Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Antidote - Page 24

  • Des officiers de police noirs organisent des viols collectifs sur des Blancs en Afrique du Sud

    Des histoires horribles nous proviennent d’Afrique du Sud où des hommes blancs ont subi des viols collectifs dans des cellules de commissariat.
    Des hommes blancs sont arrêtés par la Police pour des délits mineurs tels qu’un excès de vitesse ou même simplement en tant que témoin d’un méfait. Ils sont ainsi placés en cellule avec de dangereux criminels noirs qui les violent collectivement, encouragés par les policiers. Les victimes blanches sont ensuite relâchées sans aucune poursuite. Plusieurs victimes blanches ont porté plainte contre la police, sans qu’aucune suite n’ait été donnée pour le moment.

    Le texte suivant fût écrit par Gayton McKenzie, un membre d’un gang noir sud-africain, et fût publié dans une thèse de recherche à l’Université de Pretoria (attention, âmes sensibles s’abstenir). Il décrit un male blanc et frêle, détenu pour consommation de Marijuana :
    « Wimpy, a un garçon blanc interpelé avec de la drogue, fût placé dans notre cellule. Je ne sais pas vraiment quel âge il a, peut-être 16 ans voire plus, mais il ne semble pas avoir plus de 14 ans, avec ses bras frêles et ses cheveux courts. Il essaie de se défendre lorsqu’on commence à le frapper mais sa résistance s’arrête brusquement lorsque quelqu’un éclate sa tête contre les barreaux en acier de la cellule.
    Il est ensuite violé successivement par les vingt hommes noirs durant plus de huit heures, quasiment toute la nuit. Le garçon fait tout son possible, avec son pathétique champ d’action, pour essayer de les repousser, mais ses tentatives restent vaines. Il crie, il pleure, il supplie, il essaie de les convaincre, il prie.
    C’est cependant au petit matin que je constate l’ampleur du massacre. Ce qui reste de Wimpie est allongé dans le couloir juste devant mon lit. Il est toujours nu, grelotant dans une flaque de son propre sang où ils l’ont massacré. Je dois littéralement enjamber son corps pour aller prendre mon petit déjeuner. »

    Voici un autre cas rapporté dans un journal Sud-Africain :
    En mars 2008 à Polokwane (Pietersburg), un jeune homme de la région s’appelant Nico Bouwer fût violé à plusieurs reprises lors de sa détention par la police juste quelques semaines avant son mariage. Il est depuis en grave dépression, ce qui l’a conduit à perdre son emploi. Il livre désormais des pizzas pour survivre financièrement et nourrir sa famille. Une collecte fût organisée par le journal « Rapport » pour payer ses soins. Sa vie est totalement gâchée depuis cette attaque.
    Mr Bouwer revenait de chez un ami lorsqu’il a percuté un lampadaire suite à la crevaison d’un de ses pneus. Il fût transporté en ambulance à l’hôpital où il fût arrêté par la police malgré ses blessures. Il exigea, comme la loi l’indique, de pouvoir passer un coup de fil, ce que la police refusa. Enfermé avec 25 codétenus noirs, 8 d’entre eux l’attaquèrent et le violèrent à plusieurs reprises pendant que d’autres le tenaient et l’étouffaient avec un oreiller. Il ne fût autorisé à appeler son avocat que le lendemain, lorsqu’il fut finalement relâché sous caution.

    A Vryheid, le tribunal reconnu que le propriétaire de ranch Etienne Van Wyk fût violé dans une cellule de police pendant que ses codétenus noirs chantaient. Van Wyk et Duvenhage furent placés en cellule après avoir été arrêtés pour « transport d’animaux sans autorisation ». Il s’est au final avéré que Van Wyk disposait d’une licence l’autorisant à transporter ces animaux et fût libéré le lendemain.

    James Brown, 69 ans et atteint d’Alzheimer, fût arrêté pour n’avoir pas payé une barre chocolatée. Il fût sauvagement assassiné dans sa cellule par des Noirs.

