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Antidote - Page 6

  • Hamonistes, Mélanchoniens, Fillonaires, Macroneux &Co

    Tous ces adeptes de la secte mondialiste, dont certains sont de vieilles carnes du Régime, ne vivent que pour défendre leurs privilèges d’une époque révolue.

    Ces chacals du système politico-médiatique n’expriment aucune volonté pour rétablir la protection du bien commun dans l’intérêt général. Car sinon, comment expliquer que ni les uns ni les autres ne souhaitent mettre en œuvre des mesures structurelles pour stopper les déficits publics, réduire la dette abyssale qui sacrifie les générations futures, combattre l’insécurité permanente dans les Zones de Sécurité Prioritaires (chaque jour en France 330 voyageurs sont détroussés dans les transports publics) et diminuer drastiquement la pression fiscale à tous les niveaux. Et, en plus, ils ont le culot de nous donner des leçons de bonne conduite ou de morale!

    Tous obéissent aux lobbies de l’immigration/invasion, véritable cancer de notre société qui voit de jour en jour s’étendre ses métastases mortifères, au prétexte que ces « migrants » seraient une chance pour nos peuples vieillissants. Aucun ne propose de relancer une véritable politique de la famille, ni de favoriser la natalité pour un rajeunissement de la nation.

    Aucun ne veut assumer ni reconnaitre les échecs de la société multiculturelle et pluriethnique. Pourtant c’est bien Angela Merkel qui, le 10/09/2010 devant un congrès de la CDU allemande, avait affirmé que « le multikulti avait totalement échoué », aveu repris par la suite par David Cameron et Nicolas Sarközy.

    La mafia socialaud-écolo-libéro-capitaliste (soutenue par le milliardaire Georges Soros) a bien au contraire organisé toutes sortes de campagnes de désinformation et de propagande destinées à nous faire accepter une prétendue cohabitation avec l’Islam modéré (?) au nom du « Vivr’ensemble » et du « Padamalgam », en ouvrant nos frontières à tous, terroristes inclus.

    Il suffit d’ouvrir les yeux pour constater que partout dans nos rues et dans nos quartiers, nos coutumes, nos lois et nos traditions sont bafouées par le monde musulman, vecteur d’une barbarie omniprésente (habillement féminin réducteur, abattage animal par égorgement, alimentation halal, excision féminine, ou polygamie) niée par nos gouvernements en quête de clients/électeurs. Et l’utopie du métissage à tous les étages est un crime contre nos peuples.

    Cette évolution négative de notre société et la disparition des valeurs ancestrales (qui ont permis à l’Europe de rayonner partout dans le monde au travers des siècles) nous conduiront vers des affrontements inéluctables. L’Histoire fourmille d’exemples et les banlieues s’enflamment.

     Le 23 avril et le 7 mai il sera indispensable de brandir un carton rouge électoral pour éliminer les laquais du Nouvel Ordre Mondial qui nous mènent au fond du gouffre et vers le chaos.

    Méfions-nous aussi des charmants, des charmeurs et des charlatans…

    Ezra Pound écrivait : « Si un homme n’est pas disposé à affronter quelques périls pour ses opinions, ou ses opinions ne valent rien, ou c’est lui qui ne vaut rien ».

    Pieter KERSTENS

  • Rivarol cette semaine

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  • Quelle alternative : monnaie réelle ou monnaie virtuelle ?

    A l’heure où la Commission Européenne planche pour la suppression du cash et force à nous diriger vers la carte plastique, unique modèle de nos paiements futurs pour toutes nos dépenses qui seraient bien évidemment contrôlées, existe-t-il une autre solution ?

    Le Bitcoin est une première devise monétaire électronique décentralisée.  Cette devise circule via Internet et possède un avantage par rapport aux autres monnaies alternatives : transmission (échanges) via un réseau (le net) sans passer par une banque ou un  intermédiaire financier, ce qui réduit les coûts éventuels de transactions et le temps nécessaire à l’exécution de la transaction qui est plus rapide et rend l’opération mieux sécurisée que les transactions financières classiques.

    L’utilisation du Bitcoin est planétaire, le compte ne peut pas être bloqué, et il n’existe pas de conditions préalables pour son ouverture. Pour effectuer des transactions, il est nécessaire de passer par des bourses d’échanges  et recevoir des devises ou même payer des services comme le taxi, voir l’achat de biens de consommation. Les Bitcoins sont conservés dans un portefeuille électronique dont l’accès est assuré via un ordinateur ou un téléphone. La sécurité des transactions est assurée par des opérateurs rémunérés sur les Bitcoins nouvellement créés. Ces transactions sont enregistrées dans un registre tenu à la disposition du public : la transparence est donc bien supérieure aux flux financiers classiques trop souvent indétectables. Comme ce système de transactions n’est pas soumis à des règles contraignantes, les intervenants comme les entreprises pourraient l’utiliser pour effectuer des opérations sans pertes de changes, à l’instar du WIR en Suisse qui garantit ainsi une meilleure stabilité à l’économie suisse.

    Malgré les quelques déboires enregistrés depuis sa conception en 2009, cette devise cryptographique est nettement moins vulnérable que les devises émises par les banques centrales : pas de contrefaçon possible, vols insignifiants par rapport à l’argent classique, impossibilité de stopper les transactions par un quelconque moratoire, inflation par définition impossible car la création de bitcoins est limitée à 21 millions d’unités.

