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Antidote - Page 12

  • Il y a 40 ans, le Kampuchea imposait la Shoah*

    CC'est en effet le 17 avril 1975 que Phnom Penh tombe aux mains des maquisards du Front Uni National du Kampuchéa (le FUNK).  L’entrée de l’armée révolutionnaire de libération dans la capitale du Cambodge fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.

     

    Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar - organisation socialo marxiste - dominée par les Khmers Rouges.

    Reconnus et soutenus par l’Internationale Socialiste, armés par Moscou et Pékin, les « maîtres » du Kampuchéa Démocratique vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire.  Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé séculaire (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).

    «

    CIl y Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés.  Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42% de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.

    Ces assassinats politiques en masse relevaient d’une volonté délibérée de terreur et d’extermination de la part des Khmers Rouges, cherchant à se maintenir au pouvoir par la violence et l’effroi afin d’établir dans la réalité leurs rêves utopiques.  A l’exception des Vietnamiens, qui eurent la chance d’être avant tout chassés massivement du pays, la population visée par les sbires de Pol Pot étaient en priorité celle des 17 avril ou Peuple Nouveau.

    Au Cambodge, le Peuple Nouveau constituait environ la moitié de la population du pays.  Il n’avait strictement plus aucun droit, pas même le droit de vote, sinon celui de travailler sans la moindre récompense et pour une nourriture de plus en plus dérisoire.  A postériori, la seule raison pour laquelle tous les 17 avril n’ont pas été exterminés était qu’ils constituaient une immense réserve de main-d’œuvre gratuite indispensable à la révolution qui voulait tripler la production rizicole, puisqu’elle interdisait l’achat et l’utilisation de machines fabriquées à l’étranger. »

    (In « Le petit livre rouge de Pol Pot » de Henri Locard).

     

    Saloth Sâr (Bâng Thom dans le parti) connu sous le nom de guerre de Pol Pot et sa clique de fidèles entre les fidèles : Nuon Chea, Ieng Sary et sa femme Ieng Thirith, Khieu Samphân, Ta Mok, Hu Nim, Mme Son Senet Duch, mettent en place l’ANGKAR LOEU, arme psychologique suprême des terroristes qui tiennent tout un peuple dans un état d’épouvante et de soumission absolue. Cette utopie marxiste était basée sur des slogans appliqués dans toute leur brutalité, partout et tout le temps.

     

    On se rappellera ici du culte de l’Être Suprême (fêté le 8 juin), culte déiste organisé par Robespierre durant la Révolution française en mai 1794 ; mais il faut également se souvenir de la 1ère Terreur en août et septembre 1792 et de le 2ème Terreur de septembre 1793 à juillet 1794, entrainant des centaines de milliers de victimes au nom d’une idéologie mortifère.

     

    Il est curieux de constater que ce « détail » de l’Histoire, au XXème siècle, en Asie,  n’a suscité depuis que peu de débats ou de manifestations, au même titre que le génocide arménien qui débuta le 24 avril 1915 ou encore les dizaines de millions de victimes du Goulags en URSS et du Laogaï en Chine.

     

    In memoriam

    Pieter KERSTENS

    *mot hébreu qui signifie « anéantissement ».

    Bibliographie : « Pol Pot » de Louis Dreyfus. « Le petit livre rouge de Pol Pot » d’Henri Locard. « La digue des veuves » de Denise Affonço. « Revenue de l’enfer » de Claire Ly. « Cambodge année zéro » de François Ponchaud. « Le portail » de François Bizot.

  • Le Pen a dit la vérité, il doit être exécuté

    Parce que le président-fondateur du Front National répète inlassablement des détails irréfutables  et avérés de l’Histoire, mais à l’encontre de la Pensée Unique et du Politiquement Correct, outre ses analyses critiques et dérangeantes.

