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articles divers - Page 4

  • Levée de l'immunité de Marine Le Pen

    Bernard Antony, président de l’Institut du Pays libre, communique :

    « La levée, hier 2 juillet 2013, de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen par le Parlement Européen, afin que la police de la pensée en France poursuive l’un de ses propos appelant certes la controverse mais relevant de la liberté d’expression, prouve encore, s’il en était besoin, la fonction certes efficace mais exécrable de police de la pensée « idéologiquement correcte » que joue cette assemblée par ailleurs si débile.

    « Le Parlement Européen, sous apparence démocratique, n’est en effet qu’un rouage important dans le fonctionnement de la dictature totalitaire du Big Brother eurocratique d’ailleurs aussi bête qu’abject. Cela seul légitime plus que jamais le slogan que j’avais lancé jadis dans Reconquête : « Sortons de cette Europe-là ! »

    En cette affaire, en tant qu’ancien parlementaire dans cette aussi venimeuse que stupide Assemblée et en tant que défenseur des libertés, et celle de l’expression politique au premier chef, j’exprime ma totale solidarité à Marine Le Pen.

    Cela dit, je n’aurais pas parlé comme elle d’un des aspects somme toute secondaire de l’islam en France.

    Mais Marine le Pen, qui a longtemps énoncé sa confiance en un islam de France n’a pas encore à ce jour fait l’effort de considérer l’islam dans sa réalité.

    Ce n’est pas en effet à sa dimension religieuse qu’il faut s’en prendre. Ce qu’il faut considérer, c’est que l’islam est l’expression d’une idéologie théocratique totalitaire à vocation conquérante. Et pas seulement par la prière ! Dans la diversité des cinquante pays dans le monde où il domine selon des formes plus ou moins sévères ou cruelles, aucune part il n’est permis aux citoyens l’exercice d’une véritable liberté religieuse.

    Celle-ci, pour les « gens du Livre », c’est-à-dire les chrétiens et les juifs, se ramène au statut de la dhimmitude selon des degrés variables allant des contraintes surveillées aux vexations et à la répression.

    Ce que les responsables politiques, et Marine Le Pen au premier rang, doivent proclamer et exiger, c’est la liberté de critique, de réfutation et de refus de l’islam, comme il fallait l’exercer vis-à-vis du jacobinisme, du nazisme et du communisme.

    En effet, ce ne sont pas les musulmans que nous détestons mais le système de l’islam que nous refusons.

    Chrétiens, nous aimons les musulmans et prions pour qu’ils découvrent la valeur de la liberté proclamée dans l’Évangile mais dont le mot ne figure pas dans le Coran et les Hadiths ; et aussi celle de l’amour qui y est à peine évoqué et dans un sens si limité puisque hors de la liberté.

    Pour le bien commun de notre patrie, de l’Europe et de toutes les nations, les politiques doivent œuvrer pour la liberté des femmes et des hommes musulmans, partout dans le monde, de choisir un autre modèle de vie individuelle, sociale et politique que celui de l’islam.

  • Dans Rivarol de cette semaine, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, décortique les mensonges de "l'affaire Méric"...

    3100.jpgUn entretien avec Roland Hélie, co-fondateur du Collectif pour la défense des libertés publiques…

    NDLR : Entretien réalisé le 22 juin, soit trois jours avant l'annonce de l'autodissolution de Troisième voie et des JNR, et publié dans Rivarol (n°3100 du 28 juin 2013)

    Roland Hélie, vous êtes le directeur de la revue Synthèse nationale et vous faites partie des instigateurs du Collectif pour la défense des libertés publiques. Pouvez-vous nous exposer les raisons qui vous ont mené à lancer ce collectif ?

    Tout est parti de ce qu’il est désormais convenu d’appeler « l’affaire Méric » et que, pour ma part, je préférerais que l’on appelle « l’affaire Estéban » car, une fois de plus, il s’agit de remettre les choses à leur place et de ne pas inverser les rôles. En effet, depuis le jeudi 6 juin dernier, un jeune nationaliste, Estéban, est en prison alors qu’il n’a fait que se défendre, et défendre sa petite amie, alors qu’ils étaient sauvagement agressés par une bande gauchiste, rue Caumartin, à Paris.

