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  • Manifestation à Lille, le 8 octobre à 17 heures

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    Contre le chômage, la précarité, la paupérisation accélérée, l'insécurité... Venez nombreux

  • Trosième voie réclame la liberté d'expression

    AVANT LA MANIF DU 8 OCTOBRE 
    La conférence de presse sur la manifestation du 8 octobre à Lille, par la Maison flamande, les Nationalistes autonomes, le Front comtois et Troisième voie fut l'occasion pour cette dernière de présenter son programme. Son représentant, Serge Ayoub, s'est dit proche de Roger Salengro et loin de l'extrême droite.


    Les manifestants n'ont pas encore marché dans les rues de Lille, mais leur mouvement est déjà un succès. Présentée comme « réunissant la frange la plus radicale de groupes d'extrême droite », la future manifestation « qui fait peur » du Front populaire solidariste a pour l'instant permis à l'organisateur Opstaan et aux mouvements associés de s'offrir une belle tribune. Ainsi, hier à Lambersart, Claude Hermant ouvrait la Maison flamande aux journalistes : « Nos manifestations se sont toujours bien passées, souligne-t-il. S'il y a des troubles, ce sera dû uniquement à la contre-manifestation (de gauche). » Mais c'est surtout Serge Ayoub, de Troisième voie, qui s'est exprimé, très à l'aise et incisif. « On parle de fascisme, d'extrême droite, mais le mot d'ordre de samedi est la défense de nos emplois, lance-t-il. C'est délirant ! Il est hors de question d'agresser un policier, de dégrader une voiture ou d'ennuyer qui que ce soit. Nous n'avons rien à voir avec le Bloc identitaire, nous appelons à une révolution nationale contre le capitalisme mondial. Cette manifestation sera l'acte de naissance du solidarisme en un front populaire ! »

    Un mouvement « d'ouvriers »

    Se disant « ni de gauche ni de droite », Serge Ayoub décrit la jeune Troisième voie solidariste comme « u ne mouvance représentée par des ouvriers en guerre contre l'oligarchie financière mondiale qui nous tyrannise ». Refus du pouvoir en place, avec « toutes les magouilles, les crimes de ceux qui nous gouvernent » critique des syndicats « qui ne font que de l'encadrement » opposition « à tous les communautarismes, et à un certain islam noyauté par l'Arabie saoudite, manipulée par les États-Unis. Mais, en privé, chacun a le droit de croire en(la religion) qu'il veut » distances par rapport au Front national jugé « mou, comme sur les banques. Il faut toutes les nationaliser, comme les entreprises de transport, énergie, eau, etc. On ne doit pas spéculer sur ce qui appartient à tous » et un appel à « une démocratie la plus directe possibleet référendaire », contre l'idée d'une « France fondue dans le mondialisme ».

    Un véritable petit programme politique que ce front populaire compte mettre en avant « à Lille, sur la terre de Roger Salengro : nous sommes très proches de ses idées pour la défense des travailleurs ». La seule crainte est d'être muselés : « On subit une stigmatisation, c'est une jeunesse qu'on empêche de s'exprimer. » Claude Hermant l'a rappelé par lettre à Martine Aubry et à la Ligue des droits de l'homme, en exigeant « le respect du droit fondamental d'expression ». •

    UNE MANIFESTATION ENCORE « MYSTÈRE »
    Claude Hermant, de la Maison flamande, ne dévoile rien de la manifestation prévue samedi à Lille. Pour éviter « de mettre de l'huile sur le feu » et « une contre-manifestation », les organisateurs ne déposeront qu'au-jourd'hui en dernière minute la déclaration en préfecture.

    Mot d'ordre prévu : « Défendons nos emplois, notre avenir, et notre pays », selon Serge Ayoub, de Troisième voie, qui estime « impossible » que cette manifestation soit interdite (les organisateurs iraient alors en justice). Il attend : « Entre 500 et 900 participants, peut-être », avec des bus venant de France et de Belgique (le mouvement Nation Belgique). Hier soir, la préfecture indiquait qu'il n'y avait « rien de neuf » concernant ce rendez-vous.

    mercredi 05.10.2011, 07:24 - PAR ARNAUD DUFRESNE/ LA VOIX DU NORD

    Relevé sur : Troisième voie

  • C'est ce soir

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  • Cette semaine : parution du n°24 (septembre-octobre 2011) de la revue Synthèse nationale

     

     

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    Synthèse nationale n°24 (septembre octobre 2011) :

    Vers l'union de la Droite nationale... l'éditorial de Roland Hélie

    Un grand entretien avec Carl Lang, candidat à l'élection présidentielle.

