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Douce France - Page 2

  • Valls : cachez cet ennemi intérieur que je ne saurais voir...

     

    Article paru sur Riposte Laïque

    Le 6 octobre 2001, à l’occasion d’un match de football France-Algérie, disputé au Stade de France, à Saint-Denis, nous avons assisté à un spectacle ahurissant. Les deux commentateurs, Thierry Roland et Jean-Michel Larqué, ont réussi, durant 75 minutes, à cacher aux téléspectateurs que l’hymne national avait été sifflé par tout un stade, et qu’à chaque fois que l’équipe de France touchait la balle, une véritable bronca montait des tribunes. Les techniciens avaient donc réussi la prouesse de baisser au maximum les micros d’ambiance, les deux journalistes parlaient de tout, sauf de ce que tout le monde entendait. Il avait fallu attendre la 75e minute, et l’invasion du terrain par de jeunes Français nés en France, mais ne supportant pas que l’équipe de leur cœur, l’Algérie, puisse perdre quatre buts à un contre l’équipe de France, pour qu’enfin on explique aux téléspectateurs qu’il se passait quelque chose de pas très normal.

    La semaine dernière, la sénatrice socialiste Samia Ghali évoquait, devant la gravité de la situation marseillaise, la nécessité d’envoyer l’armée. Elle a réussi à mettre un coup de pied dans la fourmilière, et à faire sortir tout le monde du bois. Nous avons eu droit, du ministre de l’Intérieur Manuel Valls au maire de Marseille Jean-Claude Gaudin, sans oublier le préfet Alain Gardère, à un festival de déni de réalité digne de Thierry Roland et Jean-Michel Larqué commentant France-Algérie.

    Notre ministre de l’Intérieur, n’ayant plus à inaugurer des mosquées, ni à rompre le jeûne du ramadan, a trouvé le temps de dire, d’un air martial voulant moucher la sénatrice : « Il n’y a pas d’ennemi intérieur ».

    L’ineffable maire de Marseille, a poursuivi la charge : « Marseille a besoin de renforts de police, pas d’un appel à la guerre civile ».

    Quant au préfet, il a porté l’estocade : « Marseille n’est pas à feu et à sang, et est plutôt une ville paisible ».

    En se moquant aussi ouvertement du monde, ce gouvernement d’islamo-collabos s’étonne de battre des records d’impopularité, cent jours après la victoire de Normal 1er, et de sentir une sourde colère qui monte contre lui ? Comment pourrait-il en être autrement, avec des Hollande, Ayrault, Valls, Taubira et Fabius, qui, tous d’une façon ou d’une autre, ont multiplié les actes d’allégeance à l’islam, tout en méprisant ouvertement notre peuple ?

    Donc, si on écoute ces honorables représentants de l’Etat français et de la Ville, il n’y a rien à redire quand, à Marseille, depuis le début de l’année, autour du trafic de drogue, on en est à 19 morts par règlement de comptes, par balles (les victimes seront-elles appelées Vladimir par le journal Le Monde, de même d’ailleurs que leurs assassins ?). Il n’y a rien à redire quand, dans les quartiers nord, une véritable milice se permet de fouiller les camions apportant de l’aide alimentaire, avant de leur donner l’autorisation d’entrer. Il n’y a rien à redire quand des policiers qui contrôlent une personne qui viole la loi en portant le voile intégral, se font lyncher par un groupe de cinquante agresseurs, dont aucun ne sera inculpé, dans un but d’apaisement avec la communauté musulmane, en plein ramadan. Il n’y a rien à redire quand trente Marseillais par jour subissent une agression physique. Il n’y a rien à redire, comme le décrit Huineng, quand des personnes âgées, souvent des femmes, sont agressées en pleine rue, frappées et dévalisées, laissant des séquelles physiques souvent irrémédiables. Il n’y a rien à redire quand c’est à Marie-Arlette Carlotti, pas encore ministre, que cela arrive en plein centre-ville. Il n’y a rien à redire quand, en plein ramadan, un restaurateur non musulman se fait frapper pour oser ouvrir sa boutique. Il n’y a rien à redire sur les trafics de vols de cuivre, autour des quartiers nord de Marseille, ni les cambriolages multiples des quelques entreprises et chantiers qui essaient de s’y implanter. Il n’y a rien à redire sur la terreur quotidienne qu’exercent, dans les bus, des jeunes de douze ans, leur musique à tue tête, et leurs « Nique la France ».

    Il n’y a bien sûr rien à redire sur le « fini, parti » qui fait que Marseille, qui sera capitale de la culture européenne en 2013 (quelle honte pour la France) est la ville la plus sale de France, qui permet à certains de ses employés municipaux, couverts par le syndicat maison FO et Gaudin, de faire une demi-journée de travail au service de la collectivité, et de bosser au noir l’après-midi ? Il n’y a rien à redire quand une élue socialiste, Sylvie Andrieux, inculpée pour avoir financé, via la Région, des associations communautaristes fantômes, dans les quartiers nord, à hauteur de 700.000 euros, pour assurer le vote socialiste, se retrouve, malgré cela, élue députée il y a quelques semaines, grâce au vote musulman ? Il n’y a rien à redire quand des rues sont bloquées par des prières, tous les vendredis ? Il n’y a rien à redire quand la porte d’Aix ressemble davantage à un souk à ciel ouvert qu’à une place accueillante de la deuxième ville de France ? Il n’y a rien à redire quand un maire clientéliste arrose toutes les communautés ethniques et religieuses ? Il n’y a bien sûr rien à redire sur l’enfer quotidien que connaissent nos compatriotes qui n’ont pas les moyens de quitter les quartiers nord, et ont l’impression de vivre dans un pays qui n’est plus le leur, ni dans la langue, ni dans les pratiques quotidiennes de plus en plus barbares.

    Ce que découvrent les visiteurs, à l’entrée de Marseille, porte d’Aix…

     

    Bien évidemment, on pourrait remplir des pages de milliers de faits divers, qui, manifestement, ne posent aucun problème au ministre de l’Intérieur, au maire et au préfet. Certes, l’inimitable Mélenchon, lors de la dernière campagne présidentielle, a affirmé que Marseille était la ville la plus française. Remarquable aveu, par ailleurs, qui démontre la conception de la France du président de Parti de gauche, comme le montre le stand tenu à la grande braderie de Lille, chez la camarade future ex-secrétaire du PS Martine… Et bien sûr, à Marseille, des habitants, et surtout des habitantes, d’origine étrangère, nés musulmans, qui aimeraient s’intégrer, sont les premières victimes de la lâcheté des dirigeants communaux et nationaux.