    Certes, mais au cours de cette altercation, un gauchiste, Clément Méric, est mort…

    Effectivement, l’un des agresseurs est décédé suite à cette altercation. Mais enfin, lorsque l’on attaque délibérément des personnes dans la rue, comme ce fut le cas ce jour-là de la part des gauchistes, on prend des risques, y compris celui de se prendre soi-même des coups, et parfois les coups peuvent êtres fatals. C’est sans doute regrettable, mais il en est ainsi.

    C’est un peu comme lors de la manifestation contre la loi Taubira organisée par Civitas en novembre dernier. Un groupe de Femen est arrivé gaillardement, au pas cadencé, et a commencé à gazer des familles qui se rendaient à ce rassemblement. Celles-ci ont été éconduites comme il se devait par des jeunes gens présents qui n’ont écouté que leur sens du devoir. Ensuite, elles ont passé leur temps à geindre sur leur sort. Là aussi, il ne faudrait pas inverser les rôles. Lorsque l’on veut faire la guerre, il faut savoir en subir les conséquences.

    Rappelez-nous les circonstances de ce que nous appellerons donc l’ « affaire Estéban ». Comment cela s’est-il déroulé ?

    Estéban était venu avec quelques amis à une vente privée de vêtements d’une marque prisée, entre autres, par les jeunes nationalistes. Dans l’appartement où se déroulait cette vente, ils ont été pris à partie verbalement par Méric et sa bande qui étaient venus spécialement pour les provoquer. Pour s’en convaincre, il suffit de consulter la page « Facebook » de ces gens-là sur laquelle ils avaient publié, la veille, des photos représentant leurs cibles.

    Les vigils de la vente ont alors évacué les gauchistes et ce n’est qu’une demi-heure plus tard que, persuadés que ceux-ci étaient repartis, Estéban et ses camarades sont sortis. C’est alors qu’ils furent agressés car les gauchistes étaient restés planqués à proximité. Il s’en suivit une courte bagarre au cours de laquelle Méric se serait pris quelques coups. Le reste c’est l’enquête qui le dira. Quoi qu’il en soit, et tous les témoins sont formels, les agresseurs étaient Méric et sa bande, et les agressés Estéban et ses amis. D’ailleurs, apprenant les conséquences dramatiques de l’altercation, ceux-ci se sont rendus d’eux-mêmes à la police. Or, aujourd’hui, trois semaines après les faits, Estéban et un autre militant sont encore en prison.

    Effectivement cela est assez incroyable lorsque l’on se souvient de la version donnée par les media juste après les faits…

    Et il y a plus incroyable encore. Dès le lendemain matin, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, parle d’un « assassinat » et dénonce une organisation, les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), comme étant responsable de ces événements. M. Valls a une imagination débordante. Il jette à la vindicte des gens sans même savoir ce qu’il s’est vraiment passé. Les élucubrations de M. Valls sont du niveau de n’importe quel pochtron qui, le matin au comptoir d’un bistrot, commenterait les fait-divers relatés dans le journal local… C’est hallucinant car M. Valls est, rappelons-le, ministre de l’Intérieur. Et ce n’est pas fini. Deux jours plus tard, le samedi matin, c’est le Premier ministre qui en remettra une couche en annonçant qu’il entame la procédure en vue de la dissolution des JNR. Et la semaine suivante, il ira encore plus loin en demandant aussi la dissolution du mouvement Troisième voie (TV) dirigé par Serge Ayoub et dont les JNR sont, en fait, le service d’ordre. Et le Conseil de Paris en profite pour demander, pendant qu’on y est, la fermeture du bar associatif non-conformiste « Le Local » situé dans le XVe arrondissement et réputé proche des organisations visées. On est en plein délire.

    Tout cela ne tient pas debout. D’autant que l’« assassinat » dont Valls et consorts  nous ont rebattu les oreilles le jeudi matin a rapidement été requalifiée par le juge chargé de l’instruction en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Les mots ont un sens.

