Relevé sur Contre-info
Grandes âmes - Page 2
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Manuel Valls confirme le recrutement de hackers
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Il faut nous aider à retrouver Caroline Fourest
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Touche pas à mon pote mais frappe ta femme !
Votre conjoint est un professionnel de l'antiracisme ? Attention mesdames !
Le président de SOS Racisme de Lille défigure sa femme, Bertrand Cantat roue de coups son épouse Marie Trintignant, la compagne de Lilian Thuram l'accuse de violences conjugales avant de retirer sa plainte pour ne pas porter préjudice à une personne à la « morale très noble »...
Il est vrai que l’honneur de Thuram est incontestable. Il la porte en rosette sur ses vestons. N'est-il pas chevalier de la Légion d’honneur ? Qu'il ne tape plus dans un ballon ou qu'il ait trop tapé sur une compagne, peu importe ! N'a-t-il pas fondé « Éducation contre le racisme ». Ne doit-il pas devenir officier ce mardi 17 septembre en présence de Dame Taubira ? Et ne serait-ce pas pour cette raison que la compagne de Lilian Thuram retire sa plainte ?
Le mouvement identitaire avait été condamné pour un autocollant intitulé « Ni voilée, ni violée ». Lilian Thuram est décoré comme icône de « Touche pas à mon pote ! ». Et tant pis s'il a trop touché à celle qui était davantage qu'un « pote »...
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L'imagination prodigieuse de Serge Klarsfeld
L’inénarrable « chasseurs de nazis », grand prêtre du culte shoatique, a pondu une perle – qui vient d’être dénichée – dans un opuscule intitulé Pie XII et la Shoah / Le choix du silence ? publié chez l’éditeur catholique (!) Téqui sous la direction de Mgr Dominique Le Tourneau (!).
Bref, tirée de cette mauvaise prose, le professeur Faurisson nous révèle (et fait pièce à) cette extraordinaire assertion de Klarsfeld :
« Vichy donne son accord. Dans la nuit, la Préfecture de Police [de Paris] sort les fiches des Juifs concernés : au matin du 24 septembre, 1500 Juifs roumains sont arrêtés ; le lendemain, 1000 sont déportés et après trente-six heures de voyage pour Auschwitz, sont gazés dans leur lit. » (p. 45-46)Cet énorme bobard semble être passé comme une lettre à la poste… Personne parmi les lecteurs n’osant remettre en doute la sainte parole de Klarsfeld…
Source : Contre-info.com
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Pauvre Alain Juppé !
Juppé l'islamophile politiquement correct
Quoi de plus radical pour retourner dans la médiocrité parisienne, après quelque temps d'illusion estivale, qu'une bonne déclaration de cet ancien Premier ministre. Responsable et vaincu des élections de 1997 dites de la Balle dans le pied, on ne se lasse pas de l'entendre.
«Ma vision de l’identité de la France est tout à fait claire, vient donc de proférer le personnage. Ce sont les principes républicains, le principe de laïcité qui n’est pas la guerre aux religions, mais le respect de toutes les religion. Pour moi, un des points de clivage fondamentaux, c’est l’attitude vis-à-vis de l’islam. L’islamophobie qui globalise les problèmes de cette religion est contraire à ce principe de laïcité et ce principe républicain. C’est donc pour moi un point extrêmement sensible."
Tout au long de sa carrière M. Juppé a jalonné son parcours de prises de positions constamment rigides et péremptoires, au service des consignes politiquement correctes. Isolément sans doute chacune de ses interventions relève plutôt du haussement d'épaules. Si tous les conformistes volaient on l'imaginerait sans difficulté portant un bel uniforme de chef d'escadrille.
Toujours droit dans ses petites bottes, on note en effet qu'il les choisit avec soin, dans les bonnes boutiques du prêt à penser. Il les préfère confortables, et autant que possible réversibles.
Et ce 28 août notre homme a montré qu'on pouvait aller encore plus loin dans le registre qu'il affectionne.
Il était invité ce jour-là, par la radio d'État "France Inter", dans le cadre de l'émission matinale de Patrick Cohen (1)⇓ . Et la question centrale qui lui était posée portait, en théorie, sur le choix qu'il s'apprête à opérer personnellement lors du prochain congrès de l'UMP prévu en octobre.