    Cependant la volatilité du Bitcoin est en fait une « devise » spéculative plus qu’une devise d’échanges car le nombre d’intervenants n’est pas encore suffisant pour assurer une stabilité des transactions. Plus le nombre d’usagers du bitcoin augmentera plus le cours se stabilisera, sans pour autant ne plus varier parfois fortement. En effet, le cours du bitcoin est passé de 15 USD début 2015 à 1000 USD en décembre 2015 avant de replonger à 215 USD début 2015. En ce début d’année 2017, le cours avoisine les 1000 USD.

    Ci-dessous le lien permettant de visualiser l’évolution du cours depuis ses débuts.

    http://www.abcbourse.com/graphes/temp/aotwwpzw.i3p.png

    De plus, comme le compte sur lequel vos bitcoins sont déposés est lié à votre ordinateur il convient de bien protéger celui-ci ainsi que de s’assurer que le fournisseur d’accès à votre portefeuille l’est aussi.

    Pieter KERSTENS

  • L'immigration, l'islam, l'islamisation... Un rapport avec le terrorisme ?

    Pour certaines connues depuis plus de 60 ans, le FLN, MNA, OLP, FPLP, AMAL, GICM, FARL, GIA, DAESH et consorts, sont toutes des organisations terroristes musulmanes identifiées par les « services ».

    Que ce soit à Madrid en 2004 jusqu’à Berlin ces derniers jours, en passant par Londres, Paris, Bruxelles ou Nice, à chaque fois le massacre est revendiqué au nom « d’Allah le très miséricordieux ».

    Tous les gouvernements européens lèvent les bras au ciel et implorent leurs concitoyens de ne pas faire d’amalgame ni de rapprochement avec l’Islam (comme si les attentats étaient commis par des Catalans, des Bretons, des Flamands ou des Ecossais !).

    Merkel, Hollande, Juncker & C° nous prennent pour des cons. Et ils voudraient que l’on accepte ces assassinats sans murmures, sans réactions, sans vengeances, avec abnégation, comme une punition bien méritée.

    Laissons-les à leurs rêves.

    Partout en Europe, de Gibraltar à Oslo et de Brest à Bucarest, les peuples ouvrent les yeux et constatent avec stupéfaction l’état de délabrement matériel des forces de l’ordre et la décadence morale où se trouve l’administration qui gère nos pays.

    Les Anglais, les Autrichiens et les Italiens ont réagi en votant massivement contre les gourous de l’euro-mondialisme et les bonimenteurs de l’Etat-Providence.

    Mensonges, propagandes et manipulations.

    On constate depuis fort longtemps que les télés, les radios ou la presse écrite se comportent comme des putains soumises aux fantasmes des gouvernements, parce que grassement subsidiées par ceux-ci.

    Leurs mensonges le disputent à la propagande et les exemples sont nombreux.

    Rappelons-nous du prétendu charnier de Timisoara en 1988 pour accuser Nicolas Ceausescu et le peuple serbe. Et par la suite ces « atrocités » -mais jamais celles commises par les Musulmans contre les Chrétiens- justifieront les bombardements de l’Otan sur Belgrade en 1999, sans mandat de l’ONU.

    Le devoir de mémoire nous impose aussi le souvenir des informations et des images montrant les bébés sortis de leur couveuse à Koweït-city ainsi que de la prétendue 4ème armée mondiale de Saddam Hussein, vils prétextes pour envahir l’Irak lors de la 1ère Guerre du Golfe en 1991. Etc. et. En 25 ans la liste est longue.

    Face à ces mensonges, ces désinformations, ces manipulations et cette propagande, les politiciens de tous bords se taisent et courbent l’échine, au nom de la Pensée Unique.

    L’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement avait personnellement déclaré le 22 novembre 1994 à 7h45 au micro de la radio Europe n°1 « …tout a été occulté. On vit actuellement dans un système d’informations biaisées », à propos d’une de ses interventions à l’Assemblée Nationale en décembre 1993.

    Et depuis, cela ne s’est pas amélioré, loin de là.

    Certains font preuve de doute, de discernement ou de sérieuse contestation pour remettre en cause la Nouvelle Religion droits-de-l ’hommiste. C’est un bon début.

    Télés, radios, journaux sont les nouveaux saltimbanques du XXIème siècle.

    Les médias ne sont pas dépositaires de la vérité révélée, ni investis du rôle de professeur qui dispense des leçons à des auditeurs/lecteurs décérébrés. Ils se sont accaparés le 4ème pouvoir et veulent nous imposer ce qui est « Bon » ou « Mauvais », en résumé : le Prêt à Penser !

    Nous n’avons que faire de leurs sermons nauséabonds et les politiciens qui courent les plateaux de télés seraient bien inspirés de remettre plus souvent les journalistes à leur place.

    Car complices des régimes, les journalistes ont perdu leur neutralité et leur objectivité pour rabrouer et critiquer ceux (ou celles) qui n’abonderaient pas dans leur sens ou refuseraient les poncifs des salles de rédaction.

