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  • Les Suisses disent "non" aux minarets

    Suisse.jpgUn communiqué de Robert Spieler,

    Délégué général de la

    Nouvelle Droite Populaire


    Le référendum d’initiative populaire, provoqué par l’UDC suisse, vient de donner un résultat époustouflant. Contre la totalité des partis politiques de gauche comme de droite, contre les « autorités morales » (religieuses, intellectuelles, économiques, médiatiques et philosophiques…) collaborationnistes, contre les manips de sondages qui ne prévoyaient guère que 35 % en faveur de la votation, 57 % des Suisses ont dit clairement NON à l’invasion.


    Il s’agit d’une véritable révolte populaire rendue possible et visible grâce à la tenue d’un référendum d’initiative populaire.


    La chape de plomb non démocratique qui pèse sur la France (refus du référendum populaire, modes de scrutins trafiqués, dictature des lobbys, lavage des cerveaux du peuple par l’enseignement et les médias, etc…) ne permet pas aujourd’hui l’expression de la volonté de notre peuple.


    La récente pose de la coupole de la grande mosquée de Strasbourg, dont le financement est assuré en grande partie par les collectivités locales de gauche et de droite, la promesse par le sénateur maire socialiste de construire un minaret, sont les signes d’une islamisation galopante de la France et de l’Europe.


    Mais, partout sur notre continent, de Marseille à Anvers, de Strasbourg à Cologne, les forces de résistance s’organisent. Ce que l’Histoire peut faire, l’Histoire peut le défaire.


    La Suisse vient de nous montrer le chemin de la Libération. Merci Guillaume Tell.

  • Intimidations ordinaires

    752469416.jpgVoici le récit de deux intimidations ordinaires, qui ne feront pas la une des journaux, mais qui révèlent mieux que des discours l’incroyable arrogance de certains « juifistes absolutistes » dans la France d’aujourd’hui.

     

    Les deux se sont passées à Strasbourg.

     

    Mes livres sont en vente sur Internet et chez certains distributeurs et librairies de notre mouvance. Mais aussi à Strasbourg, dans un important point presse/librairie du centre ville, qui les a acceptés dans ses rayonnages, au même titre que des revues et livres de gauche. Ce qui déplaît apparemment à certains grands démocrates. Qui ne ratent pourtant pas une occasion de proclamer à tout va leur amour de la liberté d’expression. A condition bien sûr que ladite expression leur agrée.

     

    Il y a quelque temps, Freddy Raphaël, une sommité juive locale, par ailleurs professeur de sociologie à l'Université Marc Bloch de Strasbourg, se rend dans le magasin et, devant les clients présents, crée un mini incident, clamant haut et fort que ces livres - les miens - ne correspondent pas à la réalité. Et il s’en va. L’acte II va se dérouler environ une heure plus tard. Cette fois, c’est un couple, dont la femme, s’en prenant également à mes livres fait cette fois plus clairement dans la menace : « Vous savez que le contenu de ces livres est antisémite et que vous risquez d’avoir des ennuis ? ».

     

    Nous savons fort bien ce qui se passe dans ces cas-là : neuf fois sur dix, le « menacé » s’aplatit comme une crêpe sans demander son reste, et le tour est joué. Pas dans ce cas. « Au Pacha », on est d’une autre trempe et mes livres sont toujours là. Je vous conseille d’ailleurs, si vous êtes dans le coin, d’y aller, afin de les encourager. A côté de l'intimidation ordinaire, il faut installer la résistance ordinaire.

     

    Freddy Raphaël est un habitué de ce type d’intimidation. Il a obtenu l'an dernier du maire de la ville l'effacement immédiat d'une citation de Céline des murs de la médiathèque (voir archives du blog - 14 octobre 2008). S’il considère que mes livres ne correspondent pas à la réalité, qu’on en débatte publiquement. J’en serai ravie. Et ça aura quand même plus de panache que ce type de comportement minable.