Il s'agit principalement de départager François Fillon, Premier ministre de 2007 à 2012, et Jean-François Copé, actuellement secrétaire général. La réponse semblant pourtant sans mystère il a cependant tenu à se poser en arbitre prétendant se fonder sur des critères objectifs.
Or ceux-ci ne saurait laisser aucun citoyen indifférent s'agissant du parti regroupant quelque 90 % des élus de droite.
Rappelons à ce sujet que cette coalition a été créée selon les conceptions de l'intéressé lui-même, au lendemain des élections présidentielles de 2002. L'intention consistait à rassembler une majorité constituée des débris de trois partis : le RPR, puissance invitante et dont la justice considérera plus tard que l'UMP continue l'existence juridique, mais aussi la frange de l'UDF conduite par le glorieux Douste-Blazy (2)⇓ et l'éphémère groupe parlementaire "Démocratie libérale" abandonné par son fondateur mais représenté désormais par Jean-Pierre Raffarin. Malgré la présence de ce dernier à l'Hôtel Matignon de 2002 à 2005 les deux partis alliés n'ont cessé depuis 10 ans de se voir marginalisés, dans la grande tradition gaulliste, le summum de leur effacement étant atteint dans le cadre du dernier remaniement du gouvernement Fillon opéré en 2011.
En bonne logique tout cela aurait dû conduire à une mainmise du fondateur et concepteur de l'UMP, Alain Juppé, sur le parti lui-même. Patatras, en 2004, tombe sa condamnation dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. Demi-exil canadien. Demi-oubli. Demi-déshonneur. L'héritier présomptif du président se voit transformé en Grand Dauphin de la république : "fils de roi, père de roi, jamais roi lui-même". Il pose donc aujourd'hui au faiseur de roi.
De la sorte, maire de Bordeaux, ressemblant à lui-même comme deux gouttes d'eau, ne siégeant plus à l'Assemblée nationale, on l'exhibe comme une sorte de sage. Il parle comme s'il ne participait plus aux joutes elles-mêmes, n'attribuant que les bons et les mauvais points. Les gros moyens de désinformation adorent cet intervenant qui cause bien et ne manque jamais de fiel.
Le voici donc, lors de l'émission matutinale, prononçant deux ou trois oracles. Le principal, celui que nous reproduisons plus haut, consistait à définir le critère sur lequel il choisirait demain le chef de la droite. Économie ? Politique internationale ? Services rendus ? Renouvellement ou fidélité ? Quotient intellectuel ? Caractère ? Popularité ? Broutilles !
Notons bien d'ailleurs que son ralliement à Fillon, produit comme lui de la filière gaullo-chiraquienne ne devrait faire a priori aucun doute. Eh bien "on verra", car il peut toujours trahir.
En fait son propos sert exclusivement de marqueur : quel que soit l’élu de son cœur, ou du portefeuille des généreux donateurs, il faudra qu'il s'engage sur ce terrain inattendu, pour ne pas dire saugrenu celui de cette lutte contre l'islamophobie, un mot qui ne veut rien dire dans la langue de Molière mais qui vaut passe partout dans celle des actionnaires du PSG. On a choisi le terme avec soin : c'est en effet celui qu'emploient les réseaux politiques et médiatiques divers liés aux puissances musulmanes, pour discréditer les agissements de leurs adversaires.
Les communistes appelaient ainsi "fascistes" tous eux qui leur résistaient. Les islamistes se servent de la même dialectique. Tous ceux qui leur déplaisent sont supposés "islamophobes".
Dans le meilleur des cas on tiendra donc M. Juppé et ceux qui le suivront sur ce terrain pour des imbéciles qui tombent dans leur piège par pure sottise.
JG Malliarakis
Apostilles
- Créneau 7 heures 9 heures. Pour réécouter l’émission. ⇑
- Une autre frange de l'UDF suivra François Bayrou, héritier juridique de l'ancienne coalition giscardienne. Ceux qui ne le suivront pas à partir du second tour de 2007 constitueront le parti du Nouveau Centre ⇑
Source : L'Insolent
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François Lenglet, économiste du Système, pris en flagrant délit
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Le Grand Mufti d'Arabie saoudite appelle à la destruction de toutes les églises de la péninsule arabique
Source : Saudi Grand Mufti Calls for "Destruction of All Churches in Region", par Raymond Ibrahim, 14 mai 2012. Traduction par Poste de veille
"Selon plusieurs sources de nouvelles arabes, le Grand Mufti d’Arabie saoudite, Cheikh Abdul Aziz bin Abdullah, a déclaré lundi qu’« il est nécessaire de détruire toutes les églises de la région ».
