Alain Penin, l’assassin-violeur de Natacha Mougel a certes été incarcéré. Ce fou criminel avait déjà violé et tué une jeune femme, crime pour lequel il n’avait été condamné, en 2006, qu’à 10 ans de prison seulement, ce qui ne donne pas cher de la vie d’une jeune femme innocente, soi-dit en passant.
Le comble c’est que, tout à fait légalement, ce criminel avait été relâché au bout de quatre années… Or on sait ou on devrait savoir que les délinquants sexuels de ce type récidivent dans cent pour cent des cas comme le prouvent des études sérieuses que l’on se garde bien d’évoquer. On sait donc ou on devrait savoir qu’en relâchant une bête vicieuse comme Alain Penin, on condamne donc à une mort horrible une ou plusieurs femmes dans les jours ou mois qui suivent la libération.
Il faudra bien un jour finir par accepter que la seule thérapie valable pour ce genre d’individu consiste à l’éliminer définitivement, sans haine mais dans le souci prioritaire de protéger la société.
Mais aujourd’hui, si le coupable est emprisonné, le responsable court toujours bien qu’il soit aisément identifiable. Il s’agit d’un système judiciaire qui permet, en toute impunité, à un juge d’application des peines de relâcher un assassin psychopathe dont la récidive était hautement probable, de de le faire sortir de prison pour commettre un nouveau crime et ceci après quatre petites années d’incarcération. Il y aurait à rechercher d’éventuelles complicités du côté des experts-psychiatres qui ont dû à un moment ou un autre cautionner une telle libération.
Source : Le blog d'Arnaud de Brienne