    Car les crimes contre l’Humanité et les génocides ne sont pas des cas particuliers ni un monopole du IIIème Reich. Bien avant, à la fin du 19ème siècle, les anglais ont initié des camps de concentration en Afrique du Sud pour y emprisonner les femmes, les enfants et les parents des Boers, afin de contraindre ceux-ci à se rendre et à déposer les armes.

    Le 24 avril 1915 les Turcs avaient déclenché le génocide des arméniens, aussi horrible que la découverte 30 ans plus tard des camps de la mort en Allemagne. Après la seconde guerre mondiale les démocrasseux ont constitué l’ONU pour en finir avec les massacres sur la planète. Peine perdue.

    En 1975, le 17 avril (coïncidence : le même jour où le sort de Jean-Marie Le Pen sera évoqué au Bureau Politique du FN), les Khmers Rouges défilaient à Phnom-Penh, ayant chassé le maréchal Lon Nol, dans un concert de louanges et encensés par les socialo-écolo-marxistes européens. Bilan ? L’extermination de 25% de la population du Kampuchéa Démocratique ! Silence dans les rangs….

    Plus près de nous, en avril 1994, le génocide rwandais a conduit le pays des mille collines dans un bain de sang imaginé, planifié et organisé par un machiavel  africain toujours au pouvoir et protégé par les anglo-américains.

    Ceci en ce qui concerne certains « détails » de l’Histoire qui dérangent encore les laquais du Nouvel Ordre Mondial, détails parmi tant d’autres au XXème siècle, comme les dizaines de millions de zeks disparus dans le Goulag d’U.R.S.S. ou les dizaines de millions de victimes des laogaïs chinois depuis 1950.    R.I.P.

    On peut tout de même s’interroger quant à cet acharnement contre JM Le Pen, lorsqu’il exprime son point de vue au micro de RMC et lors une interview dans « Rivarol », en répondant aux questions posées. Il y a quelques semaines tout l’Hexagone avait défilé contre le terrorisme et pour défendre la liberté d’expression, sous le slogan « Je suis Charlie » ! Une liberté d’expression à géométrie variable ? Va-t-on bientôt devoir passer un examen pour avoir le droit de penser ? De s’exprimer ? De se réunir ? D’écrire en toute liberté ? Au nom de la Pensée Unique ?

    Nous sommes nombreux à avoir subi les foudres de la Justice et les ciseaux d’Anastasie, parce que nous savions pertinemment que l’Histoire est écrite par les vainqueurs et que les libertés sont jugulées par ceux qui gouvernent.

    Non seulement les hyènes de la secte politico-médiatique harcèlent leur proie, mais on entend aussi les petits roquets prétendus « patriotes » réclamer la tête du trublion. C’est mal connaître J-M Le Pen. Jamais il ne fera repentance ni un mea-culpa ou encore son autocritique. On ne le verra pas la corde au cou supplier le pardon des offenses devant les micros ou les caméras. La meute l’entoure, mais il fait face : debout !     Aujourd’hui : « JE SUIS JEAN-MARIE » !

    Pieter KERSTENS.

  • Rivarol cette semaine

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  • Police partout, sécurité nulle part

    Multiculturel.JPGC’est le constat amer que l’on peut dresser quand on se souvient du cruel bilan des attentats de la gare Atocha à Madrid en mars 2004 et ceux de Londres en juillet 2005. En Espagne effectivement, les forces de l’ordre connaissaient le terrorisme basque depuis plus de 30 ans, alors que dans la capitale anglaise, des dizaines de milliers de caméras observaient le moindre geste suspect.

    Il en va de même aujourd’hui avec les déploiements de l’armée aux abords des synagogues, des mosquées, des bâtiments publics ou de lieux à forte concentration populaire.