    Cette manipulation de l’opinion culmine à un sommet lorsque les charlatans de l’immigration/invasion « bienfaitrice », ont clamé  à longueur d’antennes, que les centaines de milliers de clandestins ayant débarqué en Europe l’an dernier « étaient tous d’un excellent niveau, diplômés et attendus par les industriels ». Désinformation et mensonge calamiteux : « seuls 3% ont trouvé du boulot et 10% peuvent prétendre à des cours de formation. 80% n’ont aucun droit au statut de « réfugié » et 50% de ceux-ci sont totalement analphabètes !» C’est ce qui ressort des dernières statistiques allemandes, à propos des 1.200.000 illégaux arrivés en Germanie en 2015.

    Le président américain Lincoln disait : «On peut tromper tout le monde pendant quelque temps. On peut tromper quelques personnes tout le temps. Mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde ! »

    Et il ne faut être ni de gauche ni de droite, ou posséder un diplôme universitaire, pour se rendre  compte que le continent européen est une terre de beffrois et de cathédrales et non pas de mosquées et de minarets !

    Pieter KERSTENS

  • IL Y A 70 ANS : LES VEPRES TONKINOISES

    Peu nombreux sont ceux qui se souviennent aujourd’hui des milliers de Vietnamiens et de Chinois qui moururent à Haïphong, à Kien An, à Hanoï, à Nam Dinh ou encore à Ha Giang et Bac Ninh, ou des 67 civils français qui perdirent la vie et les 48 autres disparus à jamais lors des vêpres tonkinoises du 19 décembre 1946.

    C’est le lendemain que Hô Chi Minh déclare la guerre à la France ; l’interminable conflit indochinois peut commencer et seule l’armée française l’a suivi sur ce terrain parce qu’aucun des gouvernements ne s’y est aventuré, de sorte qu’on a admis en métropole la présence et l’activité d’agents de l’ennemi.

    Les journaux Action, l’Express et France Observateur ont patronné et protégé, durant toute la guerre, Nguyen Van Ba et Pham Huy Thong à Paris, au vu au au sus de tout le monde !

    DEVOIR D’OUBLI OU DEVOIR DE MEMOIRE ?

    Les gouvernements français, les ministres, les diplomates et surtout les apparatchiks marxistes du Ministère de l’Education nationale ont tout fait pour effacer cette page de l’Histoire de France, parce que leurs complices « progressistes » des gouvernements de l’époque avaient du sang français sur les mains, la félonie et la corruption inscrites sur leurs visages.

    Par contre à Hanoï les écoliers et les étudiants chantent toujours aujourd’hui les louanges de l’Oncle Hô –« 1.000 ans de vie pour Hô Chi Minh »- en oubliant les tueries commises par les Comités d’Assassinats du VNQDD (Viêt Nam Quoc Dan Dang) ou du Viêt-Minh (Viêt Nam doc Lap Dong Minh). Ces organisations terroristes ont en effet semé la terreur dès le lendemain de la 2ème Guerre Mondiale, au nom de « l’Asie aux Asiatiques » qui fut l’axe doctrinal des Japonais, tout au long du XXème siècle.

    Pour obtenir leur indépendance les rebelles de l’Indochine française (aidés par les partis communistes, socialistes et « progressistes ») ne reculeront devant aucun sacrifice pour marquer de leur empreinte sanglante les esprits et affaiblir la volonté de leurs ennemis.

    VICTIMES DECOUPEES EN MORCEAUX ET ENFANTS CLOUES CONTRE LES PORTES

    C’est dès 1937 que la Parti Communiste Français manipule les annamites avec des revendications d’indépendance. En Chine, après de multiples « incidents » organisés par le général japonais Kawabé, 31 divisions japonaises, bien équipées, se sont jetées le 7 juillet 1937 sur les troupes de Chang Kaï Chek et cette affaire entre Jaunes n’inquiète guère les Français ni d’ailleurs les autres Européens.

    Le Japon ayant envahi une très grande partie de l’Asie, il envoie des ultimatums à la France et propose des accords pour les pays d’Indochine. Ceux qui sont signés le 13/6/1940, le 30/8/1940 et en juillet 1941 garantissent la souveraineté de l’Etat Français sur le Laos, le Cambodge, la Cochinchine, l’Annam et le Tonkin.

    « 9 mars 1945 – 18h59.

    Dans le grand salon de la Résidence, à Ha Giang, au Tonkin sur la frontière de Chine, leur coupe de champagne à la main, en tenue blanche, les sept officiers de la garnison française portent un toast. En réponse, un claquement de talons et une profonde courbette de leurs invités japonais, sabre au côté. Le silence s’éternise…le commandant Sawano regarde sa montre : 19 h. Il repose sa coupe vide. Soudain un hurlement sauvage. Un sabre jaillit du fourreau, brille le temps d’un éclair, déchiquette un corps. Sawano vient de tuer le médecin capitaine Courbière qui lui faisait face. Alors c’est la ruée : tous les japonais bondissent sur les Français, le sabre haut. Seuls Moulet et le lieutenant Kéréneur résistent encore. La dernière vision du commandant est de voir le massacre de sa femme et de son bébé d’un an… Après le carnage, l’horreur. Toutes les femmes sont traînées sur la place d’armes et violées par des cohortes de soldats, sous les yeux de leurs maris dont les crânes éclateront plus tard sous les coups de pelles et de pioches.

