« La série de meurtres qui a frappé la région toulousaine a donné lieu à un spectacle politico-médiatique aussi grotesque que révélateur.
Pendant deux jours, le pays s’est arrêté de vivre suite à ces événements tragiques :
les candidats à l’élection ont fait semblant de suspendre leur campagne, les médias ont saturé les cerveaux, certaines entreprises et administrations ont pris des décisions incongrues, tel le CSA qui annoncé reporter « sa décision sur l’attribution de nouvelles chaînes sur la télévision numérique terrestre »…
Après avoir voulu leur faire « parrainer » des enfants juifs déportés en 2008, le président Sarközy a encore essayé de traumatiser les élèves de France en leur expliquant que ce sont eux qui auraient pu être assassinés. Même en Italie, les enfants ont dû observer une minute de silence.
Le dirigeant de l’organisme mondialiste appelé ONU s’est ému et a réagi comme il ne le fait jamais quand des chrétiens sont assassinés par dizaines ou par centaines.
Le dirigeant de l’organisme mondialiste appelé ONU s’est ému et a réagi comme il ne le fait jamais quand des chrétiens sont assassinés par dizaines ou par centaines.
Curieusement, les médias ont évoqué le « rapatriement » des Juifs assassinés vers le Proche-Orient où ils seront enterrés. L’emploi du terme « rapatriement » signifie-t-il que pour les médias ces Juifs ne sont pas français ? Attention, on se fait traiter d’antisémite pour moins que cela.
A peine la piste d’un tueur « d’extrême-droite » a-t-elle été évoquée qu’on a assisté à un déchaînement d’amalgames de la part des officines « antiracistes », de politiciens, des médias : la tuerie était une conséquence des « discours xénophobes », du « racisme latent dans notre société », du « nationalisme » promu par certains, allant pour quelques-uns jusqu’à désigner un Front national qui pourtant ne sait plus quels gages d’antiracisme donner.
Maintenant que l’identité (étrangère) du tueur est connue, les mêmes acteurs politico-médiatiques nous expliquent qu’il faut absolument éviter tout amalgame avec l’islam ou l’immigration…
Les enfants juifs ont été tués au nom de l’islam et de problèmes étrangers. Les militaires assassinés l’ont été suite à l’implication de la France en Afghanistan (auquel cas, qu’ils furent non-blancs est dû à l’état très particulier de l’armée « française ») ou parce que leur origine étrangère les faisait percevoir comme des traîtres aux yeux du tueur.
Même s’il n’est pas interdit de se poser encore des questions sur cette affaire qui tombe bien pour certains intérêts politiciens, toutes ces morts sont finalement dues – ou au moins liées – au cosmopolitisme imposé à la France.
Tout comme le meurtre horrible de cette jeune Française de 14 ans, retrouvée morte dans des toilettes publiques près de Nantes lundi, lardée de coups de couteau et le crâne fracassé contre la cuvette.
L’assassin, un Africain récidiviste et condamné à plusieurs peines de prison non effectuées, avait dans la journée tenté d’assassiner deux autres Français.
L’assassin, un Africain récidiviste et condamné à plusieurs peines de prison non effectuées, avait dans la journée tenté d’assassiner deux autres Français.
Ces meurtres et tentatives de meurtres racistes antifrançais se multiplient sur le territoire et la différence de traitement médiatique avec d’autres affaires est choquante.
Seul un sain nationalisme appliqué par un Etat restauré, ne craignant pas de prendre en compte les réalités ethniques, sera à même d’épargner à l’avenir d’autres drames de ce genre. »