    Partout en Europe les gouvernements ont sorti leur panoplie hystérique et brandissent le bouclier « Padamalgam » afin d’empêcher le peuple de désigner l’ennemi, puisque selon eux, la guerre au terrorisme est déclarée. Car enfin, de Merah à Coulibaly en passant par Nemmouche et Kaouchi, ce ne sont pas des bouddhistes fanatiques, mais bien des musulmans (grands criminels multirécidivistes) qui sont les auteurs des récentes tueries au nom de « Allah Akbar ! » confirmant ainsi la relance d’une guerre de religion ancestrale. On remarque par ailleurs que le plan Vigipirate n’empêche en rien les bandes de racailles de dévaliser les passagers du RER et de poignarder les plus faibles pour quelques euros.

    « Je suis Charlie », « Je suis danois », « Je suis Bardo » : OUI. « Je suis Maaloula », « Je suis Maïduguri », « Je suis Sanaa » : combien de bougies, combien de manifs… ? ? ?

    A croire que les lunettes roses des laquais du Nouvel Ordre Mondial occultent les persécutions et les assassinats que subissent les chrétiens -et d’autres- dans l’arc musulman depuis 50 ans. Au nom du « vivre ensemble », les pantins européens nous imposent leur vision frelatée d’une société multiculturelle et pluriethnique qui se désagrège au fil du temps.

    Cà et là, quelques courageux polémistes, intellectuels et criminologues tentent d’établir une analyse accablante sur les conséquences néfastes de l’envahissement de l’Europe par des individus qui ne cherchent ni à s’intégrer ni à s’assimiler à nos sociétés fondées sur des traditions, des us, des coutumes et des règlements hérités d’une culture et d’une civilisation européenne multiséculaire. Il en va de même pour une grande partie d’immigrés nés sur notre sol, qui revendiquent des comportements et des usages incompatibles avec nos lois.

    Plus grave : les marionnettes pseudo-humanistes interdisent toute forme de contestations et refusent le débat des idées, au motif que seules leurs valeurs « citoyennes » seraient acceptables. Ils vivent dans une sphère aseptisée, hors des réalités du quotidien, entre initiés, seuls détenteurs de la vérité. Ils ignorent le mécontentement populaire, l’exaspération des citoyens et le désespoir de ceux « d’en-bas ».

    Et cela ne date pas d’hier. En désignant les volontaires partis faire le djihad en Irak, en Syrie (après avoir désigné Bachar Al-Assad comme « l’homme à abattre »), en Lybie, au Mali ou ailleurs, comme étant des terroristes, ils oublient que lors de précédents conflits en Afghanistan en 1980, en Irak en 1991, en Tchétchénie en 1991, en Bosnie en 1992, au Kosovo en 1998, à nouveau en Afghanistan en 2002 et encore en Irak en 2003, des milliers d’européens étaient partis combattre aux côtés des islamistes au nom « d’Allah le Tout Puissant ! ». Certains de ces djihadistes sont restés sur place, mais la grande majorité est rentrée en Europe. Combien de tueries ont-ils commis chez nous ces 30 dernières années ? Combien d’attentats à la bombe ou à la voiture piégée comme au Proche-Orient ?

    La 5ème colonne n’est pas à Damas, à Mossoul ou à Tunis, elle s’est déjà formée dans nos banlieues avec la complicité de nos politicards. Ces collabos de l’immigration/invasion, ceux-là mêmes qui depuis des décennies ont vidé les églises pour remplir les mosquées (qui forment et informent les futurs « terroristes ») et nous imposent la nourriture hallal dans les cantines, afin de complaire à de futurs électeurs ; ces clowns tristes responsables du déclin et de la décadence de nos pays ont imaginé maintenant des quartiers d’isolement pour islamistes dans nos prisons et une nouvelle restriction pour tous de la liberté d’expression.

    Mais à ceux qui pensent que le problème commence en prison, je dis NON, il commence, pour certains, en classe primaire. Touche pas à mon pote ?

    Pieter KERSTENS.

    NB : ce fut un véritable régal de voir les contorsions verbales de tous les ténors de la secte politico-médiatique le soir du 22 mars face aux nets progrès du F.N…quelle réjouissance !