    Egarement passager, folie sanguinaire ? Bien au contraire : le massacre de Ha Giang n’est que l’application scrupuleuse d’un plan méthodique. De Gaulle souhaitait voir les troupes d’Indochine repartir au combat depuis des bases de jungle analogues à celles du Vercors ou de Bretagne. Mais les Japonais ont pris les devants et ils exécutent avec férocité des ordres froidement calculés : exterminer les officiers, écraser la troupe. Et leur cruauté est aussi politique. Il s’agit tout autant de neutraliser l’adversaire potentiel que de montrer, aux autres Jaunes, le Blanc enchaîné, sanglant, vaincu. Méprisable.

    Et, à la même heure ce soir-là, partout en Indochine, le même scénario se déroule, à quelques détails près. »*

    A Dong Dang, poste frontière commandant la Porte de Chine, casemates et blockhaus ont été érigés suite à l’agression nippone de 1940. Les 150 hommes du 3ème RTT se battront courageusement du 9 au 12 mars 1945. Le général japonais commandant l’offensive félicite le capitaine en anglais : « vous vous êtes battus comme des lions » dit-il. Puis il abat le capitaine d’un coup de sabre et un autre officier l’achève d’un coup de pistolet.

    Le soir, devant une tranchée, tous les soldats européens, mêmes les blessés, sont décapités au sabre, 40 soldats annamites servent de mannequins vivants aux baïonnettes des Nippons déchaînés. Dong Dang est anéanti.

    A Lang Son, Hanoï, Hué ou Saïgon, mais aussi à Thakhek et à Paksé au Laos, et encore au Cambodge, les détachements de la Kempétaï japonaise se lancent partout à la chasse aux Pha Lang (ou « nez long », sobriquet donné aux Européens). L’Indochine entame son calvaire.

    L’épisode le plus glorieux est à mettre au crédit du Général Alessandri qui, durant deux mois, défend pied à pied la terre d’Annam et celle du Laos, espérant vainement l’appui promis par le gouvernement français, sans aucun soutien de l’aviation américaine (les Tigres Volants du Cdt Chennault) basée près de Kunming en Chine. Car le France a demandé aux Britanniques de la Force 136 de Lord Mountbatten leur aide pour venir au secours des innombrables groupes perdus en brousse.

    La réaction du général américain Wedemeyer, conseiller technique de Tchang Kaï Chek, et à ce titre responsable du secteur indochinois a été brutale : « Pas un grain de riz, pas une épingle pour les Français ! », suivant en cela la volonté du Président Roosevelt qui voulait chasser toute présence française de l’Asie du Sud-Est, en accord avec Churchill et Staline.

    Durant les mois suivants, on assiste partout en Indochine à une succession de crimes, autant contre les civils asiatiques qu’européens, par les « petits hommes en pyjama noir », réels bouchers sanguinaires aux ordres de Vo Nguyen Giap qui avait affirmé : « Il y aura un million de morts ». Ses Comités d’Assassinats réalisent d’entrée une partie de cette prophétie.

    Il faut quand même se souvenir que toutes ces rébellions et insurrections armées contre les Français ont été soutenues et manipulées par les Japonais qui ont livrés des armes aux mouvements terroristes en Indochine, entre 1940 et 1945. Mais le comble de la traitrise et de la félonie consiste à ce que, après la rupture ouverte des communistes de Hô Chi Minh avec les Japonais, les américains prennent le relais des Nippons : l’OSS parachute des instructeurs, des armes, des médicaments et des moyens radios, aux ennemis de la France ! En juin et juillet 1945, ce sont 6 équipes de 8 officiers qui ont été parachutées dans les maquis, tous parfaitement conscients que dès la fin des hostilités avec le Japon, une nouvelle guerre mettrait aux prises Viêt Minh et Français, si ceux-ci s’avisaient de rétablir leur autorité en Indochine. Aucun d’eux n’ignore le rôle des communistes au sein du Viêt Minh de l’Oncle Hô, que eux-mêmes sont censés assister. Ces officiers sont convaincus que l’Indochine a vécu « comme au Moyen-Age, où le paysan est traité en esclave, où la liberté n’existe pas et où la peuple vit dans la misère.. ». Ils pensent que la Chine, conseillée démocratiquement par les USA, serait seule capable de conduire les Indochinois vers la Démocratie. En métropole, la majorité de la population a des idées préconçues concernant leurs colonies d’Asie du Sud-Est et croit au bien-fondé des arguments de l’Oncle Hô.

    Dans le Sud-Vietnam, les armes ne se sont jamais tues. Encadrées par 2.000 japonais, les bandes du sinistre Nguyen Binh et celles de ses alliés des sectes Binh Xuyen et Hoa Hao constituent une guérilla dangereuse responsable d’innombrables attaques meurtrières, notamment à Saïgon.

    Dans le Nord, la rébellion est surtout menée par les Tu Vé, milice auxiliaire, véritable association de malfaiteurs et de déserteurs qui multiplient les exactions et les attentats à Bac Ninh, à Haïphong, à Lang Son, à Tourane, à Hanoï, selon la stratégie du Viêt Minh cherchant à « fixer » le maximum de troupes françaises en éparpillant les objectifs, de façon à en affaiblir la force de frappe et d’intervention.

    Le 24 septembre 1945 à Saïgon, après plusieurs jours d’émeutes, c’est l’abominable massacre de la cité Hérault : 300 Français, hommes, femmes, enfants, de condition modeste, enlevés, torturés, massacrés dans un délire de cruauté tellement inimaginable qu’aucun parti, aucun mouvement, aucune secte n’osera en revendiquer la responsabilité.

