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  • Pour marquer le 35ème anniversaire du regroupement familial, Synthèse nationale organisait samedi un colloque à Paris : plus de 250 participants...

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    15 h 00 : première partie du colloque, le bilan du regroupement familial. De gauche à droite : André Gandillon, Pierre Vial, Roland Hélie, Véronique Bouzou, Robert Spieler.

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    Véronique Bouzou, professeur de Français et auteur de plusieurs livres courageux sur le métier d'enseignant, au cours de sa remarquable intervention.

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    André Gandillon, Directeur de Militant et Président des Amis de Rivarol, dressa un bilan sans appel de la politique d'immigration orchestrée par le Système.

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    Pierre Vial, universitaire, Président de Terre et peuple et membre du Bureau national de la Nouvelle Droite Populaire, analysa les raisons historiques de ce génocide par substitution.

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    Pendant la pause, notre photographe a croisé Robert Spieler, ancien député et Délégué général de la NDP, visiblement satisfait de succès de ce colloque.

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    17 h 00, seconde partie : Annick Martin, Vice-Présidente du MNR, présenta une série de propositions concrètes et réalisables afin d'en finir avec l'invasion et rendre la France aux Français.

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    Carl Lang, Président du Parti de la France, très combatif, expliqua les raisons que nous avons de ne pas baisser les bras. Il enthousiasma la salle lorsqu'il lança, à propos des pseudo nationaux et des pseudo identitaires qui ne rèvent que d'aller se prosterner en Israël : Je n'ai pas fait le voyage à Téhéran, je ne ferai pas le voyage à Tel Aviv !

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    Au cours de son discours très politique, Carl Lang insista sur la nécéssité pour les forces nationales et nationalistes authentiques de se rassembler et de se doter d'une structure unitaire fédérative et offensive dans les mois qui viennent afin de préparer les différentes élections qui doivent se dérouler en 2012 et après. 

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     Robert Spieler, dans son discours final, dénonca avec force l'éternel parti de la collaboration à l'invasion qui, de 1976 à aujourd'hui, a encouragé la politique d'immigration. Il rappela que le combat contre l'islamisme ne se passe pas au Proche Orient, ni en Afghanistan, ni en Lybie, ni en Palestine, mais ici, sur notre terre, en France et en Europe. Il fut lonquement applaudit losqu'il s'exclama : nos soldats n'ont pas vocation à mourir pour Washington ni pour Tel Aviv ! Robert Spieler apporta son soutien total, au nom de la NDP, à la proposition de Carl Lang de constituer le grand rassemblement de la Droite nationale en vue de la reconquête de notre espace politique et de libérer la France de ceux qui la considèrent déjà comme une terre colonisée.

    La direction de Synthèse nationale tient à remercier les militants qui ont contribué à la réussite de ce colloque. Plusieurs stands (Terre et peuple, Troisième voie, Rivarol, La Licorne bleue, la NDP, Militant...) proposaient aux participant livres, journaux et matériel de propagande. Plusieurs personnalités nous ont fait l'amitié d'assister à nos travaux. Sitons MM Pierre Sidos, Président de l'Oeuvre française, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, Alberto Torresano, responsable de la Phalange à Madrid, Serge Ayoub, dirigeant de Troisième voie, Patrick Gofman, Jean-Paul Chayriges de Olmetta, Arnaud Raffard de Brienne, écrivains, Pierre Descaves, ancien député... Dans les jours qui viennent, nous reviendrons sur les différentes interventions.

    Source : Synthèse nationale

  • Ces menteurs qui nous gouvernent

    Sur son blog, Maxime Tandonnet, conseiller affaires intérieures et immigration de Nicolas Sarkozy, raconte cette anecdote :

    T "J’aimerais raconter une anecdote dont je certifie l’authenticité, au mot près, sur mon honneur. En mai 2006, nous sommes à l’Assemblée nationale. J’accompagne, en tant que fonctionnaire, le ministre de l’Intérieur qui défend le projet de loi sur l’immigration dont l’objectif est de limiter le regroupement familial : désormais, un étranger qui voudra faire venir sa famille en France devra disposer d’un revenu d’un travail équivalent au minimum au SMIC et d’un logement adapté au nombre de ses enfants. Un député PS se déchaîne dans l’hémicycle, devant les autres parlementaires présents, le public, la presse et les chaînes de télévision, contre ce projet de loi. Je ne me souviens plus de son nom mais je le vois encore : grand, mince, la soixantaine, petite moustache, lunettes, élu d’une circonscription du nord de la France. Il hurle dans le micro : « Votre projet est une honte pour la France. Il rappelle les heures les plus sombres de l’histoire. C’est un projet nauséabonde, xénophobe, pétainiste. Une fois de plus vous stigmatisez les étrangers dans notre pays. Une fois de plus vous cherchez à déchaîner les passions haineuses et racistes en désignant des boucs émissaires à la vindicte populaire ! »