     

    Je n’avais pas l’intention de raconter un jour la seconde « intimidation ordinaire », mais elle va dans le même sens, et vous allez rigoler. Je vous la raconte donc.

     

    Ca se passe pendant la campagne des régionales 2004 où je suis candidate. Nous tenons une réunion publique un certain soir dans mon quartier et je demande à mon mari de placarder l’annonce de la réunion dans son laboratoire, qui a pignon sur rue. Il n’est pas très chaud, n’aimant guère le mélange des genres, mais bon, pour me faire plaisir, il accepte.

     

    J’installe donc mon affiche et pars. A mon retour, passant devant le labo, que vois-je ? Rien, l’affiche a disparu. Folle de rage, j’entre et vais aux nouvelles. Tout le monde ignore ce qu’est devenue l’affiche et a l’air sincère. Dans les allées et venues, personne n’a rien remarqué. Je remets derechef une nouvelle affiche.

     

    Le lendemain, c’est mon mari qui me racontera la suite de l’histoire et le pot aux roses. Il se trouvait le matin dans l’entrée du labo lorsque surgit un quidam accompagné d’un petit garçon. Le quidam s’apprête – pour la seconde fois - le plus tranquillement du monde  à arracher l’affiche, quand mon mari s’interpose. Alors, le quidam se tourne vers le gamin et lui dit : « Tu vois, mon fils, tu vois, ça, c’est un nazi ! » Un nazi ! A mon mari, qui est juif !!!

     

    Mon mari lui a rétorqué : « Et vous, monsieur, vous êtes un imbécile et je vous prie de sortir de mon laboratoire. » Ce que l’autre a fait en fulminant et en marmottant des imprécations.

     

    Renseignements pris, c’était un juif du quartier, à qui mon affiche ne plaisait pas et qui apparemment, trouvait tout à fait normal d'entrer afin de l’arracher. Hallucinant. De connerie et d’arrogance.

     

    La France LICRAtisée

  • Rivarol cette semaine

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  • Un nouveau numéro hors série de Synthèse Nationale

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    Les Pantins du Système

    32 portraits de fossoyeurs de l’identité européenne

    Réalisé par Patrick Parment

    Préfacé par Roland Hélie

     

    Un homme bien informé en vaut deux …

     

    ...et un militant qui connait ses adversaires est un militant qui sait encore mieux pourquoi il se bat, pourrions-nous ajouter.

     

    Bien sûr, certains rétorqueront que, s’il faut être intransigeant avec les idées, il convient aussi d’être clément avec les hommes. Mais, lorsque l’on regarde ceux qui sont en face de nous, cela nous confirme que notre combat est le bon combat…

     

    Bref, voici exposées quelques bonnes raisons d’avoir édité ce numéro hors série de Synthèse nationale consacré à quelques oiseaux qui pourrissent allègrement la vie politique française.

     

    Commandez-le !

     

    140 pages, 12,00 € (franco de port)

    Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

    à retourner à :

    Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

     

    Bulletin de commande

  • Combien Martine Aubry peut-elle en accueillir ?

    aubry.jpgMartine Aubry vient de se prononcer pour la régularisation des immigrés illégaux. Ces grandes âmes qui pètent dans la soie et vivent comme des nababs ont une générosité débridée avec l'argent... des autres.

    Alors posons-lui clairement la question : combien elle et son riche compagnon, grands bourgeois lillois, peuvent-ils accueillir d'immigrés illégaux dans leurs différentes résidences ?

  • Identité nationale... algérienne

    BanniereTerreEtPeuple.jpgIl paraît qu’il faut débattre de l’identité nationale. Alors, allons-y. Débattons.

    Les Algériens installés en France (« ils sons chez eux chez nous », n’est-ce pas ?) ont manifesté leur fureur, après la défaite de l’équipe algérienne de football, contre l’Egypte, en cassant, brûlant, pillant tout sur leur passage. A Marseille et ailleurs.