    La xénophobie étant le meilleur des leviers, chacun durcit sa position. Les chefs communistes, convaincus que l’indépendance se gagnerait à Paris, déplorent ouvertement les violences. Mais Ha Ba Cang, alias Hoang Quoc Viet, l’un des lieutenants les plus durs d’Oncle Hô, arrive le 1er octobre 1945 à bord d’un avion américain. Son alibi envers les USA est une pseudo enquête sur l’assassinat, le 27 septembre, du major Dewey représentant de l’OSS pour le Sud Vietnam. En réalité, Hoang Quoc Viet apporte aux leaders communistes de Saïgon (Giau et le docteur Trach) des directives d’intransigeance : « Il faut, leur ordonne-t-il, creuser entre les Français et le peuple vietnamien un fossé de sang infranchissable. »

    LES VEPRES TONKINOISES : 19.12.1946.

    Partout Giap masse ses troupes, excitant ses Comités d’Assassinats, manipulant les Tu Vé et flattant les sectes.

    Le 19 décembre dans l’après-midi à la demande de Giap, le général Morlière déconsigne les troupes en alerte.

    A Hanoï, les Tu Vé ont reçu pour mission de s’emparer par surprise de tous les civils français et des Vietnamiens réputés francophiles, pour les interner à Bach Maï. 200 officiers et sous-officiers japonais, anciens de la Kempetaï, dirigeront l’opération ! Officiellement, Giap dispose de 952 hommes en vertu des accords du 6 mars ; de 30 à 40.000 en réalité, répartis dans la banlieue de la ville. A 20 h, l’attaque se déclenche, brutale comme celle du 9 mars 1945 : des isolés sont assassinés, des civils européens, des Eurasiens, des Vietnamiens, des Chinois sont enlevés pour servir d’otages et enfermés à Bach Maï avant d’être transférés à Hoa Binh, l’ancien camp de la mort ouvert par les Japonais. Dans la ville, plongée dans l’obscurité par le sabotage de l’usine électrique, la résistance des Français de la 9ème Division d’Infanterie Coloniale est acharnée.

    A l’aube, Giap a perdu la partie dans un bain de sang et au fur et à mesure de la libération des quartiers, on constate l’ampleur des massacres : « enfants découpés en tranches, bébés cloués vifs aux portes, femmes violées et ouvertes au couteau comme à la boucherie ; seins et joues découpés ; cœurs, foies, poumons trouvés cuisants dans des marmites » écrira un témoin. Hô Chi Minh et ses sbires s’enfuient à Hadong.

    Partout, les garnisons françaises sont attaquées de la même manière et partout elles résistent avec succès. A Nam Dinh, les 500 hommes soutiennent un siège de 82 jours avant d’être secourus. A Hanoï, les combats se prolongent jusqu’au 1er février 1947 et par un accord conclu via les commerçants chinois les derniers rebelles communistes quittent la ville.

    Mais dès le 2 janvier 1947, l’Oncle Hô a accepté de rencontrer le ministre des Colonies, Marius Moutet envoyé en Indochine sur ordre de Léon Blum pour « s’entendre à tout prix avec Hô Chi Minh », ordre donné avant l’agression du 19 décembre 1946. Bien entendu, le Viêt Minh attribue à l’armée française la responsabilité de la rupture sanglante du modus vivendi. Les atrocités ? Bah ! Le fait sans doute des irréguliers du parti rival : le VNQDD, fauteur de troubles, bien connu.

    Il faut une bonne dose de mauvaise foi et d’hypocrisie, pour soutenir que le problème indochinois s’est engagé dans la voie du sang et des larmes par la volonté belliqueuse de l’Armée française.

    En réalité, les gouvernements de la IVème République -tous de gauche- n’ignoraient rien des objectifs du Vietminh : l’indépendance et la réunion des trois Ky dont celle-ci aurait été imposée à la Cochinchine récalcitrante par la France elle-même. Félix Gouin, Léon Blum et Vincent Auriol ont laissé pourrir la situation et ne répondaient pas aux ouvertures de l’Oncle Hô qui, lui, préparait la guerre.

    Le 10 novembre 1946, le Parti Communiste Français avait obtenu 28% des voix aux législatives et disposait de 170 députés à la Chambre. Depuis des années, les communistes étaient favorables à l’unité du Viet Nam et ils croyaient à une solution pacifique en collaboration avec l’Oncle Hô.

    L’avenir contredira leurs chimères pacifistes…

    Pieter KERSTENS

    Bibliographie : 

    Georges BLOND : « Histoire de la Légion Etrangère » 1964

    Pierre SERGENT : « Je ne regrette rien ». A. Fayard. 1972

    Erwan BERGOT : « Vandenberghe, le seigneur du Delta ». Balland.1973

    Erwan BERGOT : « Les héros oubliés ». Grasset. 1975

    Henri JACQUES : « Guerre secrète en Indochine ». O. Orban. 1979

    Stanley KARNOW : « Vietnam ». Presses de la Cité. 1984

    Stein TENNESSON : « Déclenchement de la guerre d’Indochine ». L’Harmattan. 1987

    *Amédée THEVENET : »La guerre d’Indochine racontée par ceux qui l’ont vécue » France Empire. 2001

  • Le Belgikstan, sanctuaire du terrorisme

    On aura beau dire et répéter que l’Islam « n’est pas radical », n’importe quel enfant de 8 ans aura constaté que : TOUS LES IMMIGRES NE SONT PAS MUSULMANS - TOUS LES MUSULMANS NE SONT PAS DES TERRORISTES - MAIS TOUS LES TERRORISTES SONT DES IMMIGRES !