    Le stand de Front de gauche à la grande braderie de Lille… Ennemi intérieur ?

    Mais le plus grave est que Marseille n’est pas une exception, même si  les spécificités locales sont plus accentuées qu’ailleurs. Cette ville incarne la progression, dans notre pays, de ce que Emmanuel Brenner appelait, dans un ouvrage sorti il y a dix ans « Les Territoires perdus de la République ».

    La réalité est pourtant fort simple. Dans certains quartiers de Marseille, mais aussi de Amiens, Mulhouse, Lyon, Lille, Strasbourg, Grenoble, Paris, la République, sa police, n’ont plus les moyens de faire respecter la loi, parce que nos différents ministres de l’Intérieur les en empêche. La nature ayant horreur du vide, c’est donc la loi du plus fort qui s’y applique, celle des caïds et trafiquants qui mettent sous coupe les habitants, et y imposent la loi du silence. Les trafics mafieux, essentiellement autour de la drogue, complètent remarquablement l’offensive des prêcheurs musulmans, ravis, eux aussi, de l’absence de l’Etat, pour imposer petit à petit la charia dans les quartiers.

    Le criminologue Xavier Raufer n’hésite pas à appeler les choses par leur nom, et parle de guerilla urbaine, et non pas d’émeutes. Il démontre la faillite des politiques menées depuis trente ans, et confirme que la France est le seul pays européen à ne pas avoir su résoudre cette question

    Il est évident que la politique de Normal 1er et des siens, qui consiste à continuer d’acheter la paix sociale, de mettre en avant la culture de l’excuse, et surtout d’augmenter l’immigration, ne peut qu’empirer les choses. Manuel Valls ne peut pas l’ignorer, il y a bien un ennemi intérieur en France, une véritable cinquième colonne, et c’est elle qui, majoritairement, a fait élire la gauche. Hier, les gouvernements de droite qualifiaient, parfois de manière excessive, d’ennemi intérieur tout ce qui ressemblait à un gauchiste ou à un communiste. Mais il est tout de même intéressant de constater que ceux qui, aujourd’hui, se réclament toujours du communisme ou de la gauche extrême, tel Mélenchon, marchent main dans la main avec le nouvel ennemi intérieur, que Valls et les siens ne veulent pas voir, ni nommer : les prêcheurs islamistes qui, s’appuyant sur la progression du fondamentalisme musulman dans le monde, suite aux fausses révolutions arabes, et sur la démographie, ne cachent plus leur objectif de transformer notre pays, par petits pas, en terre d’islam.

    http://www.youtube.com/watch?v=z0qJe-VWChw&feature=player_embedded

    Ils peuvent compter sur l’appui de nombre de citoyens français qui, possédant la double nationalité, refusent l’assimilation, sous la pression de l’islam, et sont éduqués, dès leur plus tendre enfance, dans la haine de la France, le discours de la revanche coloniale, et l’instrumentalisation du racisme pour culpabiliser nos compatriotes. Ils ont compris que leur discours victimaire, relayé par la gauche, leur vaudrait toutes les compensations, dont la discrimination positive, qui s’opérera au détriment des Français… et des autres étrangers. Ils sont endoctrinés dès leur plus jeune âge dans les écoles coraniques, ils sont donc dans un esprit de conquête, et rêvent de faire la loi en France, au plus vite, en commençant par instituer des zones de non-droit, à Marseille comme ailleurs.

    Pendant ce temps là, où l’unité de la Nation se délite dramatiquement, où un remplacement de population s’opère à vue d’œil, journalistes aux ordres (lire l’intéressante interview de Benjamin Dormann, auteur de « Ils ont acheté la presse« ) et politiciens vendus au mondialisme cherchent à enfumer les Français dans des discours creux, dans lesquels excelle celui que nous appelons Normal 1er.

    Pendant ce temps, on va augmenter l’immigration, majoritairement musulmane, en période de chômage de masse et de crise financière grave, tout en osant demander 33 milliards d’impôts supplémentaires aux Français pour 2013, après leur  avoir pris déjà 7 milliards, pour respecter le fameux Mécanisme Européen de Stabilité, si cher à Moscovici, qui va mettre la France sous la coupe des bureaucrates de Bruxelles, et lui ôter toute souveraineté budgétaire. A quoi servent encore nos députés et sénateurs ?

    Pendant ce temps, ils osent réfléchir à accorder le droit de vote aux étrangers, pour sauver leurs mairies en 2014. Pendant ce temps, on n’a toujours pas arrêté ceux qui ont tiré à la chevrotine sur les policiers d’Amiens, en blessant seize d’entre eux. Pendant ce temps, tous les jours, dans un grand silence médiatique, des policiers sont insultés et agressés, et nos compatriotes, par peur, baissent souvent les yeux, pour ne pas être molestés, ce qui ne les empêche pas, hélas, de subir trop souvent des violences gratuites, parfois mortelles.

    Pendant ce temps, Sos Racisme, silencieux sur la gravité de ces événements, se fait recevoir par le Préfet du Gard, pour protester contre les dangereux William et Monique, condamnés à 4 ans et 2 ans de prison, avec un casier judiciaire vierge, pour avoir, exaspérés, tirés avec un carabine à plomb, sans toucher personne, sur des jeunes qui, en rupture du jeûne du ramadan, les avaient provoqués et insultés. Certes, rien n’excuse leur réaction, qui mérite une sanction, mais on s’étonne que le discours de l’excuse, souvent attribué à d’autres, leur soit refusé. L’acharnement de Sos Racisme contre eux, et sa façon de passer sous silence tous les événements de l’été, est révélatrice. Difficile, comme le démontre Alon Gilad, de montrer davantage ce qui s’apparente à du racisme, mais aussi du mépris, contre la majorité des habitants de notre pays. Pendant ce temps, à Marseille, un jeune de 21 ans, Elyes, dont le casier judiciaire comporte déjà 37 citations (alors que celui de William et Monique est vierge), se promenant avec un Magnum 357 en plein jour, est arrêté, et, en comparution directe, condamné à 1 an de prison, quatre fois moins que William et sa carabine à plombs. Toujours à Marseille, Samir, agresseur multi-récidivistes de personnes âgées, se retrouve en liberté deux jours après son incarcération. Voilà la justice de Taubira à l’oeuvre !

