloque seront publiées dans le prochain numéro de Synthèse nationale.

    Source : Synthèse nationale

  • Rivarol cette semaine

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  • Un livre essentiel : "Au coeur du pouvoir" par Emmanuel Ratier

    Une grande nouvelle : le nouveau livre, Au Coeur du pouvoir (plus de 700 pages, en petits caractères comme d'habitude), sort cette semaine. Il s'agit de l'unique enquête détaillée et précise sur le premier club d'influence en France, le club Le Siècle. Il comprend l'histoire intégrale de ce cercle, son système de fonctionnement et de cooptation, l'histoire de son fondateur, et surtout un dictionnaire biographique détaillé de tous ses membres depuis une quarantaine d'années, soit environ 2000 personnes (il y a environ 500 membres, mais en 40 ans, cela fait environ 2000 personnes qui se sont succédé), à jour à fin 2010.

    Ces 2000 personnes sont celles qui ont dirigé la France et qui dirigent notre pays depuis 40 ans. Il s'agit des principaux hommes politiques, des patrons de journaux et présentateurs de télévision, des grands hommes d'affaires et des financiers et des "hommes de l'ombre" dont vous ignorez l'incroyable pouvoir. Ils représentent la quintessence du pouvoir oligarchique français, concentrant entre leurs mains l'essentiel du pouvoir et sans doute près de 90% du PIB français. On y compte des personnalités aussi bien de droite que de gauche (chaque gouvernement comprend au moins la moitié de membres du Siècle, en général le Premier ministre et presque tous les présidents de la République). Ce sujet est au coeur de l'actualité avec la mise en cause aujourd'hui des supposées "élites", avec leurs multiples défaillances dans le déclenchement de la crise financière et économique actuelle et leur volonté scandaleuse de faire passer leurs intérêts financiers personnels avant ceux de la nation à laquelle ils appartiennent. Ils sont les parfaits représentants de cette "superclasse mondialisée", expression dont Jean-Yves Le Gallou semble être le créateur.

    Vous trouverez tous les renseignements dans le dépliant ci-joint. Il comprend un bon de commande et des extraits du livre (sommaire, introduction, quelques pages de biographies).

    Je vous demande de faire le maximum pour faire connaître ce livre auprès de vos amis en achetant ce livre et en envoyant à vos amis ce message avec le document ci-joint.

    Vous pouvez passer commande par internet auprès de
    ww.librairiefacta.com

    Je vous recommande également de visiter le site
    www.lesiecle.info

    Au Coeur du pouvoir.. qui centralise toutes les informations sur ce cénacle d'influence et a courageusement décidé de vendre

    J'espère vivement pouvoir compter sur votre soutien car, comme vous le savez, tous les médias traditionnels me sont interdits.

     

    Amicalement

    Emmanuel Ratier

     

    NB : Pour ceux qui voudraient avoir une idée de ce dont on parle, écoutez l'émission de Méridien Zéro, consacrée à ce sujet  :

    "Cette émission était spécialement consacrée aux centres de pouvoir (clubs, loges, réseaux, coteries, lobbies...) et axée plus particulièrement autour du club "Le Siècle". Pour l'occasion, Méridien Zéro recevait le spécialiste du sujet en la personne d'Emmanuel RATIER (journaliste, écrivain et éditeur)."

     

    http://meridienzero.hautetfort.com/archive/2010/11/29/podcast-de-l-emission-du-28-novembre-2010.html

  • Elle aimait la "diversité"

    Elin Krantz était une militante antiraciste suédoise (Göteborg, octobre 2010). Elle faisait partie de “We like diversity”, en français, “nous aimons la diversité”. Un jour, Elin rentrait de boîte de nuit. Elle fut suivie par un de ses amis de la diversité, un certain Ephrem Yohannes.

    Voici le résultat après son viol:

     

    Source : d-r-b.org