Les algériens résidant en France ont clairement et définitivement manifesté leur volonté de rester, après trois générations de présence, des étrangers dans ce pays. Ils ont gagné le droit d’y être définitivement considérés comme tels. Ceci est un fait avéré et ne fait pas l’objet du présent article.
Le 18 novembre, suite au match de football qui opposait les équipes égyptienne et algérienne, des ressortissants algériens résidant en France ce sont livrés à des actes inacceptables. Dans plusieurs villes de France, outre les actes de pillages et de destructions (plus de 350 voitures brulées, des dizaines de commerces vandalisés) qui sont leur mode d’expression habituel, ils ont brûlé des drapeaux français arrachés aux monuments aux morts et outrage suprême marquant leur volonté de conquête ont remplacé le drapeau tricolore par un drapeau algérien au fronton d’un édifice public ! La mairie de Toulouse. On se souviendra que les derniers à avoir retiré notre emblème pour y poster le leur furent les occupants nazis !!
Ce dernier acte n’est pas seulement une déclaration de guerre, c’est aussi un affront inimaginable qui exige réparation.
Devant le silence assourdissant des médias et des élus hormis les quelques pitoyables justifications sociologiques de circonstance, chaque français qui n’a pas encore totalement abdiqué de sa fierté patriotique a le devoir de demander à nos élus et à nos élites de faire le leur. Ecrivons à nos députés, à la présidence de la république, aux journaux pour qu’ils exigent les excuses officielles du peuple algérien et de ses représentants, que ce soit dans les allées du pouvoir, dans les mosquées, dans les media, dans les milieux artistiques et sportifs.
Plus encore : chaque français pour qui ce terme signifie encore quelque chose est habilité à demander aux ressortissants algériens qu’il côtoie de formuler des excuses pour les exactions commises par leurs compatriotes.
Relevé sur : Euro-Reconquista.com