    Ce brave Monsieur, je le retrouve deux heures plus tard environ à la buvette de l’Assemblée nationale. Il s’avance vers moi, jovial, sympa, un verre à la main. Il m’offre un coup à boire et nous échangeons, en tête à tête. Je m’attends à une engueulade. Or, ses paroles, qui viennent le plus naturellement du monde, me laissent totalement pantois. « -Vous savez, chez moi, dans la ville dont je suis maire, l’immigration, c’est une véritable catastrophe. Je ne sais plus quoi faire. Ils viennent de tous les côtés je n’ai rien à leur proposer, pas de boulot, pas de logement social…Les gens (mes électeurs) n’en peuvent plus

    -Mais c’est un peu la raison pour laquelle nous proposons cette loi…

    Je m’attend, presque à coup sûr, à ce qu’il se remette à aboyer. Stupéfaction : « -Oui, je sais, vous avez raison. Mais ce sera difficile vous savez, pour remettre de l’ordre dans tout ça. Tant mieux si vous réussissez, je vous le souhaite, il faut absolument faire quelque chose, mais ce ne sera pas simple… »

    Voilà. On peut me croire ou ne pas me croire bien sûr. J’ai plein de défaut mais je ne suis pas menteur. Je donne ma parole à mes lecteurs de l’absolue authenticité de cette anecdote qui en dit long sur l’hypocrisie ambiante…"

    Source : Le Salon beige

  • Le numéro 22 (mars-avril 2011) de la revue Synthèse nationale est paru

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    Au sommaire :

    Du regroupement familial à la colonisation...

    L'Editorial de Roland Hélie

     

    Pierre Vial : Notre Mission…

     

    Pierre Sidos : Penser global, agir national…

     

    Un dossier sur les 35 ans du regroupement familial avec des contributions de : Véronique Bouzou, enseignante et écrivain, Anne Kling, écrivain, Pierre Vial, universitaire, Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et spécialiste de la désinformation, Luc Pécharman, membre du Bureau national de la NDP…

     

    Marc Noé : Pour l’abrogation des lois antiracistes et liberticides…

     

    Philippe Pinson : 21 juin 1973, le premier meeting contre l’immigration…

     

    Hugo L S : Nation et Justice sociale, Justice sociale et Troisième voie…

     

    Un entretien avec Jean-Claude Rolinat sur Eva Peron…

     

    Luc Barbulesco : Les pensées secrètes de l’humanité Proud’hon théologien ?

     

    Yves Darchicourt : L’affaire du faux Baudouin en Flandre et en Hainaut…

     

    Jean-Paul Chayrigues de Olmetta : In vitos veritas…

     

    Francis Bergeron : Le mystérieux Monsieur Zaharoff…

     

    Les rubriques de Patrick Parment, Lionel Baland, Philippe Randa, Patrick Gofman, Pieter Kerstens

     

    N°22 Mars Avril 2011 – 134 pages, 12,00 €

     

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  • Le tube de l'été ?

  • Bobards d'Or 2011, le jour de gloire des menteurs

    Avant de publier les résultats des Bobards d'Or 2011, voici une interview de son promoteur, Jean-Yves Le Gallou :

     

    Vous allez présider ce soir la deuxième cérémonie des Bobards d’Or. De quoi s’agit-il ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est une grande soirée de gala, semblable aux Oscars ou aux Césars, où nous récompensons les meilleurs journalistes du Système. Il s’agit de primer les journalistes et les désinformateurs les plus dévoués au politiquement correct mais surtout les plus habiles ou audacieux, ceux qui n’hésitent pas à mentir pour faire coller l’actualité à la pensée unique.

    Qui sont les nominés, cette année ?

