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  • L'affaire Clément Méric c'est le nouveau Carpentras du régime

    Tout le monde se souviendra de l’imposture que fut l’affaire de Carpentras. Toute la gauche s’est indignée (ce qu’elle fait très bien) et a pointé du doigt le FN, alors que la profanation était une mise en scène et que le FN n’y était pour rien.

    Vingt trois ans plus tard, c’est le clan d’Hollande qui s’y met. Après avoir détourné l’attention des Français sur l’ignominie qu’est le mariage pour tous, il a du se trouver autre chose. Le pauvre Meric est vraiment venu à point. Sans même chercher à savoir ce qu’il s’est passé, dans le registre aucun coup n’est trop bas, toute la gauche n’hésite pas à récupérer le décès du jeune homme à des fins politiciennes et à lancer des accusations sans fondement contre ses adversaires. Le chef du groupe incriminé, le Franco-Libanais (pour info le Liban est un pays arabe) Serge Ayoub; ce sont les gauchistes qui auraient attaqué les skin-heads et la victime était en fait un des agresseurs qui se serait fracasser la tête en tombant.

    Pour voir la vidéo de l'interview de Serge Ayoub, cliquer ici

  • La vérité sur la mort du militant gauchiste Clément Méric

    presse.jpgSource AFP

    Serge Ayoub, le leader des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), le groupe skin mis en cause par le Parti de gauche dans la bagarre qui a laissé un militant d'extrême gauche dans un état désespéré, a démenti jeudi toute responsabilité de son groupe. "C'est absolument faux", a dit, lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP, Serge Ayoub, alias "Batskin", qui a par ailleurs rejeté sur les militants d'extrême gauche la responsabilité de la bagarre survenue près de la gare Saint-Lazare à Paris.

    Selon M. Ayoub, qui dit avoir "eu le temps de se renseigner" sur l'agression, "trois jeunes hommes et une fille, la compagne de l'un des jeunes", se sont rendus "normalement" mercredi dans une vente privée du quartier de la gare Saint-Lazare. Selon lui, ce sont "des jeunes qui ont le malheur d'avoir les cheveux trop courts et une marque de blouson qui déplaît à d'autres". Sur le lieu de la vente privée, où (le jeune homme a été agressé, NDLR) "ils ont été pris à partie par cinq militants d'extrême gauche qui leur ont promis de les massacrer à la sortie. Le service d'ordre de la vente privée en a été témoin. Il a proposé à ces trois jeunes, plus la gamine, d'attendre", affirme-t-il.

    "Ce sont eux qui incitent à la haine"

    "La sécurité est descendue pour demander aux jeunes d'extrême gauche de s'en aller. Au bout d'une demi-heure d'attente, la sécurité leur a proposé (aux autres jeunes, NDLR) de descendre en disant que cela s'était calmé", poursuit M. Ayoub. "Quand ils sont descendus dans la cour - la vente se situait dans les étages -, les jeunes d'extrême gauche les attendaient. La sécurité est sortie une deuxième fois pour les accompagner dehors."

    "Un peu plus loin dehors, ces cinq jeunes hommes les attendaient encore. À ce moment-là, les jeunes d'extrême gauche ont porté les premiers coups, en tout cas, il y a eu une bousculade", assure le leader des JNR. Selon lui, "les trois (militants d'extrême droite) n'avaient qu'une seule envie, c'est de s'en aller, de partir". Pour Serge Ayoub, "il y a une responsabilité" à faire porter "sur des gens comme Mélenchon" parce que "ce sont eux et les gens d'extrême gauche qui incitent à la haine depuis des mois et des années". "Ce n'est pas anodin de s'appeler chasseurs de skins, ce n'est pas anodin de se dire anti-fa, ce n'est pas anodin de chercher partout à lutter contre un fascisme qui n'existe pas", a-t-il conclu.

    Relevé sur Le Point.fr

  • Rivarol cette semaine

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