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  • Dans Rivarol cette semaine

    Robert SPIELER

    RIVAROL N° 3131 du 6 mars 2014

     

    À VÉNISSIEUX, dans la banlieue lyonnaise, deux élus ex-Front national (Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac), décrétés personae non gratae par la direction de ce parti pour des déclarations supposées trop radicales ou des passés militants par trop nationalistes, ont décidé d’y déposer une liste en vue des prochaines élections municipales. Marine Le Pen, tout en nuances, les a aussitôt qualifiés de “parasites” et a réclamé au préfet du Rhône de ne pas valider cette liste alors même que le Front national ne présente pas de liste dans cette commune.

     

    A VÉNISSIEUX, UNE LISTE NATIONALISTE. MARINE LE PEN CHERCHE À L’INTERDIRE

     

    La raison ? : Elle porte le nom de « Vénissieux fait Front », ce qui amène la présidente du FN à déclarer : « Il est clair que la dénomination de cette liste constitue un acte de parasitisme du nom “Front national”, parasitisme autant juridique que politique ». Faisant appel au préfet du Rhône, Jean-François Carenco, un adversaire acharné des nationalistes, elle lui écrit qu’« il est tout aussi clair que le Front national n’a rien de commun avec les parasites qui animent cette liste », et lui demande « pour cette raison de [lui] refuser le matériel électoral ». Yvan Benedetti est le président de l’Œuvre française, groupement aujourd’hui dissous administrativement (depuis juillet 2013) et actuel chef du groupe municipal qui porte le nom de « Faire Front », à Vénissieux, ce qui lui confère une certaine légitimité dans l’utilisation de ce sigle. Il réplique à Marine Le Pen : « Notre liste ne s’appelle pas le “Front national”, que je sache » Il pourrait aussi rappeler que « Faire Front » était, en 1974, le titre du journal dirigé par Alain Robert qui allait donner naissance au Parti des Forces Nouvelles (PFN), qui fut longtemps un concurrent du Front, et qui obtint à une époque de meilleurs résultats électoraux que lui. Quant à Alexandre Gabriac, ex-dirigeant des Jeunesses nationalistes, autre mouvement également dissous par le ministre de l’Intérieur en même temps que l’Œuvre, il explique : « Cela ne m’étonne pas de sa part. Marine Le Pen a toujours cherché à monopoliser la parole de la droite nationale. C’est vraiment une manœuvre ridicule. » D’autant plus ridicule que le responsable départemental du FN, Christophe Boudot, a été dans l’incapacité de monter lui-même une liste, faute de candidats. Alors ? Où est le “parasitisme” ? D’autant que l’expression « faire front » n’est pas une marque déposée… Comme le note fort justement Philippe Randa dans sa chronique, Marine Le Pen avait-elle vraiment intérêt à se lancer dans cette polémique, au risque que les électeurs découvrent qu’elle est incapable de monter une liste dans cette grande ville de la banlieue lyonnaise, où le FN était pourtant présent aux élections précédentes, obtenant deux élus (dont Yvan Benedetti) ? Toujours est-il que le préfet a été dans l’obligation de valider la liste. Il a cependant transmis le dossier au procureur qui va vérifier si aucun candidat n’a été obligé de signer, un pistolet sur la tempe…

     

    RIONS : GORAFI DÉLIRANT…

     