    Ils ont manifesté leur joie, après la victoire de leur équipe sur l’Egypte, en cassant, brûlant, pillant tout sur leur passage. A Lyon comme ailleurs. C’est ce que le journal lyonnais Le Progrès (19 novembre), illustration exemplaire de l’ethnomasochisme ambiant, appelle « soirs de fête », en mentionnant au passage, vite fait, « quelques dégradations » (il n’y a eu, dans la région lyonnaise, que quelques dizaines de voitures brûlées) : autant dire rien.

    Ces événements méritent d’être reconnus et célébrés pour ce qu’ils sont : des manifestations, évidentes, affirmées, d’une identité nationale : l’identité nationale algérienne. Pour les Gaulois jobards qui en douteraient encore ou qui veulent refuser l’évidence (la politique de l’autruche est tellement rassurante) les images télévisées sont éloquentes et n’ont même pas besoin de commentaires : les Algériens présents sur le sol français sont inconditionnellement fidèles à leur patrie, leur seule et vraie patrie : l’Algérie. C’est dans l’ordre des choses. C’est naturel. C’est légitime. Cela s’appelle l’identité communautaire ethnique.

    Il revient aux Gaulois encore conscients de l’être (sans doute, désormais, une minorité de la population française d’origine européenne) d’en tirer les conséquences qui s’imposent : les étrangers d’origine non européenne et les Français d’origine non européenne, tous provisoirement présents sur le sol français pour vivre aux crochets des naïfs Gaulois, devront un jour regagner leur terre d’origine, leur patrie identitaire. C’est leur intérêt bien compris. Cela correspond à leurs sentiments profonds. C’est aussi notre volonté que rien ni personne ne pourra empêcher de se concrétiser, le jour venu. Que ceux qui ont des oreilles entendent. Une Terre, un Peuple.

     

    Pierre Vial

    Relevé sur : Terre et Peuple

  • Drapeaux brûlés : exigeons les excuses du peuple algérien

    drapeaux français brûlés.jpgLes algériens résidant en France ont clairement et définitivement manifesté leur volonté de rester, après trois générations de présence, des étrangers dans ce pays. Ils ont gagné le droit d’y être définitivement considérés comme tels. Ceci est un fait avéré et ne fait pas l’objet du présent article.

    Le 18 novembre, suite au match de football qui opposait les équipes égyptienne et algérienne, des ressortissants algériens résidant en France ce sont livrés à des actes inacceptables. Dans plusieurs villes de France, outre les actes de pillages et de destructions (plus de 350 voitures brulées, des dizaines de commerces vandalisés) qui sont leur mode d’expression habituel, ils ont brûlé des drapeaux français arrachés aux monuments aux morts et outrage suprême marquant leur volonté de conquête ont remplacé le drapeau tricolore par un drapeau algérien au fronton d’un édifice public ! La mairie de Toulouse. On se souviendra que les derniers à avoir retiré notre emblème pour y poster le leur furent les occupants nazis !!

    Ce dernier acte n’est pas seulement une déclaration de guerre, c’est aussi un affront inimaginable qui exige réparation.

    Devant le silence assourdissant des médias et des élus hormis les quelques pitoyables justifications sociologiques de circonstance, chaque français qui n’a pas encore totalement abdiqué de sa fierté patriotique a le devoir de demander à nos élus et à nos élites de faire le leur. Ecrivons à nos députés, à la présidence de la république, aux journaux pour qu’ils exigent les excuses officielles du peuple algérien et de ses représentants, que ce soit dans les allées du pouvoir, dans les mosquées, dans les media, dans les milieux artistiques et sportifs.

    Plus encore : chaque français pour qui ce terme signifie encore quelque chose est habilité à demander aux ressortissants algériens qu’il côtoie de formuler des excuses pour les exactions commises par leurs compatriotes.

    Relevé sur : Euro-Reconquista.com