Chance pour la France - Page 3
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Immigration. Dans une conférence, Laurent Ozon met les points sur les "i"
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Rassemblement contre le financement public de la mosquée de Tours
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Marseille : gesticulations de Valls, le vrai problème occulté !
Les truands marseillais réduisent leurs effectifs à coups de kalatchnikov ! Qui va s'en plaindre ? Certainement pas les policiers de terrain ou les honnêtes citoyens. Le Valls de l'intérieur lui de se satisfait pas de la chose et vient de dépêcher 240 hommes supplémentaires pour patrouiller dans la cité phocéenne...une présence éphémère qui n'aura de toute façon pas grande utillité faute de pouvoir quadriller finement la ville entière et notamment ses fameux "quartiers nord".
Des quartiers où continueront de sévir les petites frappes ordinaires, ces racailles en herbe comme le "jeune" de 14 ans qui vient de taillader le visage d'un conducteur de bus qui l'avait paraît-il mal regardé. Le petit salopard a usé d'un couteau à lame de 15 cm qu'il portait sur lui en permanence, un acte qui lui vaudra sans doute un peu plus qu'un rappel à la loi, mais pas beaucoup plus et dont il tirera gloire auprès des autres nuisibles de son entourage ordinaire. La loi et l'ordre ne règneront pas à Marseille tant que les couveuses à racailles que sont ces "quartiers" - dont on sait bien qu'ils sont désormais des enclaves étrangères exotiques - n'auront pas été nettoyés, épurés, vidés des indésirables (qui plus est budgétivores) qui y prolifèrent par familles entières dont il faudra bien organiser le retour massif au pays.
La gravissime menace permanente sur Marseille, ce n'est pas uniquement les ponctuels tirs croisés de truands en rivalité, c'est d'abord et surtout le risque de déferlement de cette masse croissante de boules de violence haineuses persuadées que le céfran doit baisser les yeux et raser les murs, leur refiler ses tunes et ses meufs (tout juste bonnes à égayer les tournantes )et à la fermer au risque de se faire égorger. Mais cela, les idéologues fumeux qui nous gouvernent, leurs lobbies et leurs idiots utiles de l'angélisme l'occultent totalement : écran noir sur des lendemains qui déchanteront gravement. Rassemblement Résistance Reconquête !
Yves Darchicourt
Source : Synthèse nationale
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Enquête à la Régie Africaine des Transports Publics (RATP)
Source : FDS
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Appel à témoins : militants FN agressés à Bourg-La-Reine et à Sceaux
Appel à témoin. Voici une partie du groupe des personnes ayant agressé des Papas et des Mamans inoffensifs du FN avec des barres de fer. Merci de diffuser ces photos sur les réseaux sociaux afin d’identifier ces individus.
Source : FDS
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Une immigrée explique qu'elle n'a pas besoin de payer son logement
Alors que de nombreux Français connaissent de terribles difficultés économiques et ne peuvent compter sur personne, une immigrée explique en souriant que les Français paieront pour elle.
Relevé sur Contre-info.com
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Les aventures de Tintin à Toulouse
En vente dans toutes les bonnes librairies. Devraient bientôt suivre les parutions de "Tintin à Marseille", "Tintin à Paris", "Tintin à Lyon", "Tintin à Lille", "Tintin à Roubaix", "Tintin à Strasbourg", "Tintin à Grenoble", "Tintin à Nice" et quelques autres...
Source : Français de France
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Marseille ou Casablanca ? Choisissez votre métro
Préférez-vous le métro de Marseille ?
Ou celui de Casablanca ?
Cliquer sur la ville de votre choix
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Un lundi ordinaire à la Caisse d'allocations familiales de Saint-Ouen
Relevé sur FDS -
Immigration : pourquoi le patronat en veut toujours plus
Source Mariane via BCA
Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.
On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.
Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens.
Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé « l’immigration choisie ».
L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.
Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.
Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.
Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’oeuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’oeuvre ailleurs, entend-on souvent.
« Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).
Autrement dit, une pénurie de main d’oeuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’oeuvre prête à accepter des salaires plus faibles.
C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).
Le rapport du Conseil d’Analyse Economique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% » (page 37)
« Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).
Concernant les Etats-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).
Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration.
Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.Relevé sur : Synthèse nationale