    Comment ne pas penser aux propos du blogueur algérien Aldo Stérone, qui, de Londres, où il vit, a cette vision terriblement lucide de ce qu’est devenue la France :

    La France connait des émeutes raciales d’une ampleur qu’il devient difficile à dissimuler pour la presse prise entre ses dogmes et sa volonté de plaire au pouvoir local. (…) A chaque incident, les autorités françaises encaissent, minimisent, puis versent plus d’argent pour acheter la paix. En fait, ce n’est pas de la paix qu’elles achètent, mais du temps. (…)

    La France est l’un des rares pays dans le monde à cultiver cette étrange singularité qui consiste à importer des gens pauvres sur le plan économique et moral puis à les payer pour faire des enfants. (…) Et une grande portion des immigrants qui viennent en France, n’y viennent ni pour découvrir le terroir, ni les us et coutumes locales. Ils viennent pour bénéficier des aides sociales. (…)

    Aujourd’hui, la vie dans les cités en France est une projection déformée de la société du Maghreb. Elle porte en elle-même les graines de son échec. Elle est aujourd’hui manipulée par les mêmes esprits pervers et tordus qui poussent les sociétés arabes vers leur perte. (…)

    La France est en train de devenir un pays en ruine sur le plan spirituel, ouvert à tous les relativismes et prêt à se coucher devant le premier venu. Pour éviter la violence, tout le pays s’agenouille sans violence.

    Robert Albarèdes, dans ce numéro, pose la bonne question : Hollande l’imposteur est démasqué, quelle alternative pour s’en débarrasser ?

    Aux patriotes de trouver la bonne réponse, pour que cela soit le plus rapidement possible !

    AGENDA RL

    Dimanche 16 septembre, à 14 heures. A Florence, Hommage à Oriana Fallaci, intervention de Pierre Cassen, à l’invitation de l’association « Una via per Oriana Fallaci ».

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    D’abord, bien les connaître, ce que permet cette présentation.

    Commande d’un exemplaire de La faute du bobo Jocelyn, 19 euros pour un exemplaire, 30 euros pour deux exemplaires, 50 euros pour 4 exemplaires, frais de port compris (pensez à vos cadeaux de Noël mais pensez aussi que c’est peut-être l’occasion ou jamais d’offrir autour de vous, à tous ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se passait, un roman qui peut les éclairer en douceur, par le biais de la fiction).

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    Sinon, merci d’envoyer les commandes accompagnées des chèques correspondants libellés à l’ordre de Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.

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    Source : Riposte laïque

  • Une chance pour la France provoque un carnage dans une discothèque de Lille

     

    Cette nuit, selon La Voix du Nord, vers 3 h, un individu a ouvert le feu avec une arme de guerre à l’entrée de la discothèque le Theatro, rue Gambetta, située à proximité de la préfecture. Le bilan est lourd : deux morts et cinq blessés.

    L’une des personnes décédées est une femme qui travaillait dans l’établissement, la deuxième serait un client. Sur place, la confusion régnait à propos des circonstances précises des faits. Selon les premiers éléments, il semble que le tireur venait d’être refoulé par les videurs de la boite de nuit. Il est revenu dans la foulée avec une arme de type Kalachnikov et a tiré plusieurs rafales, comme en témoignent les impacts sur la façade et les douilles au sol. Puis, il a pris la fuite à bord d’une voiture dans laquelle se trouvait une autre personne. Des videurs figurent parmi les blessés. Dans la discothèque, des scènes de panique ont aussitôt éclaté. Sous le choc face à ce bain de sang, les clients sont ensuite sortis, plusieurs fondant en larmes. La rue a été bouclée par d’importantes forces de police.

    Un substitut du procureur s’est rendu sur les lieux, la police judiciaire de Lille est saisie.

    L’homme qui a tiré sur une discothèque de Lille tuant deux personnes et faisant six blessés (nouveau bilan) dans la nuit de samedi à dimanche, s’est bien enfui du lieu du crime avec l’aide d’un « complice qui lui a servi de chauffeur », a indiqué une source proche de l’enquête.

    Le CHRU de Lille a également indiqué que six autres personnes avaient été admises pour « traumatisme psychologique ».

    Le suspect et son complice, toujours en fuite dimanche midi, étaient activement recherchés par une trentaine d’enquêteurs de la PJ de Lille. Les constatations de la police technique et scientifique se sont terminées dimanche en milieu de journée, alors que plusieurs témoins des faits continuaient d’être entendus.

    Le tireur, un homme d’une trentaine d’années d’origine maghrébine est originaire de la métropole lilloise. Connu des services de police pour des vols avec violences, il n’a pas été appréhendé et est activement recherché par les services de police. Un important dispositif a été mis en place par les policiers pour le localiser : une trentaine d’enquêteurs est mobilisée sur cette affaire.

    Source : 20 minutes.fr

  • En mémoire à tous les Brahim Bouarram français, victimes du racisme antiblanc

    Un communiqué d'Hervé Ryssen :

    Les agressions commises par des immigrés du tiers-monde contre des Blancs sont innombrables. Chaque semaine, des milliers de Blancs sont agressés d’une manière ou d’une autre par des allogènes, et il serait fastidieux de citer tous les articles de presse à ce sujet. Nous n’avons donc retenu que les affaires les plus graves – les homicides involontaires, les meurtres (homicides volontaires), les assassinats (meurtres prémédités).

    Les informations qui suivent sont tirées d’un chapitre de notre livre intitulé le Racisme antiblanc, paru en novembre 2011. Le livre présente en détails chacune de ces affaires, en insistant sur la personnalité du tueur, qui apparaît lors des procès en cours d’assises. On note alors quelques étranges similitudes dans les profils psychologiques de toutes ces “Chances pour la France”.

    Le recensement ci-dessous n’est évidemment pas exhaustif, puisque toutes les affaires relevant des cours d’assises ne sont pas traitées dans les journaux. Mais nous avons déjà là un petit aperçu de cette merveilleuse société multiculturelle en gestation concoctée par les esprits cosmopolites.

    Je dédie cette recension à deux personnes : en premier lieu, à Bertrand Delanoë, maire de Paris juif et homosexuel, qui met un point d’honneur, tous les premier mai, à aller déposer une gerbe de fleurs sur le pont du Carrousel, où, en 1995, un jeune Marocain nommé Brahim Bouarram avait été jeté à la Seine par des skinheads en marge du défilé du Front national.

    Je dédie aussi cet article au militant de l’association “Égalité et Réconciliation” qui anime le blog “oligarchique­blogspot.com”, et qui nous insulte en raillant notre « rêve de France blanche ».