    Non seulement Estéban n’a agressé personne (il n’a fait que se défendre) ; non seulement il n’est pas membre des JNR ; non seulement les JNR, et a fortiori TV, ne sont en rien responsables de la mort de Méric ; mais le pouvoir s’obstine à vouloir dissoudre ces mouvements et maintient deux jeunes patriotes en prison. Si cela ne s’appelle pas une dérive totalitaire, dites-le moi.

    C’est le moins que l’on puisse dire. Mais alors, pourquoi une telle obstination de la part du pouvoir ?

    En réalité, depuis neuf mois, le gouvernement est confronté à une opposition grandissante qu’il a de plus en plus de mal à contenir. Cette opposition, qui se manifeste principalement dans la rue, dépasse le cadre habituel des partis classiques. En fait ceux-ci sont totalement débordés. L’obstination de Hollande à vouloir imposer la loi Taubira a engendré un véritable mouvement de fond dans le pays. Aujourd’hui, plus un ministre ne peut mettre le nez dehors, où que ce soit, sans se retrouver en face d’une cohorte de manifestants. Pour les tenants du pouvoir cette situation devient insupportable, cela d’autant plus que le mouvement est loin de retomber. Il faut donc qu’il trouve une porte de sortie. D’où la multiplication des provocations afin d’essayer de dissuader les manifestants à continuer leur combat.

    Que voulez-vous dire ?

    C’est simple, le pouvoir cherche à introduire la violence dans les manifs afin de les discréditer. Nous, les nationalistes, avons d’ailleurs été les premiers à subir cette stratégie hasardeuse.

    Rappelez-vous, le dimanche 12 mai dernier, place des Pyramides à Paris, lors de l’hommage à Sainte Jeanne d’Arc. Au moment où arrivait le cortège unitaire (NDP-TV-France nationaliste-Europe identité… encadré par les JNR), précédé par celui du Renouveau français, quatre Femen, toujours elles, ont déployé du balcon d’un appartement propriété du ministère de la Culture une immense banderole écrite en anglais demandant la « sextermination for nazism ». Il s’agissait de provoquer la colère, légitime, des manifestants et que ceux-ci affrontent la police. Il n’en fut rien car, grâce au sang-froid du service d’ordre, les JNR, la manifestation, au grand dam des flics (17 « paniers à salades » ont été dénombrés dans les rues voisines), n’a pas dégénéré. Le pouvoir aurait été trop heureux de pouvoir imputer aux nationalistes des actes violents comparables à ceux qui, le lendemain, ont été le fait des bandes ethniques dans le quartier du Trocadéro, lors de la remise d’une coupe de football. Cela aurait pu légitimer l’interdiction des nombreuses manifestations contre la loi Taubira qui se sont déroulées en mai partout en France. Les JNR ne leur ont pas laissé cette joie.

    Il en fut de même le 26 mai. Les actes de violence provoqués à l’issue de l’impressionnante manifestation qui a rassemblé un million de personnes n’ont pas eu l’effet escompté.

    Les événements de la rue Caumartin sont donc tombés à pic. Et le pouvoir a voulu en faire un exemple.

    Très vite pourtant, il nous a semblé que certains media ont douté de la version officielle de cette affaire. Comment cela s’est-il passé ?

    Dès le lendemain matin, sentant le piège se refermer, une contre-offensive médiatique a été élaborée. Serge Ayoub a tout de suite pris contact avec les journalistes qu’il connaît afin de leur exposer la réalité des faits qui est aux antipodes des élucubrations de Manuel Valls et des habituels « consternés » qui se succédaient à l’écran pour dénoncer « la barbarie fasciste ». Ainsi, dès le début de l’après-midi , une autre interprétation des faits commença à circuler. En particulier grâce à BFM-TV qui fut, reconnaissons-le, la première chaine à faire preuve d’une certaine indépendance d’esprit. Dans les jours qui suivirent, Serge Ayoub, avec le franc parlé que nous lui connaissons, multiplia les interventions sur les plateaux et, petit à petit, la version officielle commença à être remise en cause.

    De plus, à peine cinq heure après l’annonce de Ayrault de vouloir dissoudre les JNR, le samedi 8 juin, nous avons organisé une conférence de presse au Local qui a aussi eu un énorme écho (une vingtaine de télés, radios et journaux étaient présents). Le pouvoir ne s’attendait pas à une telle réaction de notre part. En fait, cette « affaire Méric » est en train de se transformer en, pardonnez-moi l’expression, une « affaire merdique » pour le pouvoir.

