Dans son intervention télévisée du 27 octobre 2011, Nicolas Sarkozy a indiqué qu'il fallait réaliser «6 à 8 milliards d'économies» pour 2012.
Sans que des annonces précises aient été faites, on se doute qu'un nouveau tour de vis budgétaire va frapper les français. Et pourtant, il existe un gisement d'économies gigantesque, auquel il n'est jamais touché : il s'agit du coût de l'immigration.
Selon Yves-Marie Laulan, cofondateur de l'institut de Géopolitique des Populations, le coût réel de l'immigration est de 60 à 70 milliards d'euros par an (propos pour Monde et Vie du 16 juillet 2011). En 2010, Malika Sorel, membre du Haut Conseil à l'intégration, chiffrait ce coût à 36 milliards d'euros par an. Malgré l'écart entre ces deux évaluations, on comprend bien qu'il s'agit d'un coût énorme, se chiffrant en dizaines de milliards.
Alors, pour quelles raisons, les gouvernements successifs n'en ont-ils pas tenu compte ?
Sans que des annonces précises aient été faites, on se doute qu'un nouveau tour de vis budgétaire va frapper les français. Et pourtant, il existe un gisement d'économies gigantesque, auquel il n'est jamais touché : il s'agit du coût de l'immigration.
Selon Yves-Marie Laulan, cofondateur de l'institut de Géopolitique des Populations, le coût réel de l'immigration est de 60 à 70 milliards d'euros par an (propos pour Monde et Vie du 16 juillet 2011). En 2010, Malika Sorel, membre du Haut Conseil à l'intégration, chiffrait ce coût à 36 milliards d'euros par an. Malgré l'écart entre ces deux évaluations, on comprend bien qu'il s'agit d'un coût énorme, se chiffrant en dizaines de milliards.
Alors, pour quelles raisons, les gouvernements successifs n'en ont-ils pas tenu compte ?
AVEC LE MNR, DÉPOSONS LE FARDEAU DE L'IMMIGRATION
(AME, CMU, logements sociaux, allocations familiales, etc...)
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