    Ces meurtres ne sont rien d’autre que des crimes de guerre. Dans plusieurs cas il fût rapporté que les violeurs chantent en commettant leur méfaits. La police noire et les détenus noirs agissent ensemble pour infliger ceci aux Blancs.

    Source. Traduction © Contre-info

    Source : Contre-info.com

  • Entretien avec Renaud Camus. Mon souhait pour 2014 : un raz-de-marée de l’Alliance antiremplaciste !

     

    Comment avez-vous réagi aux menaces proférées par Manuel Valls à l’égard de Dieudonné ?

    Ah, vous mettez à l’épreuve la cohérence de mes principes, là… M. M’bala M’bala et sa quenelle me soulèvent le cœur, j’étais ravi de les ignorer. D’un autre côté, je suis pour la liberté d’expression, tant qu’il n’y a pas appel à la violence ou diffamation caractérisée. Avec les fines plaisanteries sur Patrick Cohen, on franchit un degré supplémentaire. Le plus affligeant est que tant de gens paraissent trouver tout cela admirable.

    Anelka a justifié sa « quenelle » en parlant de son « ami humoriste Dieudonné ». On lui fait un mauvais procès ?

    Aucune idée. Ces milieux me sont peu familiers.

    À croire François Hollande et son gouvernement, la courbe du chômage serait en train de s’inverser… Un déni de réalité ?

    C’est l’ensemble de la vie politique qui est un déni de réalité. Nous vivons dans l’illusion tragique, le théâtre d’ombres. Je me suis permis d’appeler cela le faussel : réel inversé, règne du faux. La réalité, c’est la colonisation de l’Europe, le Grand Remplacement, la substitution ethnique, la conquête musulmane, le suicide d’une nation.

    Quels sont vos souhaits pour l’année 2014 ?

    Attendez voir… Colossale manifestation le 26 janvier prochain, avec particulière évidence du refus du Grand Remplacement. Dans la foulée, aux élections municipales, raz-de-marée de l’Alliance antiremplaciste (Union Noniste + Rassemblement Bleu Marine). Béziers devient le laboratoire de la reconquête, les allées de Riquet sont les Champs-Élysées du nouvel anticolonialisme. Triomphe noniste aux européennes, non seulement en France mais dans tous les pays du continent en cours de colonisation. Nouvelle majorité antiremplaciste au Parlement européen, changement radical de la politique communautaire à propos de l’immigration, dénonciation des traités et conventions forçant les nations à subir passivement l’invasion ou à l’encourager. Les travaux reprennent vivement pour l’adoption d’une Constitution européenne de type confédéral, avec un président élu, une armée forte, une stricte répartition des pouvoirs entre la Confédération et les États membres, une importance fondamentale accordée à la culture commune européenne, avec restauration des études latines et grecques et consécration solennelle des racines celtes, gréco-latines, juives, chrétiennes et libre-penseuses de notre civilisation.

    En France, pendant ce temps, le gouvernement est tombé, vous pensez bien. Des élections législatives anticipées se tiennent à la rentrée. Le Parti socialiste conserve quelques sièges dans les territoires occupés malgré la forte concurrence des candidats remplaçants, colonialistes et communautaristes, dont les élus voient toutefois leur élection invalidée pour inconstitutionnalité de leur programme. La droite remplaciste est laminée, malgré des palinodies de dernière minute qui n’ont pas trompé les électeurs. On met François Hollande à la Lanterne. Une forte majorité nono-mariniste, à peine au pouvoir, abolit le droit du sol, rétablit ladite « double peine », prive de la nationalité française ceux qui l’ont reniée publiquement, coupe les subventions des associations remplacistes, rédige une charte de ce qui est français et de ce qui ne l’est pas et répudie toute égalité entre ceci et cela, abroge les lois natalistes qui ont été un formidable facteur de substitution ethnique, crée un ministère du Retour, accroît de toutes les façons concevables les différences de droits entre citoyens et non-citoyens, interdit les prélèvements fiscaux supérieurs à 33 % des revenus, supprime les départements et les régions, rétablit les provinces, alloue des lycées à une éducation réformée au prorata des professeurs, des élèves et des parents d’élèves volontaires, crée une chaîne de radio et une chaîne de télévision dévolues à la culture, trace une carte des zones protégées avec rigoureuse interdiction de construire, entame la désignalisation, inaugure les leçons d’in-nocence à l’école, etc.