    D’où son obstination à vouloir dissoudre TV et les JNR ?

    Nous avons affaire à un gouvernement d’amateurs. Ils pensent qu’il suffit de ressortir la vielle recette de la diabolisation pour décourager leurs opposants. Cela ne marche plus. Ils accusent TV de diffuser des idées racistes ou antisémites, alors que jamais ce mouvement n’a été une seule fois inquiété, en trois ans d’existence, pour de telles choses. Or, vous le savez bien à Rivarol, les inquisiteurs patentés de la pensée unique sont vigilants, et âpres aux gains, dans ce domaine. Aussi, ils accusent les JNR d’être une milice paramilitaire… fadaises que tout cela. Les JNR ne sont que le service d’ordre, certes efficace, de TV. Aucun acte violent ne leur a été reproché depuis trois ans. Il serait peut-être temps d’arrêter de délirer. Pour sauver sa peau ce gouvernement est prêt à interdire tous ceux qui s’opposent à lui. On l’a déjà constaté à plusieurs reprises, notamment lorsqu’il a cherché, il y a quelques semaines à dissoudre le Printemps français.

    D’où la création du Collectif pour la défense des libertés publiques ?

    Face à cette véritable imposture, il nous a semblé nécessaire de rassembler les énergies. Dès le début de cette affaire, Synthèse nationale et la Nouvelle Droite populaire ont apporté leur soutien total à Estéban et à Troisième voie. Parallèlement le Réseau Identités, présidé par notre ami Richard Roudier, a adopté la même démarche. Le Comité d’entraide aux prisonniers européens (CEPE)* a été aussitôt réanimé et un formidable élan de solidarité s’est développé puisqu’en 10 jours plus de 700 personnes ont très généreusement répondu à son appel. Voilà pourquoi, afin de synchroniser nos actions, nous avons créé ce collectif  auquel de nombreuses personnalités, tels les écrivains Renaud Camus, Guillaume Faye, Gilbert Sincyr, Eric Miné, Jean-Claude Rolinat, Patrick Gofman, Philippe Randa, des hommes politiques comme les anciens députés Christian Vanneste, Pierre Descaves, notre Cher Robert Spieler, le dynamique Secrétaire général du Parti de la France Thomas Joly et bien d’autres nous ont apporté leurs soutiens. Ce collectif a vocation à perdurer car je pense que, hélas, les manœuvres perfides du pouvoir n’ont pas fini de viser les nationalistes, comme le prouvent les scandaleuses procédures de dissolution de nos amis des Jeunesses nationalistes d’Alexandre Gabriac et de l’œuvre française d’Yvan Benedetti.

    Alors, pour conclure, cette affaire n’aura pas eu les résultats escomptés pour le pouvoir ?

    En fait, ceux qui se font appeler « les anti-fas » ne sont que des petits auxiliaires destinés à accomplir les basses œuvres du pouvoir contre la seule opposition déterminée à sa politique mondialiste, à savoir l’opposition nationaliste. En incitant quelques naïfs, comme Clément Méric, à s’exciter contre un hypothétique fascisme renaissant, il était prévisible que l’on en arrive à une telle situation. En menaçant de dissoudre Troisième voie et les JNR, le pouvoir n’aura réussi qu’à créer un véritable mouvement de solidarité en faveur de ces mouvements qui, dissous ou pas, sortiront renforcés de ces attaques. En jetant en prison Estéban, ou dernièrement le jeune veilleur Nicolas, il pousse une partie grandissante de la jeunesse vers la contestation globale du système. On est en pleine confusion. Le gouvernement se retrouve dans la position de l’arroseur arrosé.

    Mais que voulez-vous, lorsque l’on a un Président de la République qui confond les Chinois et les Japonais, comme ce fut cas récemment à Tokyo, il ne faut pas s’étonner que le Premier ministre confonde les agresseurs et les agressés.

    Pour vous contacter ou participer au Collectif ?

    Il vous suffit d’écrire à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement).