    Voici donc tous les Brahim Bouarram européens, tués par des Noirs et des Arabes. Il n’y a ici ni égalité, ni réconciliation qui tiennent.

    Hervé Ryssen

    Juillet 2011, à Bar-sur Aube : Roger Correia, 57 ans, est mort, roué de coups, par trois Arabes qui passent en voiture devant chez lui. L’instruction est en cours.

    Juin 2011, à Frouzins, près de Toulouse : Élodie Despons, 23 ans, est frappée étranglée par son amant, Tarik Barrahoui, qu’elle voulait quitter. Il lui tranchera ensuite les poignets pour tenter de maquiller son crime.

    Mai 2011, à Bollène, dans le Vaucluse : Thierry Simon, 39 ans, a eu le malheur de sortir de sa voiture pour répondre à des insultes. Il est mort sous les coups que lui ont portés trois Chances pour la France (CPF) : Kader Chadli, 24 ans, Selim Benkhedidja, 23 ans, et Mohamed Amallou, 19 ans, tous trois déjà mis en cause pour de multiples cambriolages.

    Avril 2011, à Champagne-sur-Seine, en Seine-et-Marne : Maurice Tomasoni, 66 ans, est tabassé et torturé par Habib, qui lui assène de nombreux coups de couteau au thorax. Une large entaille au nez et à une oreille ont défiguré le retraité français. La victime a eu également les joues transpercées et la peau entre les doigts d’une main découpée.

    Avril 2011, à Mulhouse : Jean Meyer, un contrôleur aérien de 35 ans, est tué d’une dizaine de coups de couteau, dont trois mortels, puisqu’il a eu les deux poumons perforés et la carotide ouverte. Le meurtrier se nomme Karim Ouali.

    Février 2011, à Toulouse : Jérémy Roze, 27 ans, est agressé par deux CPF alors qu’il rentre chez lui, vers trois heures du matin. Le jeune homme a succombé à un coup de couteau porté au thorax.

    Février 2011, à Lyon : Christofer, 27 ans, est tué d’un coup de couteau, dans le métro, par Karim Bounab, un toxicomane.

    Février 2011, à Nanterre : Christian, 17 ans et son beau-père, Michel, sont agressés à leur domicile et tués à coups de couteau par Abdoulaye D. Le procès n’a pas encore eu lieu.

    Janvier 2011, à Monéteau, dans l’Yonne : Angélique Grossier, 28 ans, est tuée à coups de couteau par son ami Mohamed Es Salmy, qui ne pouvait supporter la séparation.

    Janvier 2011, à Montpellier : un étudiant en histoire de 24 ans, descendu sur le parking après y avoir repéré un homme en train de voler dans des voitures, est tué de onze coups de couteau. L’agresseur s’est réfugié en Algérie, qui n’extrade pas ses nationaux. Affaire en cours.

    Août 2010, à Gap : René Gumiel, qui s’était plaint du bruit, est poignardé de plusieurs coups de couteau, en pleine nuit, par sa voisine nommée Priscillia Moufouma, une Africaine de 27 ans.

    Août 2010, à Versailles : Olivier Bossuat, un militaire de 51 ans, est poignardé à mort par “Christian M.”, un jeune Africain sans domicile de 21 ans.

    Avril 2010, à Narbonne : Guy Trilles, un paisible retraité de 67ans, est roué de coups par des CPF alors qu’il promène son chien. Il décède quelques jours plus tard à l’hôpital, d’un arrêt cardiaque.

    Février 2010, à Saint-Brieuc : Carlos de Araujo, un père de famille portugais qui a refusé une cigarette à “Karim”, 22 ans, reçoit un coup de couteau et décède quelques minutes plus tard.

    Janvier 2010, Pont-Sainte-Maxence, dans le sud de l’Oise : les corps de Jacques et Thérèse Prévost, un couple de retraités âgés de 76 ans, sont retrouvés dans leur pavillon, gisant dans une mare de sang. Jacques a été frappé de 27 coups de couteau ; Thérèse a été frappée à soixante reprises. Le meurtrier est un métis déséquilibré nommé Halan Florisse, « un mec sympa ».

    Décembre 2009, à Bordeaux : Nadya, une prostituée bulgare, est retrouvée au petit matin gisant dans un recoin d’un parking du quartier de la gare Saint-Jean. Son crâne a été fracassé par une grosse pierre. Le coupable est un Angolais de 22 ans.

    Novembre 2009, à Pau : Jonathan Laurent, 25 ans, est tué de trois coups de couteau par Fatih Acar, 31 ans.

    Juillet 2009, à Colomiers, près de Toulouse : Pascal Orvain, 50 ans, originaire de Normandie, est tué de six coups de couteau par des cambrioleurs. Le meurtrier est un métis nommé Jérémy Bagassien, originaire de Seine-Saint-Denis.

    Juillet 2009, à Vénissieux : Yves Lerebourg, 32 ans, est tué d’une trentaine de coups de couteau.

    Juin 2009, à Antigone, près de Montpellier : Hamid El-Fenniri, qui roule à plus de 100 à l’heure en pleine ville, percute un scooter et ne s’arrête pas. Un jeune Français y laisse la vie. « Je sortais de prison depuis deux mois… Je ne voulais pas “re-rentrer” en prison et ma voiture n’était pas assurée, c’est pour ça que j’ai échappé à la justice. »

    Juin 2009, à Montataire, dans l’Oise : Laetitia, 24 ans, est tuée de deux coups de couteau par son compagnon, El Miloud Latrach, avec qui elle se disputait.

    Mai 2009, à Annezin, dans le Nord : Johnny Salmont est tué d’un coup de couteau par un inconnu.

    Avril 2009, à Douchy-les-Mines, dans le Nord : un couple de jeune Français, Xavier Dubray, 24 ans, et Audrey Verpoorte, 18 ans, qui étaient venus rendre visite à leur famille, sont abattus par un voisin nommé Ahmed Assous, qui ne voulait pas qu’on se gare devant chez lui.

    Février 2009, à Dammarie-les-Lys, un petit coin bien pourri de Seine-et-Marne : Mohamed Jelassi, 37 ans, frappe et étrangle sa compagne Priscilla, 23 ans, qui voulait le quitter, et tue leurs deux fillettes. « C’est vrai, reconnut le Maghrébin, j’ai tué ma femme et j’ai tué mes enfants parce que je ne voulais pas qu’ils soient élevés par la belle-famille à la française. » « Priscilla, c’était ma petite princesse », déclara-t-il finalement. Mais avec l’accent, c’est encore mieux.