  • La roche Tarpéienne est proche du Capitole

    Korbo.cocu colu.10.03.2015.jpgA la veille d’élections locales, régionales ou nationales en Europe, examinons avec le recul ce qui est advenu, l’an passé, lors des européennes.

    Alors que dans la plupart des pays d’Europe les partis nationalistes ont pu progresser le 25 mai dernier, l’exception notable du V.B en Belgique restera un « cas d’école » !

    Pour perdre, d’une élection à l’autre, la moitié de ses électeurs et 75% de ses parlementaires (européens, fédéraux et régionaux) il faut le faire ! Et ce ne sont pas les diverses mises en garde qui ont manqué depuis 2005…Quand on change de logiciel, que l’on adopte les « règles du jeu » du Pouvoir et que l’on cherche la « respectabilité » à tout prix, il ne faut pas alors s’étonner que les électeurs rejoignent les partis du système, à tort ou à raison, mieux placés pour répondre à leurs attentes.

    Cette débâcle ne surprend et n’étonne pas tous ceux qui ont suivi de près l’évolution du Vlaams Belang. Elle nous exaspère, elle nous met en rage, elle nous révolte ! Mais on ne peut pas forcer les responsables à admettre les bien-fondés qui vont les conduire à leur perte.  Cette décision leur appartient et ils en sont les seuls coupables.  La « normalisation » a un prix ….et pour être « aseptisé » par la classe politico-médiatique, il faut passer sous leurs fourches caudines !

    Où sont-ils donc passés, ces parlementaires et élus locaux qui ont hanté les rangs du V.B ces 20 dernières années ?

    Tous ne sont pas décédés.  Tous n’ont pas été exclus.  Certains ont accompli leurs tâches avec dévouement et rempli leur fonction avec compétence et efficacité.  Mais une grande partie d’entre eux a déserté notre famille politique jugée par eux trop « radicale », « raciste », ou « nationaliste », lorsque notre parti a subi le tir croisé des lobbies mondialistes et des laquais du « politiquement correct », aux ordres du Pouvoir.

    En réalité, ce qui les intéressait en premier lieu, c’était l’assiette au beurre et les privilèges attachés à leur mandat.  Dès qu’un vent contraire s’est mis à souffler, ils ont renié leurs engagements pour rejoindre les partis du système, ou bien terminer leur mandat comme « indépendant » à l’exemple du félon (ex-commissaire, ancienne figure de proue du V.B à Bruxelles) qui a trahi la confiance que les électeurs lui avaient accordée depuis 1999.  Répugnant.

    Où sont-ils donc passés, ces arrivistes BC-BG, ces prometteurs de beaux jours, ces tartuffes qui devaient « se sentir aimé » ?

    Où sont-ils donc passés, tous ces donneurs de leçons, ceux qui nous traitaient « d’extrémistes », de « sulfureux », de « xénophobes » ou de « fascistes » ?  Renvoyés dans les poubelles de l’Histoire, d’où ils n’auraient jamais dû émerger, sanctionnés par les électeurs qui, eux, sont au contact des réalités quotidiennes : chômage, drogues, immigration, insécurité, impôts, cinq maux qui empirent année après année depuis plus de 30 ans ! Et ce n’est pas avec un langage « soft », ni avec des ballons ou des crayons que l’on va résoudre ces problèmes.  Va falloir serrer la vis.

    Jean-Marie LE PEN avait déclaré le 1er mai 2008 à Paris :

    « L’Europe est l’unique grand dessein de la classe politique, l’alibi de son impuissance, le masque de sa lâcheté.  Nous vivons sous une insupportable chape de plomb, qui prétend consacrer comme vérités officielles, les points de vue de l’antiracisme militant.

    La religion antiraciste transforme certaines opinions en véritables blasphèmes et, ce qu’il faut bien appeler l’idéologie officielle, impitoyable et totalitaire, asservit le peuple français et consacre un véritable recul de civilisation.