    * CEPE,B.P. n°4 – 7187, 30914 Nîmes Cedex / comitecepe@gmail.com

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  • Après l'affaire Méric, le Bloc Identitaire demande la vérité sur les « agressions » d'Argenteuil !

    Communiqué du Bloc identitaire :

    Sur la Manif Pour Tous du 24 mars, en dénonçant de prétendus « groupuscules » pour mieux gazer (oui, gazer !) les familles sur les Champs-Elysées, le pouvoir socialiste a menti.

    Au sujet des émeutes du Trocadéro, en affirmant que les incidents étaient le fait de « supporters ultras du PSG » alors qu'il s'agissait de hordes de racailles de banlieue, le pouvoir socialiste a menti.

    Sur la Manif Pour Tous du 26 mai, en faisant peur aux familles pour tenter - vainement - d'affaiblir le mouvement de contestation populaire, le pouvoir socialiste a menti.

    En minorant systématiquement les chiffres de participation pour l'ensemble des Manifs Pour Tous, le pouvoir socialiste a menti.

    Dimanche dernier, en minimisant le déferlement de haine des groupuscules d'extrême-gauche lors de l'hommage à Clément Méric (tags anti-France, vitrines brisées, agressions...) soldé par 14 interpellations, le pouvoir socialiste a menti.

    Hier, les révélations du Point nous apprennent que loin de la thèse du « crime politique » évoquée par la Gauche quelques heures après la tragique disparition de Clément Méric, sa bande serait en fait à l'origine de la rixe fatale. Si bien qu'en relayant une thèse fallacieuse à des fins politiques sans attendre les conclusions de l'enquête, une fois de plus, le pouvoir socialiste a menti !

    Devant ces faits avérés, le Bloc Identitaire s'inquiète d'un contexte de mensonges et de manipulations d'État peu propice au débat démocratique apaisé.

    Le Bloc Identitaire en vient donc légitimement à se poser des questions sur le dernier fait divers non résolu mais déjà exploité par les Socialistes : les « agressions » de femmes voilées à Argenteuil.

    Nous demandons expressément au pouvoir socialiste d'apporter le plus rapidement possible toutes les preuves de ces agressions, qui semblent servir l'instrumentalisation par le gouvernement d'une prétendue « islamophobie » (au demeurant peu probable en plein cœur d'Argenteuil) pour mieux culpabiliser un réveil patriote bien réel.

  • Le violence est bien de gauche et d'extrême-gauche

    Un communiqué de Serge Ayoub :

    Suite à la campagne d’incitation à la haine et à la violence contre Troisième Voie lancée par le Premier ministre Ayrault qui parle de nous « tailler en pièces » et du ministre de l’Intérieur Valls qui cautionne et justifie la violence des antifas « qui luttent d’une manière ou d’une autre » contre les idées considérées d’extrême droite, nous, patriotes, subissons de la part de l’extrême gauche une avalanche de violence contre les nôtres. Cette fin de semaine, près d’Agen, nos anciens militants de Troisième voie, qui dans un dernier baroud d’honneur avant la dissolution effective de notre mouvement, collaient leur restant d’affiches ont été attaqués par une bande de nervis sortis d’un festival punk, ivres d’alcools et confortés par les provocations de Ayrault. Ces brutes alcoolisées ont agressé à 8, les 3 colleurs et leurs deux compagnes.

    Heureusement le courage et la justice ont eu raison de la haine et du nombre, mais depuis les médias se déchainent contre ceux qui n’ont fait que se défendre d’avoir collé des affiches et de refuser de se laisser battre.

    Malheureusement la campagne de haine et de violence se propage et se généralise sur toute la France : il y a trois jours le local de nos camarades dans la Somme, à Estrées-Mons recevaient plusieurs impacts de balles sur la façade et essuyait dans la nuit un cocktail molotov, pire à Picquigny (80), la nuit dernière, un autre local, identifié comme accueillant des patriotes, a subi un incendie criminel, et tout cela dans l’indifférence générale.