    Marc Noé : Tordre le cou au politiquement correct...

    L'actualité vue par Patrick Parment...

    Marc Rousset : Le tribunal de l'histoire ne reconnait que les vainqueurs...

    Gérard Pince : Le coût de l'immigration en provenance du Tiers Monde...

    Arnaud Raffard de Brienne : La désinformation autour du recrutement dans la Fonction publique...

    Jean-Claude Rolinat : Nous avons changé parce que le monde a bougé...

    Lionel Baland : un entretien avec Gabor Vona, le président du Jobbik (Parti nationaliste hongrois).

    Francis Bergeron : Maurice Bardèche, chroniqueur de l'Europe désintégrée d'après guerre...

    Deux entretiens exhumés : Maurice Bardèche et Antonio de Oliveira Salazar...

    Les pages du Marquis... par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

    Des articles de Philippe Randa, Robert Spieler, Yves Darchicourt, Pieter Kerstens...

    Un article sur Oswald Spengler et un hommage à François-Georges Dreyfus...

    Parution : vendredi prochain, 128 pages, 12,00 €

     

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  • Le Nouvel Obs continue à ânonner la langue de bois

    Il y a quand même de sacrées chochottes dans les medias. Tenez, prenez ce Paul Thian, "fait diversifier" de son état, qui nous livre ses états d'âme sur Nouvel obs.com, dans un article titré "Claude Guéant me donne la nausée". Pauvre chou va !  Pour cette petite chose fragile, "l'air devient irrespirable pour tous les citoyens de ce pays". Et de nous rappeler la commisération que lui inspire une politique trop rigoureuse, selon lui, à l'encontre des Roms et des Comoriens.

    Combien Paul Thian a-t-il accueilli de Roms chez lui  ? Les enjeux sont ouverts mais sans trop d'illusions. Les "Allo maman bobo" affichent toujours une générosité débridée avec l'argent des autres, de préférence celui des pauvres, mais s'avèrent généralement hautains et pingres dès lors qu'il s'agit de se frotter à la vie, la vraie et de sortir leurs picaillons.

      Question langue de bois, Popaul s'y connaît et récite son petit couplet obligatoire pour continuer à percevoir sa pitance. Dame, c'est que le monde de la presse du Système est impitoyable et mieux vaut ne pas trop dissonner sous peine de rejoindre les cohortes d'inscrits au Pôle Emploi. Dans une fort peu originale rengaine, il assène : "La France que nous aimons, c’est celle de la diversité, celle qui regarde vers l’avenir, sans renier son passé, et qui tend les bras avec fraternité, sans tenir compte de la religion, de la race, du pays d’origine ou de je ne sais quoi ! Et non cette France que vous voulez rendre peureuse, refermée sur elle-même, moisie". Quelle originalité ! Pas un iota de changé depuis "L'immigration, une chance pour la France" de ce pauvre Bernard Stasi.

      Visiblement, ce "fait diversifier" doit résider dans le XVIème ou à Neuilly, à moins que ce ne soit à St Germain car pour ce qui est de la France "refermée sur elle-même", j'invite les Français de province à visiter en autocar (blindé si possible) certains quartiers de la capitale de notre doulce France à moins qu'ils ne préfèrent effectuer un safari photo en Land Rover... Chacun son style.

    Source : La désinformation autour de l'immigration

  • Chronique de la France asservie et résistante...

    Chronique de Robert Spieler

    publiée dans Rivarol

    (n°3015 du 30 septembre 2011)

     

    Cela fait longtemps, beaucoup trop longtemps que nous n’avions pas évoqué notre ami Bernard-Henri Lévy, ci-devant vice-ministre des Affaires étrangères et grand donneur de leçons devant l’Eternel.