    La France n’est plus un pays libre, ni d’ailleurs un pays d’hommes libres. Tout le monde se couche, tout le monde s’écrase, tout le monde se tait, pour ne pas offenser les puissants, pour ne pas encourir leurs foudres du Pouvoir aux ordres des lobbies cosmopolites destructeurs de l’identité Française et dénigreurs du glorieux passé de la France.

    Nous ne pouvons plus compter que sur le réveil de notre Peuple, pour sauver notre Patrie en danger mortel d’anéantissement. »

    Il eut été judicieux que le Bureau Politique du V.B adopte la même ligne de pensée et axe sa propagande sur la défense de notre civilisation européenne, pour combattre les charlatans de l’impérialisme américano-sioniste, responsables de l’immigration-colonisation et du melting-pot généralisé.  On a perdu du temps, mais il n’est pas trop tard !

    Quand on apprend qu’un député fédéral du V.B informait l’ambassade des Etats-Unis sur les décisions du B.P entre 2006 et 2009, il y a lieu quand même de se poser des questions !

    Ce n’est pas la « dédiabolisation » qui a permis le succès : c’est la radicalisation des électeurs !

    Que ce soit de Syracuse à Stockholm ou de Brest à Budapest, il faut noter une franche exaspération des peuples européens face à l’immigration/colonisation qui envahit tous les pays  et  l’insécurité permanente qui s’est installée dans les villes.  Si l’on ajoute, à ces deux aspects qui gangrènent notre société, les conséquences de la crise financière et économique, on comprend mieux les réactions des électeurs envers les partis « traditionnels ».

    Définis comme « extrême-droite » en France, « populiste » aux Pays-Bas, « eurosceptique » en Italie ou « europhobe » en Angleterre, beaucoup de partis seraient maintenant opposés aux délires mondialistes des gouvernements européens regroupés autour des eurocrates de Bruxelles.  Et restons lucides : tant que les programmes, les stratégies, les tactiques, les déclarations et l’opposition aux visées du pouvoir correspondent à 51% de nos propres convictions, nous soutiendrons les partis nationalistes, patriotes ou identitaires. Nous nous délecterons bien évidemment de la claque électorale qui sera infligée les 22 et 29 mars à la mafia UMPS, arrogante, corrompue et malfaisante.

    Mais franchement, si les cadres de ces partis, élus au Parlement Européen en mai 2014 (ou ceux qui le sont devenus en d’autres assemblées lors d’élections plus récentes ou le deviendront aussi en 2015), sont d’accord entre eux pour :

    -          Accepter la repentance permanente ;

    -          Conserver les lois liberticides ;

    -          Acquiescer pour l’avortement généralisé, le mariage des homosexuels et l’adoption d’enfants par des sodomites ;

    -          Garder en Europe des millions d’inassimilables qui occupent nos pays.

    -          Refuser de défendre les valeurs ancestrales de l’Europe blanche et chrétienne.

    Si c’est pour se soumettre aux ukases des officines Droits-de-l’hommiste ou du lobby pro-israélien, conduire une politique prétendue exclusivement laïque mais complaisante à l’égard de l’Islam,  tolérer un taux extravagant de pression fiscale et ne pas réduire drastiquement le chômage, l’insécurité, la vente de drogues et l’afflux permanent de clandestins ; alors, en toute conscience et avec détermination, nous, électeurs nationalistes, identitaires, patriotes et « populistes », nous réfléchirons deux fois avant  d’accorder nos votes en 2015, 2017 ou 2019 à ceux qui auront accepté la normalisation, la standardisation et leur intégration dans le « Régime », car contrairement à eux, nous avons Foi en la rectitude de nos choix !

    Un exemple, parmi tant d’autres : par une résolution du 11 décembre 2013, le Parlement Européen adopte la loi américaine FACTA, dont le rapporteur en était Georges Sabin Cutas.  Cette résolution fut votée par 33 oui, 0 non et 11 abstentions.  Où étaient les députés du FN, du VB, du FPO, de l’UKIP, de la Lega Norte ou du Jobbik, qui d’habitude vouent les banksters et le mondialisme aux gémonies ?