    Et l’aveu d’Angela Merkel : « le multikulti a échoué, lamentablement échoué », le samedi 10 octobre 2010, devant le Congrès de la CDU confirme aujourd’hui que l’Islam « modéré », version light des prêcheurs de la Nouvelle Religion Droits-de-l’hommiste n’est pas compatible avec nos sociétés. La caste au Pouvoir a beau nous asséner ses délires dogmatiques, la réalité s’impose à elle tôt ou tard et tous les princes qui nous gouvernent ne peuvent plus se justifier par une pirouette ou une habile esquive. La 5ème colonne existe !

    TOUT EST POSSIBLE, TOUT EST PERMIS !                                  

    On aura beau argumenter, démontrer l’inverse, polémiquer ou démentir les agressions, les attentats, la dérive ou la radicalisation, le constat demeure : c’est bien l’Islam, les musulmans et les djihadistes qui sont responsables et coupables des diverses tueries et attentats depuis longtemps! Que l’on se rappelle donc l’attentat commis par Carlos « Illich Ramirez Sanchez »le 15 septembre 1974 à Paris. Ce jour-là, Carlos en personne attaque le Drugstore Saint-Germain, à « l’algérienne » en lançant 2 grenades au milieu des consommateurs (2 morts et plus de 30 blessés), puis disparaît tranquillement et revendique son action. Cela pour obliger la France à libérer l’un des dirigeants de l’Armée Rouge Japonaise -Yukata Furaya-, laquelle A.R.J s’était intégrée au Front Populaire de Libération de la Palestine « opérations spéciales » (FPLP-OS de Waddi Haddad). Déjà des attentats arabes, sous « faux drapeau ». Et au fil des années, quarante ans plus tard, ce n’est pas en qualifiant les djihadistes de « nazislamistes » ou « islamofascistes » que les politicards, les médias et les analystes vont pouvoir régler le problème de l’invasion de nos quartiers et l’infiltration dans les esprits de l’Islam conquérant.

    Mais ce qui est absolument stupéfiant c’est que la plupart des responsables politiques se déclarent choqués, horrifiés et surpris par la répétitions de tueries sanglantes dans les pays européens et organisant de grands rassemblements populaires pour communier dans la sensiblerie, les pleurnicheries et la bouffonnerie.

    CHIENLIT, SAUVAGEONS, CRAPULES ET RACAILLES

    Depuis des lustres la France, comme ailleurs en d’autres pays d’Europe à l’image de la Belgique, a dépensé des milliards d’euros dans une politique de la Ville pour améliorer l’habitat et les infrastructures sportives, tous azimuts. Ces rénovations n’ont servi à rien et la « culture de l’excuse » disculpant les délinquants a bien au contraire développé chez les immigrés de la 2ème ou 3ème génération un sentiment d’impunité qui leur permet une répétition de méfaits et de se glorifier d’un casier judiciaire comportant 20, 30 ou 50 condamnations ! Inutile donc de vouloir une politique répressive envers les crapules, alors que la Justice baisse les bras et que par conséquent, la Police ferme les yeux, depuis de longues années.

    On comprend dès lors beaucoup mieux pourquoi les petits caïds des Zones de Sécurité Prioritaires se trouvent être également les janissaires attentifs et actifs d’un Islam envahissant. Par contre, alors que le Pouvoir est clairement au courant des agissements de ces racailles, il est inadmissible que les élus communaux ou les fonctionnaires de l’Etat occultent ou cautionnent ces dérives criminelles. Leur obsession de la société citoyenne, du « vivrensemble », du « padamalgam », de la discrimination « positive » et du politiquement « correct » abouti à un déni des réalités et une situation conflictuelle quasi généralisée.

    BRUSSELABAD, CAPITALE DE L’EURABIA

    Dans une étude du sociologue Jan VERTONGEN, de l’université de Gand, on relève que 66% de la population de Bruxelles est d’origine étrangère et que 33% est de confession musulmane. Ce n’est pas une surprise…il suffit de se promener dans la rue !