     

    BHL expulsé de la tribune

     

    BHL était, bien entendu, du voyage à Tripoli aux côtés de Nicolas Sarkozy et du premier ministre britannique, David Cameron. Normal, puisqu’il avait libéré, quasiment à lui tout seul, la Libye de la dictature kadhafiste. Sarkozy et Cameron prononcèrent un discours applaudi frénétiquement par une immense foule de … 1 500 personnes. Là se situe une scène hilarante que je vous invite à découvrir sur le site Altermedia qui reprend les images du Petit journal de Canal+. Tandis que les chefs d’Etat saluent la foule, aux côtés du président du Comité de résistance libyen, qui voit-on se glisser subrepticement, histoire d’être sur la photo, derrière les trois hommes ? BHL ! Qui se fait expulser manu militari par le service d’ordre. Mais ce n’est pas fini. Doté d’une incroyable houtspa (culot monstre en hébreu), revoici notre ami qui resurgit deux minutes plus tard sur la tribune, planqué cette fois ci derrière des lunettes de soleil, histoire de passe inaperçu. Et le voilà viré à nouveau par la sécurité ! Trop marrant !

     

    « Astérix est l’éloge du fascisme et du nazisme »

     

    C’est ce que déclare le philosophe, historien des sciences et homme de lettre Michel Serres. Il relève tout d’abord que, dans les albums d’Astérix, tous les problèmes se règlent à coups de poing. Serres commet cette puissante réflexion : « Le recours à la force pure, c’est quelque chose qui me paraît fasciste. » Mais il ne s’arrête pas là : « Cette force pure est le résultat de la potion magique. Tout le monde la connaît, et notamment les sportifs. Ca s’appelle la drogue ! » Quant au barde qui se retrouve bâillonné et attaché à un arbre lors du repas festif qui conclut chaque album d’Astérix, « cette image évoque irrésistiblement la parole de Goering ‘Quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver’ »

     

    Pour Michel Serres, « Astérix, c’est l’éloge du fascisme, du nazisme. Mettez ces albums entre toutes les mains, vous formerez des adeptes de la force pure, de la drogue et des ennemis de la culture. »  Le père d’Astérix, René Goscinny, dont les parents étaient des juifs polonais et ukrainiens, doit s’en retourner dans sa tombe ! D’autant que certains ont reconnu dans l’humour présent dans ces albums, un humour typiquement juif. Bon, ceci dit, je ne suis pas sûr que Michel Serres, adepte des paradoxes et de la provocation, croie un seul mot de ses délires. Et puis, il lui sera beaucoup pardonné pour ces formules des plus pertinentes : « Ils (les Romains) nous ont imposé leur langue, comme les vainqueurs et les collabos de la guerre économique nous ont imposé l’anglais. » Et puis, goûtez cette réflexion : « Il y a plus de mots anglais sur les murs de Paris qu’il y avait de mots allemands sous l’Occupation. » En effet…

     

    En attendant, je préfère l’humour cynique, noir et trash de Reiser et de Vuillemin, qui sont, eux, de vrais génies de la bande dessinée… D’extrême gauche tous les deux, certes. Mais lisez ce chef d’œuvre de Vuillemin « Hitler=SS », paru il y a trente ans et dont la vente aux mineurs fut interdite dans les kiosques, et vous m’en direz des nouvelles. A mourir de rire !

     

    Ramadan et violences

     

    Femmes et enfants battus au sein du foyer durant le Ramadan : +120% ; Rixes et disputes causant des blessures : +400% ; Voies de fait, agressions : +320% ; Vols de voitures, escroqueries, faux et usage de faux : +180% ; Rendements dans les entreprises : -62% ; nombre de sinistres : +410% ; Nombre de blessés : +214% ; nombre de décès : +80%. Ces chiffres ne sont pas le fait d’islamophobes rabiques, mais résultent d’une enquête menée par l’Institut algérien Abassa, dans 24 régions administratives d’Algérie, auprès d’un échantillon représentatif de 3004 individus. L’objectif de cet institut était d’identifier et de quantifier les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois du Ramadan. On voit les résultats… Depuis, l’Institut Abassa a été démantelé par les autorités algériennes. On se demande pourquoi…

     

    Retirer les fresques du temps des colonies ?