    Janvier 2009, à Cergy-Saint-Christophe, dans le Val-d’Oise : Caroline F., 50 ans, succombe aux 25 coups de couteau que lui a portés son compagnon Rashid M., un Pakistanais. « Je ne comprends pas ce qui s’est passé. »

    Janvier 2009, à Mérignac : Jean-Claude Eymery, un peintre en bâtiment de 56 ans, est tué par un jeune Angolais de 21 ans nommé Adilson Manuel, qu’il avait pris sous son aile, comme apprenti.

    Décembre 2008, à Chelles, en Seine-et-Marne : Mickaël Isker, 22 ans, est tué de deux balles dans la tête par un dealer nommé Ibrahim, 25 ans.

    Décembre 2008, à Marseille : Cécilia, une métisse de 21 ans, est violée et soûlée à mort par quatre “Chances” : Mounir Tinouiline, Fahem Djermoune, Emmanuel Denis et Anis Nafti.

    Septembre 2008, à Toulouse : Frédéric Daigneau, qui roule en moto, est frappé de deux coups de couteau par deux individus en scooter, toujours en fuite. Il décèdera neuf jours plus tard.

    Août 2008, à Maisons-Alfort, dans le Val-de-Marne : Marine Truden, une étudiante de 22 ans, est poignardée et égorgée dans son appartement par son copain Kamel Mouzaoui, qui n’accepte pas la rupture. 22 coups de couteau.

    Juin 2008, à Lyon : Les policiers découvrent le corps démembré d’une femme dans un appartement. Le tronc est dans la baignoire, les bras et les jambes sont dans le réfrigérateur. La tête de Martine Bord, 55 ans, est dans le couloir, dans un sac plastique. L’assassin est un Marocain de 40 ans nommé Halim Larbès.

    Mai 2008, à Arras : Maxime Bouvet est tué d’un coup de couteau à l’abdomen par Soufyane Mammou.

    Mai 2008, à Chambéry : Jonathan Vioud, un jeune charpentier de 22 ans, est tué dans une bagarre à la sortie d’une discothèque. Un certain Cem Ceylak est entendu pour s’expliquer sur des pressions sur le principal témoin.

    Avril 2008, à Saint-Denis : Pascal Ceccaldi, 87 ans, est mort, projeté à terre par Mamadou Camara et Cédric Mayamona, 22 et 24 ans.

    Mars 2008, à Conques : Antony Bustos, 23 ans, est tué d’un coup de carabine par Ali Bellabiod pour une histoire de cannabis. Son corps est brûlé dans un fossé.

    Février 2008, à Toulouse : Sylvie Garrigues, 32 ans, est violemment percutée par un véhicule, alors qu’elle marche normalement sur le trottoir. Le conducteur est un Maghrébin au chômage de 24 ans, nommé Hadj Saïdi, qui s’est révélé positif aux stupéfiants.

    Janvier 2008, à Pamiers, près de Toulouse : Julien Fernandez, le fils du gérant d’une discothèque, qui transporte la recette de la nuit, est tué d’une quarantaine de coups de couteau par Mekki Boughouas.

    Janvier 2008, à Vitry, dans le Val-de-Marne : Jean-Pierre Sauvonnet, 48 ans, est tué de onze coups de couteau par un Maghrébin fortement alcoolisé nommé Hassan el-Aouni.

    Novembre 2007, dans le RER D, en direction de Creil : Anne-Lorraine Schmitt, une jeune Française de 23 ans, est tuée de 34 coups de couteau, dont 16 dans la poitrine, par un Turc nommé Thierry Devé-Oglou.

    Septembre 2007, à Annemasse, en Savoie : Freddy Liot, un jeune Normand de 25 ans, est tué chez lui à coups de marteau par Kamel Benderradji, un de ses collègues de travail.

    Août 2007, à Beauvais : Gérard Varlet, 56 ans, un sans-abri, divorcé et père de trois enfants, est mort brûlé vif, aspergé d’essence par Riade Djedai.

    Août 2007, à Stuttgart, en Allemagne : Yvan Schneider, un Alsacien de 19 ans, est frappé à coups de pied et de batte de base-ball. Son corps a ensuite été découpé en quatorze morceaux. Puis, ses bras, ses jambes et sa tête sont coulés dans du ciment et jetés dans la rivière Neckar. Le torse est abandonné dans une forêt. Deniz Eroglu, un Turc, âgé de 18 ans, avait agi par jalousie.

    Août 2007, à Saint-Ouen, dans le 93 : le corps de Jeanne Rolland, 96 ans, est découvert lardés de 62 coups de couteau. « Elle a probablement été torturée avant d’être tuée ». Le meurtre était crapuleux, commis pour de l’argent et quelques bijoux. Le meurtrier se nomme Aziz Fathi.

    Juillet 2007, à Lecci-de-Porto-Vecchio, en Corse : Yohan Kriegel, 29 ans, l’épicier du village, est tué par Mohamed Douzi, qui lui tire une balle de 7.65 en pleine poitrine.

    Juillet 2007, à Rombas, en Moselle : un hôtelier de 71 ans, Vincenzo Serravalle, meurt poignardé par Yousif Boussak.

    Juin 2007, à Marcoussis, dans l’Essonne : Bernard Olmedo, un conducteur de rame de métro âgé de 45 ans, est tué à coups de couteau par Ali Ben Omrane, qui découpe le corps et le brûle dans son jardin.

    Juin 2007, à Berrwiller, à côté de Colmar : pendant la fête de village, un homme fonce dans la foule au volant de son véhicule, arrive à 50-60 km/h, tue Benoît Prost, 22 ans, et blesse quinze autres personnes. Abdelkader Gridda, saoul et drogué au cannabis, était furieux d’avoir été expulsé de la fête à plusieurs reprises. Rien de raciste là-dedans, selon les médiats cosmopolites.

    Mai 2007, à Montreuil, en Seine-Saint-Denis : Marc Simoes, artisan menuisier, est tué de deux coups de couteau par son employé algérien, Rachid Amrouch.

    Avril 2007, dans la région de Saintes, en Charente-Maritime : le corps de Jennifer Charron, une jolie serveuse de 21 ans, est retrouvé dans les bois, partiellement calciné. Ses mains étaient attachées dans le dos. Son ex-petit ami se nomme Abdelaziz Seridi.