     Différentes communes de Bruxelles (Anderlecht, Forest, Molenbeek Saint-Jean, Saint-Gilles ou Schaerbeek) ont servi de bases-arrière au terrorisme international depuis fort longtemps. Que ce soit l’ETA, Action Directe, le GIA, les CCC, la cellule qui assassinat le commandant Massoud en septembre 2001 ou Sharia4Belgium et DAESH aujourd’hui, Molenbeek se profile alors comme le FOYER du terrorisme international, avec la complaisance des autorités. En effet, et d’après les déclarations ce 18 mars du député Alain Marsaud, ancien magistrat, chef du service central de la lutte anti-terroriste au parquet de Paris, « on peut se poser des questions quant aux capacités des services de sécurité belges » et il rejoint en cela l’opinion du juge Bruguière, qui eu à traiter du dossier Daoui avec la Justice belge, et doute lui aussi de l’efficacité des responsables de la sécurité. Ce qui est certain, c’est que pour des raisons bassement électoralistes, les partis traditionnels (PRL/MR, PSC/CdH ; ECOLO, PS) ont tous sollicité les musulmans et octroyé des avantages aux maghrébins afin de pouvoir engranger leur voix lors des élections successives, et cela depuis plus de 40 ans ! L’exemple le plus instructif est celui de Philippe Moureaux, sénateur-bourgmestre de Molenbeek de 1992 à 2012 et qui a déclaré récemment : « On encourageait les gens à aller se battre en Syrie (contre Bachar al-Assad –ndlr) comme des héros. ».  En 1980, ce fils de l’ex-ministre Charles Moureaux et de Mme Blaton, entre comme ministre dans les gouvernements Martens 3 et 4. Le 30/07/1981, il fait voter la loi contre le racisme et la xénophobie qui porte son nom. Il fut ensuite encore trois fois ministre sous Martens 8 et 9 et puis Dehaene. C’est lui qui ouvre les listes du PS aux candidats non européens à partir de 2000. Le sénateur Alain Destexhe lui a reproché d’avoir complètement négligé la question de la radicalisation islamiste de sa commune pour des raisons électoralistes. Ce bourgmestre, cacique du PS, s’était marié en 2010 avec Latifa Benaïcha, marocaine musulmane, de 35 ans sa cadette, collaboratrice du Ministre Président de Bruxelles, Charles Picqué. Franc-maçon déclaré, Moureaux s’est converti à l’Islam, tel que cela a été confirmé par le consulat du Maroc à Bruxelles, parce que l’article 39 du code marocain de la famille n’autorise pas le mariage d’une musulmane avec un non-musulman. Philippe Moureaux a donc été officiellement le 1er Bourgmestre musulman de Belgique, malgré ses pitoyables dénégations de l’époque !  Ceci explique-t-il cela ?

    Depuis des années les ministres et politicards belges rivalisent de déclarations hypocrites et mensongères. De Martens à Charles Michel, de Jean Gol à Jan Jambon, de Laurette Onkelinx à Joëlle Milquet, TOUS savaient que des commandos ou cellules terroristes de toutes obédiences résidaient dans la capitale de l’Europe. Par complaisance idéologique et tolérance coupable, ils n’ont pas pu, pas su ou pas voulu combattre et mettre hors d’état de nuire ces assassins barbares. Et que l’on ne me rétorque pas que ce sont des affirmations gratuites. En 2005, la journaliste Hind FRAIHI mène l’enquête sur l’implantation des islamistes à Molenbeek, objet de son livre « Immersion à Molenbeek ». Elle y décrit que les recruteurs des filières djihadistes agissaient ouvertement sur la voie publique et que dans les mosquées les imams prêchaient la guerre sainte. Personne ne l’a soutenu, aucun politicien ne voulait reconnaître les faits. Pire : elle a été critiquée et accusée de mensonges. Seul le Vlaams Blok (V.B), qui comptait des élus communaux à l’Hôtel de Ville, confirmait l’exactitude de son enquête et son constat de la réalité.

    Comme on le voit dans les multiples reportages visuels sur l’arrestation de Salah Abdeslam, dans le quartier de Molenbeek, commune qui possède 22 mosquées et 8 centres culturels arabes, on n’aperçoit aucun blanc, hormis dans les forces de l’ordre et parmi les journalistes qui sont persona non grata quand ils enquêtent sans protection policière… Et si la crapule Abdeslam a pu se permettre une cavale de 4 mois, c’est bien parce qu’il avait des complicités dans les milieux bruxellois et pouvait compter sur la protection et l’aide de ses « frères ». Selon l’aveu du 1er Ministre belge, il a fallu plus de 100 perquisitions pour finir par l’arrestation de l’ennemi public n°1 en Europe !                                              

    P. Kerstens

  • 2015 : Etat d’urgence… 2016 : Urgences d’Etat

    A l’aube de l’An Nouveau, force est de constater que la caste politico-médiatique s’enferme dans le déni de réalité tant dans le domaine social et culturel que dans ceux de l’économie et de la finance.

    NOUS, NOUS LES RAPATRIERONS ! 

    Les âmes charitables, chrétiens de gôche, les associations droits-de-l’hommiste et les élus « humanistes » nous abreuvent de solidarité pour accueillir les réfugiés-migrants martyrisés de tout horizon.

    Pour quel intérêt ? Par obligation morale ? Par éthique ? Par arrière-pensée économique ou financière ? Par idéologie ?

    Ou par une émotivité incontrôlée ?

    Un proverbe ne dit-il pas que « Charité bien ordonnée commence par soi-même » ?

    Si, et seulement SI, on peut concevoir que le voisin d’un pays étranger se trouve persécuté par son gouvernement, pourquoi refuser son arrivée provisoire dans notre pays ? A condition que dès la paix retrouvée il s’en retourne dans ses foyers.

    C’est ce que prévoit la loi, la charte du Haut Commissariat aux Réfugiés et la Convention de Genève.

    La réalité dépasse de loin la théorie et l’esprit des traités. Depuis 1974, la CEE a stoppé toute immigration économique, mais dès 1976 la plupart des pays européens ont autorisé le regroupement familial, ce qui a amplifié l’immigration extra-européenne.