    Gorafi (anagramme de Figaro) est ce site parodique que j’ai déjà évoqué en ces colonnes, qui ne semble pas être franchement de gauche. On se souvient que Christine Boutin s’était ridiculisée en prenant pour argent comptant une information parfaitement fantaisiste parue sur le site (le gouvernement aurait déclaré que si la loi sur la famille était reportée, c’est « en vertu d’une stratégie provisoire d’avancement à potentialité différée »). Le site rencontre un succès fou : plus d’un million de visiteurs uniques par mois. On y découvre, selon le quotidien Aujourd’hui, qui lui consacre un amusant article, que « 89 % des Français pensent que le clitoris est un modèle de Toyota ». Information reprise par la presse italienne. Il paraît qu’on aurait « retrouvé un candidat de Fort Boyard oublié dans la cellule d’une épreuve pendant sept ans ». L’info a scandalisé nombre de téléspectateurs. Des députés se sont aussi fait piéger. Pensez, le Medef aurait déclaré que « les Français devraient travailler un mois de plus pour toucher leur treizième mois ». Certains n’ont pas manqué de relever la pertinence de la proposition. Autre titres amusants : « Grâce à son dernier meeting, Jean-Luc Mélenchon obtient enfin son statut d’intermittent du spectacle » ou encore : « Erreur de manipulation : les députés socialistes votent accidentellement une de leurs promesses de campagne ». Et la discrimination ? Si l’on en croit le site, « Mentionner sa pédophilie sur son CV diviserait par quatre les chances d’obtenir un travail ». Le site s’intéresse aussi aux phénomènes de société : « Trop souriant dans le métro, il finit en garde à vue », ce qui est, reconnaissons-le, la moindre des choses. Il n’hésite pas non plus à diffuser des nouvelles qui font frémir : « Une famille reste bloquée trois jours sur un tapis roulant en panne » Et puis, poursuivons : Exploit : « Felix Baumgartner va tenter la traversée de l’Ile-de-France en solitaire et en RER B ». « Henri Guaino pique une colère lors d’un débat avec lui-même à la télévision » ou encore « Guantanamo : les soirées karakoé peinent à trouver leur public » : Et tout le reste à l’avenant… Yahoo Québec a, quant à lui, présenté à ses lecteurs, sans aucun second degré, une “enquête” de Gorafi sur l’essor de la chirurgie esthétique canine « pour que les bassets soient moins tristes ».

     

    JEAN-MARIE LE PEN ACCUSÉ PAR MONTEBOURG D’AVOIR FAIT L’ÉLOGE DE LA GESTAPO !

    Marine Le Pen et Arnaud Montebourg ont cogné dur lors du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro., M. Montebourg a déclaré à la fin de cette émission. « Le FN est un parti qui propose des solutions extraordinairement dangereuses. Le retour au franc. Le Pen c’est le programme de l’Argentine à l’époque de la faillite du peso convertible, quand les mères de famille allaient taper dans les casseroles pour demander à manger à leur gouvernement. C’est l’autarcie albanaise. […] avec un brin de purification ethnique. » Rien que ça ! Et M. Montebourg ose ajouter : « Moi, je n’oublie pas que le président d’honneur du FN a fait il y a quelques années l’éloge de la Gestapo et de l’occupation allemande. » « Tous les Français ont ça en tête. Et comme disait ma grand-mère, les chiens ne font point des chats. » « Cela n’est pas du niveau d’un ministre », lui a rétorqué Mme Le Pen, avant d’ajouter : « Je traite les injures par le mépris. » Jean-Marie Le Pen a porté plainte pour diffamation contre Montebourg qui faisait ainsi allusion aux propos tenus par le fondateur du Front national dans un long entretien à notre hebdomadaire paru le vendredi 7 janvier 2005 et qui valut à son auteur, à Camille Galic, alors directrice de la publication de RIVAROL et à Jérôme Bourbon de fortes amendes et la condamnation à de substantiels dommages et intérêts.

     

    LE PANTHÉON POUR CELUI QUI CRACHAIT SUR LE DRAPEAU TRICOLORE

     

    Hollande a dévoilé le nom des futures personnalités françaises qui rejoindront les soixante-quatorze panthéonisés. Il y aura la grande figure féminine de la Résistance, Germaine Tillion ainsi que Geneviève De Gaulle (1920-2002), également une résistante française, déportée en 1944, et militante des droits de l’homme, présidente d’ATD Quart Monde. Elle est une nièce de Charles de Gaulle. Parité oblige, deux hommes auront droit à cet honneur. L’un est Pierre Brossolette, journaliste et homme politique socialiste français, mort en 1944, l’autre est Jean Zay (1904-1944) qui fut ministre de l’Education nationale et de la Culture en 1936. Il a toute sa place au Panthéon socialiste. La preuve, lisez ce beau poème, paru en 1924, dont il est l’auteur et qui a pour titre : Le drapeau.

     

    Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.

    Quinze cent mille dans mon pays,

    Quinze millions dans tous les pays.

    Quinze cent mille morts, mon Dieu !

    Quinze cent mille hommes morts pour cette saloperie tricolore…

    Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maîtresse,

    Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cœur…

    Qu’est-ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ?

    Quinze cent mille morts, mon Dieu !

    Quinze cent mille morts pour cette saloperie.