    Pieter KERSTENS.

    *Autrement dit : « Plus on s’élève, plus dure sera la chute. »

  • Rendus irresponsables, ils n'ont plus que des caprices d'enfants

     

    Korbo.Crane pensée unique.15.01.2015.20-1.jpgL’Etat-Providence fut initié en Suède par le socialiste Olof PALME qui dirigea le pays de 1969 à 1976 et de 1982 à 1986.  Durant ces périodes, les dépenses sociales avaient explosé et les impôts avaient atteint un sommet avec un taux prohibitif de 105% sur certaines tranches de revenus.  Cette « rage taxatrice » avait poussé de nombreux suédois à quitter le pays pour des cieux plus cléments, à l’exemple du metteur en scène Ingmar BERGMAN qui s’expatria aux USA. 

    Ce postulat d’Etat-Providence devait prendre à sa charge chaque individu, de la naissance à la mort, en lui garantissant un bien-être quotidien sans trop d’efforts ni de contreparties. « Dormez tranquille, braves gens, on s’occupe de tout » aurait pu être le leitmotiv de ce pays nordique.

    Malheureusement, les arbres ne grimpant pas jusqu’au ciel et le Père Noël n’étant qu’un conte pour enfants, la réalité des chiffres a mis les politiciens suédois face au constat de leurs utopies, des années plus tard.  Cet exemple suédois avait néanmoins incité d’autres gouvernements européens à accorder une multitude d’allocations, d’avantages, de facilités et de « droits z’acquis » à leur peuple respectif.

    La Fête est finie

    Dans un contexte d’économie favorable, avec des balances commerciales bénéficiaires, des PIB en croissance continue, des budgets équilibrés et une dette publique modérée, ce principe d’Etat-Providence pouvait se justifier.  Mais ce fut loin d’être le cas.  Depuis 1967, les différents chocs pétroliers ont bouleversé les économies européennes en propulsant le prix du baril de 4 à 120 dollars sur 40 ans et en déstabilisant les coûts industriels de nos entreprises.  En outre les eurocrates de Bruxelles, en imposant la mondialisation et l’ouverture de nos frontières à des produits de mauvaise qualité vendus à des prix bradés, ont construit des cimetières industriels ayant une vue imprenable sur un désert économique.

    De Walter HALLSTEIN à J-C JUNCKER, en passant par Sicco MANSHOLT, Jacques DELORS ou Romano PRODI, ces laquais du Nouvel Ordre Mondial ont muré nos mines, coulé les chantiers navals, condamné les industries sidérurgiques et textiles, réduit l’agriculture en jachères et nous ont imposé des normes de fabrication ou d’achat aussi stupides qu’inefficaces, au prétexte de « réguler les flux » et de créer une « société de services » qui nous apporterait un « mieux vivre » et garantirait des « emplois durables ». Aujourd’hui, on peut en tirer les conclusions.

    Comme à l’exemple de la « société pluriethnique et multiculturelle » qui, selon les déclarations de Mme MERKEL et de MM CAMERON et SARKOZY est un « véritable échec », la politique économique, sociale, industrielle et financière menée par les gouvernements européens depuis 50 ans nous a conduits au fond du gouffre, et nos enfants et petits-enfants vont devoir en payer l’addition.

    Le miracle de la carte plastique

    Depuis 6 ans, les politicards nous répètent que « la crise est derrière nous » et que « la croissance revient ». Même avec les lunettes roses des utopistes socialo-démocrato-écologistes il est difficile d’apercevoir un horizon dégagé de toute intempérie et bien au contraire il y a lieu de craindre un krach futur.