     

    Une fresque surplombe la place de la Contrescarpe, au bout de la rue Mouffetard, à Paris (Vème). Elle représente une femme de la haute société se faisant servir à table par celui qui est visiblement son domestique, un Noir, au sourire béat. Le tout est surmonté d’un écriteau : « Au nègre joyeux ». L’enseigne représenterait le jeune Zamor, serviteur de la comtesse du Barry, affranchi après que celle-ci fut guillotinée par les révolutionnaires. Une autre enseigne « Au planteur », rue des Petits-Carreaux, représente des maîtres blancs, servis par leurs esclaves. Le Conseil représentatif des associations noires (CRAN) pose cette grave question : « Ces enseignes, dans lesquelles esclaves noirs et maîtres blancs sont exhibés en pleine rue, ont-elles encore leur place ? » Et Claudine Tisserand, vice-présidente du CRAN de répondre : « Personnellement, je suis pour les enlever toutes. » Seul petit problème ; le « Nègre joyeux » et le « Planteur » sont tous deux inscrits au registre des Monuments historiques…Mais qu’à cela ne tienne…

     

    Un homme va accoucher en Israël

     

    Ca se passe en Israël, et nulle part ailleurs…. Ayant subi une opération de changement de sexe aux Etats-Unis, elle a aujourd’hui tous les attributs d’un homme, sa pilosité et sa masse musculaire. Mais il (elle) a gardé son sexe de femme  et ses organes reproducteurs féminins. Marié à une femme (une vraie), et travailleur social (il donne des conseils d’éducation sexuelle à des adolescents), il est très connu pour son combat en faveur des homosexuels. Il (elle) attend aujourd’hui un enfant. Allez voir sur le site contre-info.com la photo de ce barbu au ventre proéminent, qui accouchera en novembre. Répugnant…

     

    Mohamed devient Kevin

     

    Marine Le Pen, interrogée sur France 2 il y a quelques mois, recommandait que pour s’intégrer « tous les immigrés devaient donner des prénoms français du calendrier » à leurs enfants. Voilà une bonne idée reprise au vol par une mère de famille de Marseille qui a demandé à la justice de débaptiser ses deux enfants d’une dizaine d’années, Mohamed et Fatima, expliquant : « Je ne voudrais pas qu’il devienne ouvrier, ou que ma fille devienne femme de ménage, comme moi. » Chacun sait, en effet  l’importance du prénom dans l’évolution professionnelle. Tous les Nicolas ou Jacques finissent présidents de la République. Quant aux Jérôme, ils doivent se contenter de diriger des hebdomadaires, tel Rivarol.

     

    Toujours est-il que Fatima se prénomme désormais Nadia, et Mohamed, Kevin. Le pauvre Kevin n’a pas vraiment tiré le gros lot. Une étude parue l’an dernier démontre, en effet, que porter un prénom anglo-saxon pouvait être bien plus nuisible pour sa carrière professionnelle que de porter un prénom à consonance étrangère. Les chercheurs affirmaient que des prénoms tels Kevin, Dylan, Brandon, Cindy étaient assimilés aux jeux vidéos, aux séries télévisées bas de gamme, et à des personnes peu cultivées. Pas sûr que Kevin trouve plus facilement du travail que Mohamed…

     

    De Gaulle, « méchant, venimeux, égocentrique »

     

    Ce sont les qualificatifs auxquels De Gaulle a droit dans une interview de Jackie Kennedy, rendue publique plus de quarante ans après sa réalisation. Elle traite Martin Luther King d’  « imposteur », d’homme « bidon ». Quant à Indira Gandhi, elle est habillée pour l’hiver : « une cruche, amère, arriviste et affreuse ». Reconnaissons que la méchanceté naturelle de De Gaulle lui apportait des éclairs de lucidité. C’est ainsi, qu’après avoir rencontré Jackie Kennedy, il eut ce commentaire ; « Elle finira, après la mort de John Kennedy, sur le yacht d’un marchand d’armes. »

     

    L’assassin de Yann Piat converti à l’islam radical

     

    Yann Piat avait été députée du Front national et nous siégions ensemble à l’Assemblée nationale. Une combattante, courageuse et déterminée. Après la dissolution de l’Assemblée en 1988 et le retour au scrutin majoritaire, elle fut la seule à retrouver son siège. Le Pen ne prit même pas la peine de décrocher son téléphone pour féliciter celle qui était aussi sa filleule. Très proche du docteur Bachelot, qui avait aussi été député, et qui avait pris ses distances avec Le Pen, elle finit par être exclue du FN. La première d’une longue série… Elle fut assassinée par des maffieux dont elle avait dénoncé les projets. Parmi eux, Marco Di Caro, condamné à vingt ans de réclusion. Libéré, il est à nouveau jugé par la cour d’assises des Bouches-du-Rhône pour un vol avec armes. On apprend à cette occasion que Di Caro s’est converti à l’islamisme radical en prison…