    En télévision, la chaîne M6, qui, dans le cadre d’un sujet sur le voyou qui avait aveuglé des pilotes d’avion avec des lasers au moment de l’atterrissage, a rebaptisé la personne condamnée « Sébastien » alors que son vrai nom était… « Jihad » ! Il y a également Olivier Mazerolle, sur BFM-TV, qui a présenté de manière très sérieuse une intervention de « l’économiste chinois » Kuing-Yamang – qui tapait sur le modèle français – sans se rendre compte, apparemment, qu’il s’agissait d’un canular puisque le kouign-aman est, bien entendu, un gâteau breton ! Enfin, il y Céline Bittner, sur La chaîne parlementaire, pour un reportage particulièrement mensonger sur l'immigration.

    En presse écrite, il y a le quotidien 20 Minutes/Lyon qui revendique sa « laïcité » pour refuser une publicité catholique après avoir passé une publicité pour l'abattage halal ; Le Figaro pour sa Une sur la démographie en France et Alexandre Adler pour qui « il y a eu des armes de destruction massive en Irak ».

    En radio, notons Claude Askolovitch, sur Europe 1, pour qui « les homosexuels se marient partout dans le monde » ; Anne-Sophie Mercier, la fausse rebelle de Charlie-hebdo qui, toujours sur Europe 1, affirme : « Je suis pour une société de tabous, je ne suis pas pour une société de la parole libérée » ; et Jean-Jacques Bourdin, sur RMC, niant la réalité sur les clandestins de Lampedusa.

    Il y a aussi une catégorie « Strass et Paillettes » ?

    A l’heure où nous parlons (lundi soir), Jamel Debbouze est bien placé pour en être le lauréat, lui qui affirme que « l’Islam est en France depuis 3.000 ans » !

    N’est-ce pas une bêtise plus qu’un bobard ? Comment détectez-vous le « bobard » ?

    Le bobard peut être une bêtise validée par le Système médiatique. Le rôle du journaliste, en entendant cela, serait de protester ou de rectifier. S’il ne le fait pas, il valide la bêtise, lui donne la valeur d’un argument d’autorité auprès des personnes les moins formées. De fait, cela devient un bobard. Notons qu’à partir du moment où une bêtise ou une information fausse va dans le sens du politiquement correct, elle n’est pas rectifiée et encore moins sanctionnée. C’est l’exact contraire, illustré par l’affaire Zemmour, avec une vérité dérangeante pour le Système ! En réalité, ce qui compte, pour le Système, n’est pas la véracité des propos mais leur conformité à la pensée unique.

    Comment expliquez-vous la présence des bobards dans l’information ? Est-ce de l’ignorance, de la mauvaise foi, une volonté idéologique de travestir la vérité ?

    « Tout ce qui est politiquement correct est nôtre » : telle est l’idéologie du pouvoir médiatique. La vérité et l’information ne sont plus les buts essentiels des médias. Ce sont des supports d’influences, des véhicules du politiquement correct.

    Ensuite, je crois que la majorité des journalistes est mue par deux grandes forces : la paresse et la lâcheté. La paresse, qui fait qu’il ne sert à rien de vérifier le politiquement correct, car cela ne peut qu’attirer des ennuis. Imaginez le type qui fait son travail et démonte un grand bobard : il met en péril sa carrière, risque le placard… alors que, s’il se tait, il reste dans la masse, bien protégé. C’est un monde orwellien que je voudrais illustrer par notre « cas d’école » du bobard : l’affaire de l’ophtalmologiste raciste, qui déconsidère toute la caste journalistique…

    Quels sont les faits ?

    Un ophtalmologiste interrompu durant une consultation par un patient a été accusé de refuser de soigner une enfant après avoir proféré des injures racistes contre son père (le patient pressé). Sans aucune vérification et en prenant comme seuls « témoins » l’accusateur et une personne absente des lieux, l’ensemble de la presse s’est déchaînée contre un innocent. Mieux : Chloë Leprince, de Rue 89, a enquêté pour retrouver le médecin ; elle ne l’a pas appelé pour obtenir sa version des faits mais l’a, en revanche, livré à la vindicte publique en publiant ses nom et adresse sur Internet ! Ce banal montage « antiraciste » a été repris par la quasi-totalité des médias avant de se dégonfler devant la réalité : l’absence de tout comportement « raciste » de la part du praticien. Cette unanimité prouve en l’occurrence que le bobard n’est pas accidentel mais systémique. Chloë Leprince, de son côté, mériterait d’être distinguée par un Cafard d’or !