Le Grand Mufti a fait cette déclaration en réponse à la question d'une délégation du Koweït sur la position d'un membre du parlement de ce pays ayant récemment appelé à «l’enlèvement» des églises (plus tard, il a «clarifié» sa pensée : il voulait simplement dire qu’aucune église ne devrait être construire au Koweït). La délégation koweïtienne souhaitait avoir une confirmation de l'interprétation de la charia concernant les églises.
Dans sa réponse, le Grand Mufti «a souligné que le Koweït fait partie de la péninsule arabique, et qu’il est donc nécessaire de détruire toutes les églises qui y sont situées». À l'instar des grands muftis avant lui, le cheikh a fondé sa réponse sur le célèbre hadith, ou tradition, dans lequel le prophète de l'islam a déclaré, sur son lit de mort, qu’«il ne doit pas y avoir deux religions dans la péninsule [arabique]», et qui a toujours été interprété comme signifiant que seul l’islam peut être pratiqué dans la région.
Bien que ces faits parlent d’eux-mêmes, considérez ceci : Cheikh Abdul Aziz bin Abdullah n'est pas seulement un musulman quelconque qui hait les églises. Il est le Grand Mufti de la nation qui a donné l’islam au monde. En outre, il préside le Conseil suprême des oulémas [experts de l’islam] et le Comité permanent pour la Recherche scientifique et la Fatwa. Par conséquent, quand il se prononce sur ce que l’islam enseigne, ses paroles ont un poids extrêmement important. [...]
Source : L'Observatoire de l'islamisation
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Claire Checcaglini se fait fesser publiquement
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Pour Beate Klarsfeld les affaires reprennent
La chasseresse de nazis Beate Klarsfeld, 73 piges au compteur, reprendrait du service. Le parti Die Linke l’aurait pressentie pour être sa candidate contre Joachim Glauck lorsque les deux chambres du Parlement fédéral se réuniront pour élire un nouveau Président fédéral allemand.
Sacrée famille : à Paris, on est chiraquien enthousiaste, à Jérusalem on est pro-Likoud, à Berlin on est pire que simplement coco : on se porte candidat pour les héritiers du parti de l’érection du mur le long duquel des centaines d’Allemands qui aimaient trop la liberté ont été abattus. Ce n’est pas la 1ère fois que Beate porte les couleurs du parti des assassins : en 1969, toute jeune trentenaire, elle s’est portée candidate depuis la rue de la Boétie à Paris dans la circonscription de Waldshut (pays de Bade) pour le parti communiste allemand qui venait d’être ré-autorisé à l’Ouest.
Source Altermedia cliquez ici
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Colossale finesse de Claude Guéant
Claude Guéant, voiture balai des voix tentées de se porter sur la candidature de Marine Le Pen vient de faire une sortie d'une colossale finesse : le Front national serait "nationaliste et socialiste" et il faut bien entendu entendre "national-socialiste", ce qu'il ne dit pas par crainte de la XVVIIe Chambre correctionnelle. Ni courageux, ni téméraire. C'est la calomnie sans les risques.
Mais ce genre de vanne à deux balles ne suffira pas à occulter le bilan calamiteux du gouvernement sur les sujets de l'immigration et de l'insécurité car c'est bien de cela que Claudette devrait nous parler au lieu de faire de l'esprit.
Comme on peut le lire sur le site de Marine Le Pen : "Non content de cela, le ministre de l’Intérieur a dérapé gravement en disant que le FN n’était pas républicain et qu’il défendait des idées néo-nazies. En plus de ces propos diffamatoires, le premier flic de France a menti en disant que Marine Le Pen avait exalté l’écrivain Robert Brasillach, ce qui est une manipulation extrêmement grave pour le ministre qui a en charge l’ordre républicain.
En utilisant le vocabulaire d’habitude utilisé par les associations antiracistes antidémocratiques, le ministre de l’Intérieur vient d’insulter plus de 20 % de Françaises et de Français qui s’apprêtent à voter pour Marine Le Pen".
Claude Guéant démission !