Comment avez-vous réagi aux menaces proférées par Manuel Valls à l’égard de Dieudonné ?
Ah, vous mettez à l’épreuve la cohérence de mes principes, là… M. M’bala M’bala et sa quenelle me soulèvent le cœur, j’étais ravi de les ignorer. D’un autre côté, je suis pour la liberté d’expression, tant qu’il n’y a pas appel à la violence ou diffamation caractérisée. Avec les fines plaisanteries sur Patrick Cohen, on franchit un degré supplémentaire. Le plus affligeant est que tant de gens paraissent trouver tout cela admirable.
Anelka a justifié sa « quenelle » en parlant de son « ami humoriste Dieudonné ». On lui fait un mauvais procès ?
Aucune idée. Ces milieux me sont peu familiers.
À croire François Hollande et son gouvernement, la courbe du chômage serait en train de s’inverser… Un déni de réalité ?
C’est l’ensemble de la vie politique qui est un déni de réalité. Nous vivons dans l’illusion tragique, le théâtre d’ombres. Je me suis permis d’appeler cela le faussel : réel inversé, règne du faux. La réalité, c’est la colonisation de l’Europe, le Grand Remplacement, la substitution ethnique, la conquête musulmane, le suicide d’une nation.
Quels sont vos souhaits pour l’année 2014 ?
Attendez voir… Colossale manifestation le 26 janvier prochain, avec particulière évidence du refus du Grand Remplacement. Dans la foulée, aux élections municipales, raz-de-marée de l’Alliance antiremplaciste (Union Noniste + Rassemblement Bleu Marine). Béziers devient le laboratoire de la reconquête, les allées de Riquet sont les Champs-Élysées du nouvel anticolonialisme. Triomphe noniste aux européennes, non seulement en France mais dans tous les pays du continent en cours de colonisation. Nouvelle majorité antiremplaciste au Parlement européen, changement radical de la politique communautaire à propos de l’immigration, dénonciation des traités et conventions forçant les nations à subir passivement l’invasion ou à l’encourager. Les travaux reprennent vivement pour l’adoption d’une Constitution européenne de type confédéral, avec un président élu, une armée forte, une stricte répartition des pouvoirs entre la Confédération et les États membres, une importance fondamentale accordée à la culture commune européenne, avec restauration des études latines et grecques et consécration solennelle des racines celtes, gréco-latines, juives, chrétiennes et libre-penseuses de notre civilisation.
En France, pendant ce temps, le gouvernement est tombé, vous pensez bien. Des élections législatives anticipées se tiennent à la rentrée. Le Parti socialiste conserve quelques sièges dans les territoires occupés malgré la forte concurrence des candidats remplaçants, colonialistes et communautaristes, dont les élus voient toutefois leur élection invalidée pour inconstitutionnalité de leur programme. La droite remplaciste est laminée, malgré des palinodies de dernière minute qui n’ont pas trompé les électeurs. On met François Hollande à la Lanterne. Une forte majorité nono-mariniste, à peine au pouvoir, abolit le droit du sol, rétablit ladite « double peine », prive de la nationalité française ceux qui l’ont reniée publiquement, coupe les subventions des associations remplacistes, rédige une charte de ce qui est français et de ce qui ne l’est pas et répudie toute égalité entre ceci et cela, abroge les lois natalistes qui ont été un formidable facteur de substitution ethnique, crée un ministère du Retour, accroît de toutes les façons concevables les différences de droits entre citoyens et non-citoyens, interdit les prélèvements fiscaux supérieurs à 33 % des revenus, supprime les départements et les régions, rétablit les provinces, alloue des lycées à une éducation réformée au prorata des professeurs, des élèves et des parents d’élèves volontaires, crée une chaîne de radio et une chaîne de télévision dévolues à la culture, trace une carte des zones protégées avec rigoureuse interdiction de construire, entame la désignalisation, inaugure les leçons d’in-nocence à l’école, etc.