    Boulevard Voltaire

  • Le jasmin s’est fané en Tunisie, en Egypte et en Lybie, mais les cactus s’épanouissent en Syrie, au Mali et à Bangui !

     

     

    ONG.4.11.2013.jpg

    On se demande dans quels pays les djihadistes africains vont semer la pagaille et répandre la terreur en 2014. Au Niger ? Au Cameroun ? Au Tchad ? A Ouagadougou ?

    Hollandouille -le marshmallow de l’Elysée- a lâché que Valls avait eu de la chance de revenir sain et sauf d’Algérie, mais  il n’en sera peut-être pas de même pour les soldats de l’armée française engagés en Afrique noire,  si la France s’obstine à vouloir jouer aux gendarmes dans des pays souverains et indépendants depuis plus de 50 ans. Ces conflits tribaux séculaires ne concernent d’aucune manière les Européens, en proie à de multiples difficultés dans leurs pays respectifs : immigration/colonisation, chômage endémique, crise économique et financière structurelle, déclin démographique, décadence morale ou déficit public abyssal, entre-autres.

     Que diable allait-il faire dans cette galère ?

    On comprend mal cette frénésie du gouvernement à vouloir intervenir militairement en Afrique ou en Syrie, après la lamentable guerre déclenchée en Lybie qui a conduit ce pays dans  une situation pire que sous l’ère Kadhafi !

    Laurent Gbagbo avait fermé la base française de Port-Bouët près de l’aéroport d’Abidjan, en Côte d’Ivoire. Au Sénégal, la majorité des militaires basés à Dakar sont partis depuis longtemps. Au Gabon, il reste 900 militaires à Libreville. En République Centre Africaine, l’importante base de Bouar a été fermée dans les années 90. A Djibouti l’armée française possède sa plus importante base à l’étranger, qui compte 3000 hommes. Au Tchad, il n’y a plus de base permanente, mais Paris maintient un millier de soldats depuis 1986, déployés dans le cadre de l’opération Epervier.

    Avec des budgets de défense en baisse constante depuis 40 ans, sans moyens aériens adéquats - déjà pour envoyer la Légion à Kolwezi il avait été nécessaire de faire appel aux « bricolages »- faute de matériel offensif performant et en manque de troupes aguerries, la grenouille France voudrait se faire aussi grosse que le bœuf yankee !

     « Armée française, va-t-en ! »

    Alpha Bondy, star ivoirienne du rap, demandait en 1988 le départ  des « pioupious tricolores » du continent africain, dans sa chanson « Armée Française » :

    « En Côte d’Ivoire, nous ne voulons plus de vous,

    Au Sénégal, nous ne voulons plus de vous,

    Au Gabon, nous ne voulons plus de vous,

    En Centrafrique, à  Djibouti, à N’Djamena,

    Nous ne voulons plus de vous. »

    Refrain : « Armée Française, allez-vous en !

    Allez-vous en de chez nous.

    Nous ne voulons plus d’indépendance,

    Sous haute surveillance. »

    Pourquoi s’obstiner à imposer à tout prix le bonheur européen à des populations qui ont dilapidé l’héritage de la colonisation et à vouloir systématiquement décalquer un semblant de démocratie sur des pays où le tribalisme est enraciné depuis des siècles ?  Toutes ces anciennes possessions européennes avaient accédé à leur souveraineté dans le sang et la terreur, en laissant aux colons le choix entre la valise ou le cercueil ! Après deux générations, qu’ils prennent leurs responsabilités, arrêtent de geindre et de se plaindre et cessent de réclamer l’argent de nos impôts, parce que chez nous, en Europe, les caisses sont vides  et que charité bien ordonnée commence par soi-même. Nos pauvres passent avant les autres : c’est une question de bon-sens !

    Pieter KERSTENS.

  • Pour le réveillon du Nouvel An, faites des quenelles...