     

    C’est impossible, c’est incroyable…

     

    Cela parait impossible, c’est impossible,  c’est incroyable, cela remet en cause la théorie de la relativité restreinte d’Albert Einstein, que tous les physiciens et tous les élèves de terminale S partagent et qui démontre qu’il est impossible, pour une particule, de dépasser la vitesse de la lumière, soit près de 300 millions de mètres par seconde. Et pourtant, une expérience réalisée entre le CERN, en Suisse, et le Gran Sasso, en Italie (là où Mussolini, prisonnier suite au coup d’Etat, fut délivré par les commandos de Skorzeny) semble démontrer l’impossible : des particules ont dépassé la vitesse de la lumière. Pierre Fayet, un théoricien de haut vol déclare : « Cette observation défie l’entendement ». Les physiciens ont tout vérifié. Ils ont lancé un appel au secours à leurs collègues du monde entier. « Aidez nous à confirmer ou à infirmer cette incroyable expérience. » La confirmation de ces données signifierait, sur un plan certes purement théorique, la possibilité de remonter dans le temps. Vertigineux !

     

    La Ligue de Défense Juive en route vers Israël

     

    En cette semaine cruciale pour l’Etat palestinien, la Ligue de Défense Juive, connue pour ses violences et interdite d’ailleurs en Israël, a décidé d’aller provoquer les Palestiniens depuis des colonies juives. Interrogé par Rue 89, le porte-parole du Quai d’Orsay prétend « ne pas connaître la LDJ ». Menteur ! Sur son site, la LDJ revendique la dimension belliqueuse de son projet : « Ce voyage est réservé aux militants ayant une expérience militaire : le but de cette expédition est de prêter main-forte à nos frères face aux agressions des occupants palestiniens et donc de renforcer les dispositifs de sécurité des villes juives de Judée et Samarie. » La mission était composée de cinq groupes de onze personnes chacun, qui avaient pris « position » dans cinq colonies différentes de Cisjordanie. Tous les frais des participants avaient été pris en charge par des donateurs français que le groupe a refusé de nommer…

     

    Fondée à New-York en 1968 par le rabbin américain Meir Kahane, assassiné par un islamiste en 1990, la Ligue de Défense Juive est interdite en Israël depuis 1994 en vertu des lois antiterroristes, après le massacre d’Hébron, perpétré par un membre de la Ligue, dont le bilan fut modestement de 29 morts. Le Shin Bet (la sécurité intérieure israélienne) révèle que ces extrémistes ciblent désormais les militants pacifistes israéliens et des Palestiniens, ou incendient des mosquées. Et, bien entendu, ils incitent les idiots utiles à faire de même en Europe. En attendant, des militants de la LDJ contribuaient à assurer la sécurité de la réunion anti-islamisation organisée, il y a quelques mois, par Riposte Laïque et le Bloc Identitaire. Cherchez l’erreur…

     

    Philippe Pétain, hors de l’Histoire

     

    On se souvient que son portrait avait été retiré d’une galerie regroupant tous les chefs d’Etat de la France, dans la petite mairie de Gonneville-sur-mer (Calvados). A la demande du préfet de Basse-Normandie qui avait saisi le Tribunal administratif. Et à l’exigence des associations couineuses… L’Association de Défense de la Mémoire du Maréchal Pétain (ADMP) avait déposé un recours. Recours qui vient bien entendu d’être rejeté. Jacques Tremolet de Villers, avocat de l’association, réplique : « Aujourd’hui, dans cette galerie de portraits, il y a un vide. Ce vide fait dire qu’un tribunal, un préfet, révisent l’histoire, qu’une période d’Histoire de quatre ans n’a jamais existé. » On connaît les méthodes bolcheviques qui consistaient à effacer a posteriori les images des traîtres supposés sur les photos officielles. Trotski en fut un des exemples célèbres. Près de soixante ans plus tard, ces fous furieux continuent leurs délires. Mais de quoi ont-ils peur ? De la vérité ? Quoi qu’il en soit, après tout tant mieux. Comme le disait Nietzsche, « ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort. »

     

    Chaque vendredi, retrouvez la chronique de Robert Spieler dans Rivarol (en vente chez votre marchand de journaux, 3,50 €)

     

    Le blog de Robert Spieler : cliquez ici