    Avril 2007, à Toulouse : Mélanie Rodrigue, 26 ans, est tuée de 51 coups de couteau par son compagnon, Mehdi Fekir, qui ne supportait pas la rupture.

    Avril 2007, à Saint-Herblain, près de Nantes : le corps de Sophie Gravaud, une jeune vendeuse de 23 ans, est retrouvé sur le bord d’une route. Le meurtrier violeur se nomme Ramiz Iseni.

    Février 2007, à Salses, près de Perpignan : Fabien Formiès, 19 ans, a la gorge tranchée sur la place du village par un jeune de 17 ans, qui sera jugé à huis clos, et dont les journaux n’ont jamais divulgué le nom.

    Janvier 2007 à Verneuil-en-Halatte, dans l’Oise : Marcel et Colette Flinoy, 77 ans et 74 ans, propriétaires d’une Audi V6 toute neuve, sont assaillis à leur domicile par trois CPF (Harouna Sarr, 25 ans, Amadou Sow, 24 ans, et Ercan Uyanic, 28 ans). Colette Flinoy est morte, écrasée par la voiture.

    Janvier 2007, à Dammarie-les-Lys, en Seine-et-Marne : dans une boîte de nuit, Anthony est tué à coups de pieds par Mustapha.

    Janvier 2007, à Condé-Sainte-Libiaire, en Seine-et-Marne : Albert Kohn Bisseck, un Camerounais de 43 ans, tue à coups de marteau Alain Savouret, 60 ans, son ex-beau-père.

    Janvier 2007, dans l’Oise : Mireille Calais, 65 ans, est tuée à coups de marteau sur le crâne par son compagnon nommé Naushad Maqbool, 59 ans.

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    Racisme antiblanc

    Décembre 2006, à Toulouse : Laurent Francazal, 34 ans, employé municipal est retrouvé égorgé dans son appartement du centre-ville. Le meurtrier se nomme Hakim Edir, 21 ans.

    Novembre 2006, à Paris : Julien Quemener, un jeune supporteur du PSG de 25 ans, est tué d’une balle en plein cœur par un policier martiniquais nommé Antoine Granomort. En mars 2010, un autre supporteur du PSG, Yann Lorence, 37 ans, avait été tué. Habitué du kop Boulogne, “Nou­nours”, qui n’était pas une brute, était lynché par les racailles de la tribune Auteuil, devant le Parc des Princes.

    Septembre 2006, en Seine Saint-Denis : Muriel Gosse est tué d’une balle dans la tête, au volant de sa voiture, par son ex-compagnon, Djamal Boukhetala, 38 ans, qui ne supportait pas la rupture.

    Août 2006, à Montpellier : le corps de Guy Labarrière, 47 ans, est retrouvé à son domicile, lardé d’une centaine de coups de couteau, pratiquement décapité. Cinq ans plus tard, au mois de mai 2011, Hasan D., 32 ans, était arrêté à Anvers, en Belgique, où il avait pris la fuite.

    Juin 2006, en Dordogne : un tronc humain lardé d’une trentaine de coups de couteau est retrouvé dans l’estuaire de la Gironde. Il s’agit de Raoul Jean, le cantonnier de Minzac, avec qui Aziz Hamri avait effectué plusieurs voyages au Maroc.

    Mai 2006, à Saint-Quentin-en-Yvelines : Katja Slokan, une étudiante slovène de 25 ans, est poignardée à seize reprises par son ex-petit ami, Majid al Majid, qui ne supportait pas la rupture.

    Mai 2006, à Rupt-sur-Moselle : une vieille dame âgée de 82 ans, est tuée à son domicile par Mohamed Khoubza, 27 ans. Le Maghrébin l’avait bâillonnée, dénudée et l’avait attachée sur son lit. Il avait alors fouillé la maison, à la recherche d’argent. L’autopsie, toutefois, conclut que Mohamed Khoubza avait « étranglé manuellement » la mamie.

    Avril 2006, à Torcy, en Seine-et-Marne : Benjamin Pirottin, 18 ans, est tué d’un coup de couteau dans le dos dans la salle des fêtes, assaillie par des CPF. Le coupable se nomme Nouha Bathily.

    Février 2006, dans les Yvelines : Hubert Garcia-Bardidia, un buraliste de 30 ans installé à Magny-les-Hameaux, est retrouvé en forêt, attaché à un arbre et égorgé. Le coupable est un Marocain nommé Saïd Msyehi.

    Janvier 2006, au Mans : Élisabeth Debeury, 31ans, est tuée chez elle, frappée à neuf reprises avec un couteau à viande. Djamel Haddou ne supportait pas la rupture.

    Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois, deux adolescents africains mouraient électrocutés dans un transformateur EDF en fuyant un contrôle de police. Ce fait divers mit le feu aux poudres, et bientôt, toutes les racailles afro-maghrébines des banlieues françaises pillèrent les magasins, brûlèrent les voitures, les entrepôts et les bâtiments publics, sous les yeux d’une police impuissante. Pendant trois semaines, les images de ce soulèvement généralisé firent le tour du monde. Le premier jour de ces événements, Jean-Claude Irvoas, qui prenait des photos de lampadaires à Épinay-sur-Seine (en Seine-Saint-Denis) pour un catalogue de mobilier urbain, fut pris à partie par quatre individus qui craignaient d’avoir été pris en photo. Ce Français de 56 ans fut battu à mort sous les yeux de sa femme et de sa fille de 17 ans, qui l’attendaient dans sa voiture. Il s’agissait de Icheme Brighet, un Algérien ; Sébastien Béliny, qui était originaire des Antilles ; Samba Diallo, un Sénégalais, et Benoît Kusonika, un métis de père congolais, qui fut aussi le seul à reconnaître les faits, s’accusant d’un coup de poing violent.

    Ce 5 novembre 2005, les émeutes dans les banlieues duraient depuis huit jours. Le soir, Jean-Jacques Le Chenadec descendit en bas de chez lui, boulevard Maxime-Gorki, à Stains (93), pour éteindre un feu de conteneur à poubelles allumé par un petit groupe de jeunes immigrés. Resté dehors pour discuter avec son voisin Jean-Pierre Moreau, le sexagénaire reçut plusieurs coups de poing, dont l’un, assez violent, qui provoqua sa chute. Sa tête heurta le bitume. Plongé dans le coma, Jean-Jacques Le Chenadec décéda deux jours plus tard sans reprendre connaissance. Le meurtrier se nommait Salaheddine Alloul.