    Quinze cent mille éventrés, déchiquetés,

    Anéantis dans le fumier d’un champ de bataille,

    Quinze cent mille qui n’entendront plus JAMAIS,

    Que leurs amours ne reverront plus JAMAIS.

    Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières

    Sans planches et sans prières…

    Est-ce que vous ne voyez pas comme ils étaient beaux, résolus, heureux

    De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ?

    Ils ne sont plus que des pourritures…

    Pour cette immonde petite guenille !

    Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement,

    Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes

    Je te hais au nom des squelettes…

    Ils étaient Quinze cent mille

    Je te hais pour tous ceux qui te saluent,

    Je te hais à cause des peigne-culs, des couillons, des putains,

    Qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre,

    Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial,

    Le défi aux hommes que nous ne savons pas être.

    Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel,

    Le blanc livide de tes remords.

    Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grand coup

    Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts.

    Et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer doré et tes victoires,

    Que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.

     

    Voilà l’homme qui va entrer au Panthéon de leur république…

  • Rivarol cette semaine

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  • Vénissieux fait front

    VÉNISSIEUX FAIT FRONT

    APPEL AUX DONS

    La culture populaire prête à Napoléon Ier la citation suivante : « Impossible n'est pas Français ». Si l'Empereur n'a sans doute pas prononcé exactement ces mots, il n'en reste pas moins que cette phrase est juste.Nos équipes militantes ont su en faire la démonstration en réussissant la gageure à priori impossible de constituer une liste aux élections municipales de Vénissieux ! Nous avons réussi, sans moyens et sans l'appui d'une structure nationale. Mais, mieux encore, nous l'avons fait malgré les embûches et chausses-trapes de nos ennemis, ceux de toujours : le régime, les lobbys, les adversaires idéologiques, et ceux de nos amis d'hier, qui - non-contents de nous avoir tourné le dos - nous attaquent ouvertement aujourd'hui. Mais qu'importe, nous avançons coûte que coûte, guidés par la flamme de notre idéal, seuls face à un système reconnaissant en nous lespires et les plus déterminés de ses ennemis !

    Une lutte contre tous

    Carfinalement, monter cette liste n'aura été qu'un avant-goût de la bataille qu'il nous reste à mener. Mais une bataille contre qui ?

    Contre le régime tout d'abord - incarné localement par le préfet Carenco – qui use contre nous de ses vieilles ficelles avec la complicité d'une presse aux ordres. Cet ennemi acharné des Nationalistes n'hésite pas à procéder aux pires expédients contre nous, en tentant d'intimidernos colistiers ou de nous salir par de fausses accusations.

    Contre les leurres patriotiques que constituent certains partis ralliés au système. Au premier rang desquels un FN devenu anti-national, qui n'a ni su, ni pu, ni voulu, monter sa propre liste à Vénissieux. Un parti dont la présidente Marine Le Pen et son représentant départemental, Christophe Boudot, multiplient les attaques et les insultes contre nous, quand bien même nous ne présentons pas contre eux !

    Et enfin contre la mafia municipale locale, uniquement soucieuse de défendre ses prébendes et les budgets y attenant. Une mafia qui aura fait jouer tous les ressorts administratifs possibles et imaginables pour empêcher la constitution de notre liste, et qui aujourd'hui s'apprête à entonner le vieux refrain désuet de l’antifascisme, comme ultime réponse désespérée à notre discours de vérité !

    Rien ne nous aura été épargné par cet étrange trio d'alliés de circonstance...

    Un combat nécessaire !

    Face à tant d'hostilité, face à l'ampleur des risques pris, aux moyens requis, d'autres auraient sans doute renoncé, pris du recul, opté pour une stratégie moins ambitieuse, des modes d'actions plus tempérés. D'autres, oui, mais pas nous !

    Si nous nous nous sommes présentés dans cette ville, c'est tout d'abord pour ne pas abandonner les derniers véritables Français qui y vivent, étrangers dans leur propre pays et pour qui nous représentons un espoir. Mais aussi pour envoyer un message d'ampleur nationale, depuis cette ville-symbole concentrant les méfaits de l'immigration et du socialo-communisme. Ce message simple c'est : DU BALAI ! Du balai l'immigration, du balai l'islamisation et du balai ces élus complices, responsables et coupables, de la gauche et de l'extrême-gauche !