    En effet, les différents régimes au Pouvoir en Europe ont infligé le « principe de précaution » à leur citoyens, ajouté au « risque zéro », ont imposé un enseignement dévalué qui produit des analphabètes et des incultes par bataillons entiers, se sont servis des médias pour intoxiquer et anesthésier leur population et se comportent comme des inquisiteurs envers tous ceux qui ne respectent pas la Pensée Unique (ou ne se conforment pas au « prêt-à-penser ») en les traînant devant les tribunaux de la Police de la Pensée.  Quant à ceux qui ne se convertissent pas à la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste, ils peuvent s’exiler !

    En confinant les individus dans des limites préétablies et rigoureusement surveillées, le Régime a cadenassé l’espace des libertés (opinion, réunion, presse et expression) en instaurant des lois liberticides depuis 1974.  En contrepartie, ce Pouvoir, le Nouvel Ordre Mondial, sacralise l’homo-consuméris en vantant l’hédonisme et en permettant toutes les outrances de la consommation au détriment de toute exigence humaine d’un autre ordre.  Afin de pouvoir jouir sans entrave, l’individu se voit doté de cartes de crédit et d’argent virtuel qui lui ouvrent les portes d’un « mieux-vivre » ou d’un « bien-être » factice.

    Plus, encore plus et toujours plus ?

    Mais n’oublions  pas que ces « homo-consuméris » en grande majorité sont également des électeurs qui votent pour les députés qui rédigent de nouvelles lois.  Certains sont même affilié aux syndicats revendicatifs.  Tous ou presque soutiennent les partis omnipotents qui dirigent nos pays.

    Ces mêmes homo-consuméris sont donc incapables de discernement, abrutis par la publicité et confrontés aujourd’hui aux fins de mois difficiles.  Il est vrai que leurs parents, génération mai 68’, n’ont pas non plus fait preuve d’appréciation dans leur choix de vie et ont fait profiter leur progéniture d’une facilité d’existence héritée de leurs aïeux qui, eux, avaient connus les souffrances et certaines privations.  Pourquoi s’étonner dès lors du refus d’affronter les difficultés de l’existence, de la majorité des 18-35 ans ?  Beaucoup végètent chez leurs parents, bénéficiant d’allocations diverses et trainent les pieds pour chercher du boulot. Pire, une grande partie revendique tout et n’importe quoi, sans contribuer eux-mêmes à l’effort collectif. D’autres, innombrables parasites se gavant d’argent public et rétribués par les administrations ou les services publics, manifestent à tout bout de champ pour des motifs récurrents depuis 50 ans !

    Et comment peut-on soutenir les grèves et les revendications des cheminots, conducteurs de TGV, qui réclament la défense de leur « pouvoir d’achat », alors que leurs privilèges datent des locomotives à vapeur et des primes aux chauffeurs qui enfournaient le charbon dans les chaudières ?

    Comment se sentir solidaire des pilotes d’avions, au salaire confortable, quand ils refusent l’allongement de leur durée de travail ?

    Pourquoi accepter plus longtemps les privilèges des dockers et le monopole d’embauche octroyé à leur syndicat corporatiste ?

    Tenant compte de la situation économique et financière de beaucoup de pays européens, ces revendications déplacées font figures de caprices d’enfants gâtés, pour une grande majorité des manifestants et particulièrement des fonctionnaires.

    Les exemples sont multiples, mais la nature humaine est telle que l’égoïsme l’emporte souvent sur le réalisme et la raison.

    Abraham LINCOLN, président américain, avait déclaré au Congrès en 1860 :

    « Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur.

    Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.

    Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez.

    Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l’initiative et l’indépendance.

    Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu’ils pourraient faire eux-mêmes. »

    Les caisses sont vides et il est temps maintenant de distinguer l’essentiel du superflu, de retrousser ses manches, d’instaurer une réelle politique de redressement de nos économies en stoppant le déclin et la décadence de nos sociétés sclérosées par des décennies de laxisme et de turpitude, de gauche comme de droite.                                               

    OUI, le travail rend libre !

    Pieter KERSTENS