    Septembre 2005, à l’intérieur de la prison de Liancourt, dans l’Oise : dans la cellule C005, Kamal Bentayebi, 21 ans, tabasse à mort son codétenu, Thomas Duval.

    Juin 2005, à Montrouge (92) : un vieux Français de 83 ans, Marc, est tué chez lui par deux ressor­tissants kazakhs.

    Juin 2005, à Champigny, dans le Val-de-Marne : le corps de Mélodie Chouquet, une étudiante de 20 ans, est découvert sur les bords de la Marne. Le meurtrier est un fumeur de joint nommé Mangesh Raggoo, originaire de l’île Maurice, et qui ne supportait pas la rupture.

    Mai 2005, à Paris : David Almeida est tué d’un coup de couteau sur le trottoir de la rue Chaptal, sous les fenêtres de l’immeuble où sa mère est la gardienne. Les meurtriers se nomment Ouahid Ben Salah, 22 ans, et Anouar Boukria, 25 ans, déjà condamnés à plusieurs reprises pour vol avec violence.

    Avril 2005, à Marines, dans le Val-d’Oise : un Français de 22 ans,Benjamin Combelles, est tué avec un couteau de chasse. Son meurtrier est un Africain de 24 ans nommé Steve Diome, venant de la cité de Cormeilles-en-Vexin.

    Avril 2005, à Évry : Éric Wesse, 27 ans, est aspergé d’essence et brûlé vif par Jean Tukumbane.

    Janvier 2005, à Mareuil-lès-Meaux en Seine-et-Marne : Driss Sajdi assassine et découpe en morceaux Maryse Louvet, 51 ans, la mère de sa compagne.

    Janvier 2005, dans le train Pontoise-Paris-Saint-Lazare : Jean-Marie, un SDF de 51 ans, est tabassé à mort par un CPF de 20 ans nommé Saïd.

    Décembre 2004, à Aubignan, dans le Vaucluse : René Girard, 80 ans, qui dort paisiblement, est réveillé par du bruit. Il est tué par Mohamed  El Aissoui, 22 ans, et Sofiane Saïdi, 18 ans.

    Octobre 2004, dans le Gard : David Estournel, originaire d’Avignon, est tué de 56 coups de couteau par Djelloul Maroc.

    Septembre 2004 à Montereau, en Seine-et-Marne : Virginie, 32 ans, tombe du quatrième étage de son immeuble. Elle a été poussée par son compagnon, Abdelkrim, 45 ans, qui était fortement alcoolisé.

    Mai 2004, à Saint-Cloud : Patrick Barbosa, 24 ans, est tabassé à mort par son dealer de cannabis, un Algérien de 21 ans nommé Gaya Messad.

    Mai 2004, à Évry : Lors d’un violent contentieux opposant Mahfoued Boujardine et Abdelmoumen au sujet d’un scooter volé, Laura, une passante, est atteinte d’une balle perdue. En février 2006, le Maghrébin est condamné à seulement cinq ans de prison dont deux avec sursis. (La lecture du livre sur le Racisme antiblanc est assez éclairante sur la légèreté des peines infligées).

    Avril 2004, à Saint-Étienne : un supporteur de football, Olivier Baraldini, âgé de 20 ans, est abattu d’une balle de fusil dans la tête par Karim Aouragh.

    Avril 2004, à Savigny-le-Temple, en Seine-et-Marne : Patrice Cambron, 38 ans et père de deux enfants, qui constate le vol de deux vélos dans son garage et qui tente de les récupérer, est tabassé à mort par des CPF : « traumatisme cérébral crânien avec fracture temporale gauche ». Le procès eut lieu à huis clos, étant donné que les coupables étaient mineurs.

    Avril 2004, à Pontoise : Martine, 42 ans, est tué par son compagnon Samir M., avec un couteau à steak. Elles est poignardée au cou, à la poitrine et au sternum.

    Avril 2004, à Sartrouville : Nadine Cuissard, 41 ans, est tuée par l’ami d’une de ses copines, Abdelkrim Bachiri, 46 ans. « Le lendemain, j’ai mis le corps de Nadine dans le coffre de sa voiture avant d’aller le brûler en forêt de Saint-Germain-en-Laye. » C’est là qu’il fut retrouvé et identifié deux mois plus tard.

    Mars 2004 à Versailles : Dominique Rissel, un gérant de supérette, est abattu en pleine rue par Éric Youssef et ses complices : Younès Outsellamt et Amine Benaaza.

    Mars 2004, au Teil, dans l’Ardèche : Cédric Juge, 15 ans, est tué de 14 coups de couteau par “Christophe et Jean” (ce sont des “noms d’emprunt”, souligne le journaliste). Appelons-les plutôt Kamel et Jamal. Comme ils sont mineurs, le procès a eu  lieu à huis clos et leurs patronymes n’ont pas été dévoilés.

    Janvier 2004, à Aubervilliers : Maria de Jesus Lopes une septuagénaire, est retrouvée morte dans son appartement. Elle a été tuée par Mounir Aït-Menguellet, 32 ans, qu’elle aimait beaucoup.

    Novembre 2003, à Lorient : le corps de Lydie Lefèvre est découvert dans un parc, enroulé dans une couverture. Le meurtrier est son voisin, Ali Oulahcene, 68 ans, qui avait déjà été condamné par deux fois par les assises des Pyrénées-Orientales. D’abord pour viol, en 1974, puis pour meurtre, en 1982.

    Mai 2003, à Champs-sur-Marne : Jérémy Fornarelli, 22 ans, est abattu d’une balle dans le cœur par Abdelkrim Ziani, 20 ans, pour une histoire de stupéfiants.

    Avril 2003, à Stains, en Seine-Saint-Denis : Anne Jugon, une octogénaire de 83 ans est étranglée dans son appartement par Hamid Hadjar, un toxicomane, spécialiste des agressions violentes.

    24 décembre 2002, à Asnières-sur-Seine : Pascale Rolet, une infirmière de 37 ans, est aspergée d’essence et enflammée dans le hall de son immeuble par un déséquilibré maghrébin de 39 ans nommé Samir Zaoui, qui fêtait Noël à sa manière. Rien dans les journaux, ou presque, pour ne pas troubler “l’égalité et la réconciliation”.