    La violence systématique des antifas s’exerce en toute impunité, sur tout le territoire et contre tous, la semaine dernière le local du Front national à Nantes était mis à sac, ce dimanche c’est Paris qui était livré à des bandes armées et masquées qui ont vandalisés le centre de la capitale au vu et au su de tous, aujourd’hui c’est au tour de la permanence du PS du XXème à Paris d’être mise à sac par les antifas !

    Quand le gouvernement réagira-t-il ? Quand les violences et la haine seront-elles stoppées ? Faudra-t-il un nouveau drame ?

    Source : Synthèse nationale

  • Stop au théâtre des conférences sociales, oui à un profond changement de cap européen !

    Marine_Le_Pen.jpgCommuniqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    La conférence sociale actuellement réunie fait partie de ces grand-messes théâtrales qui rassemblent année après année tout ce que la France compte d’experts en aplaventrisme devant l’Union européenne.

    Sur l’ensemble des sujets abordés, en particulier l’emploi et les retraites, tout a en effet déjà été décidé à Bruxelles, l’Union européenne imposant systématiquement à des gouvernements soumis une politique de gestion de la pénurie qui se traduit par des sacrifices de plus en plus insupportables et vains.

    Complices de l’Union européenne qu’ils soutiennent de façon quasi religieuse en toute circonstance, les différents acteurs réunis n’ont rien de nouveau à proposer aux Français : le MEDEF applaudit logiquement la politique ultralibérale du gouvernement alors que les organisations syndicales montrent une nouvelle fois qu’elles trahissent les travailleurs en refusant de poser la question de l’Union européenne.

    De ces conférences sociales ne sort qu’une politique anti-sociale et anti-économique, car dictée par l’idéologie bruxelloise.

    La France n’a pas besoin de grands messes de ce type, mais d’une refonte totale de sa politique économique et sociale. Sortons de la logique UMPS de gestion de la pénurie et préférons la remise à flots du navire France, par une politique de réarmement de notre pays face à la mondialisation sauvage via des frontières intelligentes contre la concurrence déloyale, une politique monétaire nationale offensive et le patriotisme économique.

  • Djihadistes ou Brigadistes ?

    Les ministres de l’Intérieur français, Manuel VALS, et belge, Joëlle MILQUET, s’étonnent et s’offusquent que des volontaires musulmans, issus des « banlieues » puissent s’engager dans les rébellions en Lybie, en Syrie ou au Mali aux côtés des mercenaires payés, entraînés et armés par l’Arabie Saoudite et le Qatar.

    Quoi de plus normal puisque depuis plusieurs années les gouvernements européens ont aidé à la déstabilisation de l’Irak, de l’Afghanistan, de l’Egypte, de la Tunisie ou de la Lybie hier, et aujourd’hui de la Syrie.

    Les complices de la parodie de procès de Saddam Hussein ayant conduit à sa pendaison, les commanditaires de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, les responsables de l’échec afghan, de l’éviction de Moubarak et de Ben Ali, ceux qui exigent la peau de Bachar-el-Assad, refusent maintenant que des milliers de maghrébins inassimilables puissent rallier les sunnites au Proche-Orient, au Maghreb ou ailleurs en Afrique.

    Pourquoi reprocher à ces volontaires d’aller défendre leurs convictions ou leur idéal pour une cause qui leur a été présentée comme indispensable à l’instauration de la « démocratie » ?

    Pourquoi critiquer ces « jeunes » et condamner leur engagement, alors que dans le même temps les médias, aux ordres du gouvernement, dénoncent en permanence ces « dictatures » à abattre ?

    Les donneurs de leçons de la mafia socialaud-libéro-écolo-humaniste feraient bien de se taire et balayer devant leur porte.  Durant la guerre d’Espagne (1936-1939) des dizaines de milliers d’européens ont rejoint les Brigades Internationales au prétexte d’instaurer, les armes à la main, le communisme (chanté et adulé par Dolorès Ibarruri la « Pasionaria ») contre la volonté de la majorité du peuple espagnol.  Ces brigadistes du marxisme mondialiste ont toujours et partout été montrés en exemple, tout au long de la seconde moitié du XXème siècle, par les charlatans de la démocrasse.