    Nous sommes la seule alternative !

    C'est à nous, Nationalistes, d'être encore une fois à l'avant-garde, en première ligne - et seuls - face au système. Un système aux abois, qui nous traque, nous espionne et déchaîne sa répression à notre encontre, parce quenotre détermination, notre persévérance et les succès prometteurs que nous remportons l'inquiètent.

    Aujourd'hui, nous portons haut les couleurs de la France éternelle, la vraie France, celle qui ne veut pas mourir. Et nous allons les porter là ou le systèmene s’attendaitpas à nous voir : chez lui, à Vénissieux,zone où communisme stalinien, islamisme, insécurité, chômageet trafic de drogue font partie du quotidien ! Car nous, Nationalistes,sommes les seuls à pouvoir lui porter le fer dans la plaie !Voilà pourquoi nous avons décidé de mener ce combat à Vénissieux et pourquoi nous le mènerons jusqu'au bout !

    Nous avons besoin de vous !

    Le chemin parcouru est déjà immense, puisque nous serons, envers et contre tout, présents à cette élection! Malheureusement, nous ne disposons pas, à l'heure actuelle, des moyens financiers indispensables pour mener à bien toute notre campagne. Nous ne renoncerons pas, car nous ne renonçons jamais. Mais nous devons faire appel à votre générosité, afin de pouvoir faire imprimer tout le matériel nécessaire. Nous ne disposons pas du financement public, ni de mécènes, ni du financement d'une nation étrangère, d'une multinationale, ou d'un lobby mondialiste quelconque. Mais depuis toujours, nous avons pu compter sur le Peuple de France.

    Alors donnez-nous les moyens de vous défendre et de lutter pour vous !

    Envoyez-nous vos dons ou bien prêtez-nous de l'argent. Pour la France et pour Vénissieux, aidez-nous à VAINCRE !

     Yvan Benedetti  

    Conseiller municipal

    Tête de liste de "Vénissieux Fait Front"

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    Il existe deux façons de nous apporter votre soutien financier :

    • En nous faisant un don :

    Pour cela, vous pouvez :

    • Nous envoyer vos chèques à l'ordre de "Mandataire financier d'Yvan Benedetti" à l'adresse suivante : V.F.F. - 65 avenue Jules Guesde - 69200 Vénissieux.

    •  Ou bien nous faire un don via le système de paiement Paypal en utilisant le module de paiement situé ICI.

    En nous accordant un prêt :

    Il s'agit pour vous de nous prêter une somme d'argent, afin de nous permettre de mener notre campagne, cette somme vous étant ensuite remboursée.

    Pour plus d'information à ce sujet, veuillez prendre contact au 07.81.72.58.81_______________________________________________________________

     http://www.venissieuxfaitfront.com/

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  • Communiqué du Mouvement d'Action Sociale (MAS)

    Camarades, amis et auditeurs de Méridien Zéro,

    Dans la nuit de jeudi à vendredi la Cambuse, local du MAS national qui abrite également les studios de Méridien Zéro, a été incendiée et entièrement détruite.

    Si, selon l’expression consacrée, l’origine du sinistre reste indéterminée, nous avons pu constater la disparition d’une partie de notre matériel radio (ordinateur, micros, matériel d’enregistrement) non retrouvé dans les décombres.

    Nous notons que cet acte grave survient dans un climat général délétère, émaillé de dégradations constantes des lieux de la mouvance (notamment la librairie d’Emmanuel Ratier, des permanences politiques, d’autres locaux militants).

    Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneurs. Nous n’avons pas pour habitude de nous apitoyer sur notre sort, aussi les fourmis sont déjà au travail pour trouver des solutions d’hébergement de notre section francilienne et de diffusion de notre émission de radio. Nous comptons également faire appel aux bonnes volontés et à la générosité des corsaires et pirates pour nous aider à rebâtir le vaisseau Méridien Zéro.

    Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort, et la fourmilière, tel un phénix va renaitre de ses cendres.

    Plus que jamais, en ces temps troubles, il faut faire face : C’est la mission du M.A.S. notre mouvement et la vocation de Méridien Zéro, notre émission de radio. Il semble que cela gêne nos adversaires, tant mieux ! Cela signifie que nous avons raison !

     Arnaud de Robert, porte-parole du M.A.S

    Méridien zéro