    Octobre 2002, à Valenciennes : Sophie Berkmans, une rhumatologue de 41 ans, est découverte morte dans son cabinet. Sa gorge est tranchée de part en part, son visage tuméfié et sa jupe relevée. Il fallut attendre cinq ans, soit novembre 2007, pour mettre enfin la main sur l’assassin : Mohamed Medjahed. Cette “chance pour la France” avait déjà été condamnée en 1981 par la cour d’assises du Nord à huit années de réclusion pour agression sexuelle et tentative de meurtre sur une jeune femme.

    Octobre 2002, à Valenciennes : deux semaines après le meurtre de Sophie Berkmans, Marianne Listoir, une étudiante arrageoise de 18 ans, est découverte morte dans un fossé, au bord de l’autoroute. Le meurtrier est un (Franco)-Algérien de 28 ans, nommé Tahar Bourahla.

    Juin 2002, à Beauvais : Jacquy Haddouche se rend coupable du meurtre de Léo Capon, 73 ans, qui a été égorgée à son domicile. En juillet 2002, Haddouche avait déjà tué Sylvain Rome, à Saint-Étienne. En 1992, cette Chance pour la France avait aussi tué Gilles Canette, un professeur de français de Beauvais. Son parcours est ici très abrégé ! (Cf. Le Racisme antiblanc, Hervé Ryssen).

    Mai 2002, à Vitry-sur-Seine : huit personnes sont fauchées à un abribus par un chauffard. Une mère de famille et ses deux fillettes sont tuées sur le coup. Le conducteur de 26 ans s’appelle Samir Cheney. Les deux passagers, Rhadil Azzedine et Benyounes Zaouch, âgés de 25 et de 26 ans, ont alors courageusement pris la fuite à pied avec le conducteur, sans porter assistance aux victimes, dont deux enfants, coincés sous le véhicule.

    Octobre 2001, à Lyon : Yvette Bouillet, une retraitée de 76 ans, est trouvée morte chez elle, dans une mare de sang. « En trente ans de carrière, j’ai rarement vu une telle violence », affirma le professeur Malicier, directeur de l’institut médico-légal de Lyon. Un grand nombre de fractures faciales avaient entraîné une hémor­ragie mortelle, précédée d’une agonie de plusieurs minutes. Le coupable se nomme Rachid Zenasni, dont il faut connaître tous les exploits.

    Août 2001, à Cergy-Pontoise : Habib Mezaoui, un employé de banque licencié, se venge de son patron. Il prend en otage une dizaine de clients ainsi que les employés de l’agence. Le directeur Patrick Prieur, 49 ans, est abattu de cinq balles dans la tête, et son adjoint, Gilles Dessertenne, 45 ans, est tué tout de suite après.

    Voici donc tous les meurtres commis en dix ans par des Noirs et des Arabes sur le sol français (été 2001- été 2011). Notre livre sur le Racisme antiblanc (paru en novembre 2011) remonte encore dans le temps, et la liste des cadavres s’allonge considérablement. Notons au passage que les affaires les plus lourdes datent toutes de la fin des années 90.

    Nous n’avons pas cité ici les affaires de viols, les viols “avec tortures et actes de barbarie”, et autres agressions ultraviolentes. Nous n’avons pas non plus évoqué la vingtaine d’affaires d’autodéfense – beaucoup plus réjouissantes – que nous avons répertoriées à la fin de notre livre, et dans lesquelles la victime française tue l’agresseur arabe.

    Voilà. Tout cela pour dire à Bertrand Delanoë qu’il peut aller se faire foutre, lui et son Brahim Bouarram adoré.

    Le 1er mai 2011,   avec ses “mignons” de la mairie de Paris, il avait encore déposé une gerbe de fleurs devant la plaque commémorative en mémoire de Brahim Bouaram, en déclarant, devant les caméras :

    « Quand on s’en prend à un jeune homme parce qu’il est arabe, qu’on le jette à la Seine et qu’il en meurt, ça veut dire qu’on tue quelque chose aussi, de la grandeur de la beauté de la France ». Il fallait, expliqua Bertrand Delanoë, « maintenir les barrières contre l’infâme ».

    Mais l’infâme, c’est lui, Bertrand Delanoë, et ses semblables, qui ignorent délibérément toutes les victimes blanches, infiniment plus nombreuses, rackettées, violées, tuées, assassinées par tous les petits Brahim Bouarram qui courent partout sur le territoire.

    Hervé RYSSEN, 1er mai 2012

    Version pdf imprimable, pour les boîtes aux lettres de vos voisins :

    http://www.mediafire.com/view/?u75voi1c3il7uy4

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    Racisme anti-blanc

  • Islamisation de la Belgique

  • Tous les abattoirs d'Ile-de-France sont halal

     

    Un reportage d’Envoyé Spécial vient de révéler une bombe sanitaire : tous les abattoirs d’Ile-de-France égorgent les animaux (vaches, boeufs) selon le rituel islamique qui empêche l’étourdissement et surtout la ligature de l’oesophage qui en abattage traditionnel préserve du contenu de l’estomac véritable foyer grouillant de germes nocifs.

      Gilbert Mouton, expert auprès des tribunaux français et européens explique :
    « le danger il est là car les plaies sont béantes, vous avez un déversement du contenu de l’estomac avec les germes qu’il contient dans la plaie de saignée et sur la tête »
    Problème : la plaie de saignée fournit les steack hachés !

    Source : La désinformation autour de l'immigration

  • Viols en série à Paris : un homme de type africain recherché

    Information étrangement passée inaperçue chez TF1, France 2, BFM TV et SOS Racisme…

    Il semble s’en prendre qu’à des jeunes femmes européennes, aux cheveux et aux yeux clairs.

    Un homme soupçonné d’avoir commis trois viols en l’espace de cinq jours fin décembre à Paris et Étampes est activement recherché par la police, selon une information du Parisien. Il a agressé deux de ses victimes au couteau.

    Un portrait-robot a été diffusé décrivant un homme de type africain, âgé d’une trentaine d’années, mesurant 1,80m, au crâne rasé et portant des cicatrices sur les tempes. Ce suspect est considéré comme « très dangereux » par les enquêteurs.[1]

    «Il a blessé l’adolescente de plusieurs coups de couteau avant de tenter de l’étrangler, précise au quotidien ce proche de l’affaire. Il devient très violent lorsque les victimes se débattent. Il semble s’en prendre qu’à des jeunes femmes européennes, aux cheveux et aux yeux clairs. Il s’est aussi excusé auprès d’elles après les avoir violées et poignardées.» L’agresseur «a aussi beaucoup parlé avec ses victimes, leur demandant notamment leur appartenance religieuse ou leur nationalité.» [2]

    Source : Défrancisation