    Il est donc naturel, logique et compréhensible que le combat pour défendre le domaine de l’Islam soit aujourd’hui alimenté par des volontaires – janissaires du 21ème siècle – nourris et lobotomisés par ceux qui durant des décennies ont saboté et vilipendé les valeurs séculaires qui ont fait la grandeur de l’Europe.

    Mais le déclin de notre civilisation et la décadence de notre culture conduisent une partie des immigrants à se tourner vers d’autres horizons.  C’est pourquoi le boomerang droit de l’hommiste et la culture de l’excuse se retournent contre les saltimbanques de la Pensée Unique, du Politiquement Correct et du Melting-Pot à tous les étages !

    Et quand Carla DEL PONTE, membre de la Commission de Recherche de l’ONU sur les violations des Droits de l’Homme, confirme maintenant que les rebelles de l’ASL et les katibas salafistes utilisent la torture, commettent d’innombrables viols envers les civils et font usage de gaz sarin pour assassiner la population, il est grand temps d’ouvrir les yeux, de changer de discours et de tout mettre en œuvre pour sauver le soldat BACHAR ! ! !

    Pieter KERSTENS

  • Quand le mondialisme passe, l'emploi trépasse

     

    Il y a déjà 15 ans, en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, le groupe Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé, étant donné que sur une centaine d’unités de production automobile en Europe, plus de 40 sont en surcapacité depuis de longs mois.

    Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante, sans référence au monde ouvrier, des patrons de ces marques automobiles, MM Varain, Goshn & C°.

    N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’Etats ou de gouvernements, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été  les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduit par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies éclate au nez et à la figure des peuples européens maintenant que la crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix…dont le résultat est le chômage en Europe !

    Semaine après semaine, mois après mois, les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par  les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 30 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment que notre avenir et celui de nos enfants sera loin d’être rose. Bien au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales » et de « solidarité » afin de capter le vote de clients/électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.

    Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations », des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et ces socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont et ont toujours eu la faculté  d’imposer, à temps, des mesures drastiques et certes impopulaires, mais  indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.

    Il n’est pas trop tard pour tenir un langage de vérité ni de sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe. En effet, peut-on refuser l’austérité pour favoriser la facilité ?

    En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : «  Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez   pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. »

    Pieter KERSTENS.

    Voir aussi la video en cliquant ici

  • Pédophilie dans une école juive parisienne : le directeur-rabbin mis en examen !

    Un rabbin arrêté par la police parisienne ! Epouvantable remake de l'innommable ? Il y avait là de quoi remuer tripes et boyaux des grandes consciences, pétrifier d'horreur les sourcilleux gardiens de l'inaltérable mémoire des heures les plus sombres et déchaîner scribouillards et animateurs en infos de toute la médiacrassie. Pourtant quasi silence radio, défaut d'image et papiers fort discrets !

    Il faut dire que le rabbin en question est aussi le directeur de l'école juive orthodoxe Beth Hanna, un établissement pour garçons du 20e arrondissement de Paris et qu'il a été alpagué par la brigade de protection des mineurs avant d'être mis en examen pour "non dénonciation d'atteintes sexuelles sur mineurs de 15 ans"... autrement dit le religieux a couvert des agissements aussi pédérastiques que pédophiles. Pourtant alerté dès l'été dernier par des parents de jeunes élèves victimes d'attouchements de la part d'un surveillant, l'éminent membre de la communauté Loubavitch n'a non seulement pas répercuté les faits à la police comme il en avait l'obligation, mais a fait pression sur les familles pour que celles-ci gardent le silence pour préserver l'honneur de la communauté.

    Il aura fallu qu'un couple de parents passe outre les injonctions d'omerta pour que l'affaire soit révélée et - tardivement - condamnée par le Grand Rabbin de France. Cela dit, un semblable fait divers se déroulant dans un établissement chrétien et mettant en cause un prêtre catholique aurait été largement "couvert" par les médias et monté en épingle, on aurait évoqué une enquête approfondie ou une possible fermeture de l'école et on aurait peut-être même vu se pointer quelques femen, deux ou trois jeunes communistes, un Mélenchon et un raton-laveur pour une gesticulation bachique unitaire. Selon que vous serez...

    Yves Darchicourt

    Source : Synthèse nationale

  • Informations du Belgistan