    Vous-même dirigez le Bulletin de réinformation sur Radio Courtoisie. Qu’est-ce qui distingue vos journalistes des autres ? Ne sont-ils pas susceptibles de céder eux aussi à leurs passions idéologiques ?

    D’abord, ils sont libres, puisque bénévoles. Radio Courtoisie est en effet un médium entièrement libre, ne dépendant pas, contrairement aux autres, des publicités des grands groupes ou des pressions des actionnaires. Ensuite, les responsables du Bulletin doivent à tout prix éviter le style « éditorialisant ». Ils doivent présenter non pas leurs opinions, mais différents points de vue, étayés par des faits sérieusement vérifiés et, si possible, non évoqués par les gros concurrents. Cela ne les met évidemment pas à l’abri des erreurs, mais au moins limite les risques. Enfin, nos équipes ne s’autorisent pas le mensonge. Leur interprétation ou leur présentation des faits offrent aux auditeurs un point de vue alternatif, comme une sorte de contre-pouvoir à la pensée unique, mais ceci est parfaitement conforme à la déontologie journalistique : les faits sont sacrés, mais l’interprétation est libre. Finalement, quantitativement, les équipes du Bulletin de réinformation font entendre le point de vue du faible (les dissidents de la pensée unique) en complément du point du vue du fort (l’ensemble du Système médiatique). C’est de l’information asymétrique.


    Source : Polemia

  • L'islam selon Serge de Beketch

     Je suis islamo-négatif

    Je ne suis pas islamophobe, je ne suis pas hostile à l’islam, je ne suis pas en guerre contre l’islam.

    Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres.

    Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas. Un point c’est tout. Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l’islam à prospérer en France. Je nie que l’islam soit une religion.

    C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens “y compris légaux”.

    Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs.

    Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien.

    Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”. Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste.

    Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France.
    Aucune oeuvre d’art, on l’a vu.
    Aucune oeuvre de charité non plus.
    Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative.

    Où sont les “petits frères des pauvres” qui appliqueraient en France ce “quatrième piller de l’islam” (la Zakkat. En français : l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité) ? Où est l’imam dont la personnalité et l’oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? Quelle fatma a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes ?

    Je nie l’influence de l’islam sur notre histoire intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l’islam.

    Aucune oeuvre de progrès, enfin.

    On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam en matière de mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie.

    Mais c’est se foutre du monde ! Où sont, dans l’histoire de l’intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans. Où sont les Pasteur, les Curie, les Pascal islamistes ?

    Et que l’on ne prétende pas que cette absence s’expliquerait par le magistère de l’Eglise qui aurait fait obstacle à l’éclosion du génie créateur, scientifique, artistique de l’islam dans les bras de sa Fille aînée. Ou alors que l’on explique comment tant d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu prospérer en dépit de cet obscurantisme.

    La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous.

    La déclaration de Chirac selon qui « les racines de l’Europe (donc de la France) sont aussi musulmane que chrétiennes » n’est donc pas seulement le propos d’un imbécile, c’est aussi celui d’un salaud. L’islam “à la française” est une double absurdité et un crime de haute trahison.

    Parce que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français. Parce que la notion de patrie est contraire à l’Ouma, loi islamique qui nie la nation.

    Parce que les politiciens renégats qui oeuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique et à l’invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois ans, se résignèrent à la Collaboration.

    Ceux qui, aujourd’hui, accablent de leurs injures le Maréchal Pétain et le Président Laval, font bien pire.

    La différence entre les Collabos d’hier et les “Coallahbos” d’aujourd’hui, c’est que ni le Maréchal Pétain ni le Président Laval, n’ont jamais invité les envahisseurs.

    Chirac, lui, a ouvert les portes à l’invasion en signant la loi sur le regroupement familial.

    Le Maréchal Pétain et le Président Laval n’ont jamais dit, dans aucun discours, que les occupants étaient « chez eux, chez nous ».

    Chirac ne cesse, après Mitterrand, de le répéter. Sous la botte allemande, la Police, la Justice et leurs auxiliaires n’ont pas montré autant de zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs “milices antiracistes” n’en mettent aujourd’hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l’être et qui entendent le rester.

    Jamais la France n’a été aussi gravement malade.

    Infecté par le sida de la “coallahboration”, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif.

    Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant !

    Serge de Beketch


    Merci à Francaisdefrance's Blog d'avoir retrouvé et publié ce texte du regretté Serge de Beketch, disparu prématurément en 2007

  • Rivarol cette semaine

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