    Ingrédients

    • 250 ml d'eau
    • 50 g de beurre
    • Sel
    • 200 g de farine type 55
    • 3 œufs

    • Facultatif: 300 g environ de poisson à chair blanche (brochet et / ou merlan...) ou de chair de volaille

    Ustensiles

    • 2 casseroles
    • 1 cuillère en bois
    • 1 pilon ou 1 mixer
    • Plan de travail

    Préparation

    1. La pâte (panade): Dans une casserole, porter à ébullition l'eau salée et le beurre. Verser la farine d'un seul coup, hors du feu et mélanger vigoureusement. Cuire 5 mn à feu doux, en remuant pour dessécher la pâte. Retirer du feu et incorporer les œufs un à un en mélangeant entre chaque œuf
    2. Ajouter à la panade la chair mixée de poisson ou de volaille pour des quenelles au brochet ou à la volaille et laisser tiédir
    3. Le façonnage en quenelle: se fariner les mains et faire un gros boudin d'environ 3 cm de diamètre sur une plan de travail fariné puis le couper en tranches d'environ 10 cm. Façonner chaque tranche en quenelle en la faisant rouler sur la planche puis entre ses mains
    4. Le pochage: Porter une grande casserole d'eau à ébullition pour y faire pocher les quenelles jusqu'à ce qu'elles remontent à la surface, les égoutter: Les quenelles sont prêtes à être utilisées.

    La cuisine d'Annie

  • Grande-Bretagne : Charlène, 14 ans, transformée en viande à kebab

    Un tribunal anglais affirme que Charlène faisait partie d’un groupe de jeunes filles blanches enlevées par un réseau pédophile. Dix ans plus tard, l’enquête est relancée.

    charles-downes-Paige-Chiver

    A gauche, Charlène, à droite, Paige, disparues dans des conditions similaires

    Rappel : GB, 47 jeunes filles blanches transformées en esclaves sexuelles par un gang d’immigrés musulmans

    La police relance l’enquête suite à la disparition il y a dix ans de Charlene Downes, rappelant un cas identique survenu 4 ans plus tard, quand Paige Chivers disparut à Blackpool dans les mêmes circonstances. Les corps des jeunes filles n’ont jamais été retrouvés.

    _
    Son corps avait été mis dans un hachoir à viande et transformé en kebabs et hamburgers vendus dans un restaurant de plats à emporter du centre-ville

    Une unité spéciale a été mise en place dans la ville où les deux adolescentes vivaient afin de réexaminer deux des plus grandes affaires non résolues du Lancashire.

    Lors de la disparition de Charlene en novembre 2003, la police a cru qu’elle faisait partie d’un groupe de jeunes adolescentes utilisées pour accomplir des actes sexuels à proximité de la gare en échange de cadeaux, faveurs ou boissons alcoolisées.

    Selon les enquêteurs, une centaine d’homme auraient été impliqués.

    Charlène Downes

    Charlène Downes

    « Charlene était une adolescente typique » explique sa maman. « Elle était très proche de son frère et de ses sœurs et lorsque la police a demandé si elle avait pu s’enfuir de la maison je savais que c’était impossible. Elle ne l’aurait jamais fait ».[1]

    Karen Downes n’a pas eu la vie facile. Il y a 10 ans, sa fille Charlene, alors âgée de 14 ans, a disparu après avoir été entraînée dans un réseau pédophile. La police avait alors soupçonné deux hommes de l’avoir transformée en viande à Kebab et de l’avoir vendue. (…)

    La police a toujours pensé qu’elle avait été enlevée par un réseau pédophile, violée par plus de 100 hommes et qu’ensuite son corps avait été mis dans un hachoir à viande et transformé en kebabs et hamburgers vendus dans un restaurant de plats à emporter du centre-ville. Deux hommes ont été jugé pour son meurtre, mais ils ont été acquittés et personne n’a jamais été reconnu coupable de sa disparition et probable mort.[2]

    Suite et sources : 1 Mirror.co.uk, 2 RTL.be

    Défrancisation.com

  • Rivarol cette semaine

    3122.jpg