    L’Europe dans son ensemble a été confrontée à des centaines de milliers de demandes d’asile (politique, culturelle, sanitaire ou économique) tous les ans et depuis 40 ans. Seuls 10 à 20% des dossiers ont été déclarés recevables. Pour les 80% qui ont été déboutés du droit de résider en France ou en Europe et ont en conséquence reçu un ordre de quitter le territoire, seule une minorité (6%) est réellement rentrée chez elle ! Les autres, la très grande majorité, sont des clandestins, des sans-papiers qui se sont incrustés chez nous. Au fil des ans les différents gouvernements européens les ont légalisés, puis naturalisés ! C’est là le vrai scandale, car ces hors-la-loi n’avaient plus aucune raison de rester chez nous, sauf à nous coloniser avec la complicité des socialo-capitalistes.

    Il est donc urgent de renvoyer les inassimilables, les profiteurs et les indésirables, dans le pays de leurs aïeux.
    Dans un éclair de lucidité, Charles De Gaulle avait déclaré en 1959 à Alain Peyrefitte

    On aime bien les Allemands, ils apportent Goethe et Mozart, mais on n’aime pas les Allemands quand ils arrivent à un million ! »

     

    Et l’on comprend aussi la xénophobie des Majorquins quand ils subissent la colonisation germanique dans tous les secteurs d’activités, comme c’est le cas dans les stations balnéaires de Paguera et de Cala Ratjada où l’on ne se trouve plus aux Baléares, mais en Bavière.

    Et c’est pareil à Ajaccio où la population a bien raison de crier « ARABI FORA ! » quand les agresseurs de pompiers et de policiers ce 24 décembre sont outrageusement soutenus par Manuel VALLS …

    Partout dans le monde c’est une question de quantité et d’assimilation. L’immigration c’est comme le potage : un peu de sel et de poivre, ça va : mais toute la salière c’est immangeable !

    Seuls les européens acceptent cette aberration, véritable génocide de notre civilisation, imaginé, planifié et imposé par les eurocrates de Bruxelles, laquais du Nouvel Ordre Mondial.

    Quand la crédulité des électeurs sera surmontée, viendra alors l’obligation de la RECONQUISTA.

    Et curieusement, ce sont des élus communistes qui font preuve de lucidité, tel André GERIN, maire PCF de Vénissieux (69) qui déclarait il y a quelques mois : « Actuellement sur certains territoires, se mêlent drogues, mafias, et islamisme, afin d’exercer un contrôle dans les quartiers… Aujourd’hui on ne peut plus se contenter de la moindre demi-mesure. Les responsables de l’autorité du pays et les responsables politiques doivent le dire clairement : « l’ennemi de la France, c’est l’islamisme…La parade policière, judiciaire, voire militaire se pose de manière sérieuse. »

    Mais qui donc a favorisé l’installation de cette 5ème colonne dans nos quartiers ?

    Qui donc a permis à des « cellules dormantes » de se développer dans les banlieues ?

    Qui donc a laissé se propager les métastases mortelles d’un fanatisme religieux ?

    Qui donc a accordé sciemment l’implantation de mosquées wahhabites et takfiristes partout en France ? Les laïcards ont bien su appliquer les lois de 1905 contre l’Eglise et son clergé et il ne devrait pas être si difficile de faire pareil pour l’Islam.

    Il est urgent de préserver notre civilisation et de défendre l’héritage culturel transmis par nos ancêtres.

    « L’OBJECTIF FINAL EST D’ANEANTIR DAESH ! », selon le ministre J-Y LE DRIAN.

    Et après la tuerie de Charlie Hebdo, l’Elysée avait déjà déclaré la guerre au terrorisme !

    On en voit les résultats en Europe. Mois après mois, la collaboration entre les services secrets européens montre les lacunes et les incompétences des gouvernements respectifs qui, aveuglés par leurs dogmes du « vivrensemble » et du « padamalgam », sont les premiers responsables des erreurs de diagnostics et des victimes tuées par des assassins fanatiques.

    Une armée est faite pour se battre et pour vaincre. Non pas pour servir de force de maintien de l’ordre, comme dans les pays totalitaires, déployée lors de plans « Vigipirate » ou « Sentinelle », dont l’inutilité est prouvée par les massacres du Vendredi Noir 13/11.

    Est-il impossible de nettoyer les banlieues dans les cités européennes où s’exercent les racailles ? Est-ce irréalisable de mettre hors d’état de nuire les quelques milliers de multirécidivistes « bien connus de la Justice » qui, de Copenhague à Lunel, de Berlin à Londres et d’Ajaccio à Bruxelles, se livrent aux délits et aux crimes avant de semer la terreur.

    Charly

    Quand on déclare la guerre au terrorisme, on ne se livre pas au commerce avec ses parrains et l’on ne devient pas aussi le complice de ceux qui recrutent, arment et financent DAESH, comme l’Arabie Saoudite, le Qatar, la Turquie, Israël ou les Etats-Unis : on rompt tous les contacts sine die.

    Jean-Claude JUNCKER et sa Commission Européenne sont des félons et de lamentables lâches en tolérant qu’un pays européen soit occupé. Ils doivent exiger la libération de la partie Nord de Chypre, occupée par l’armée turque depuis 40 ans ! Leurs gesticulations sont répugnantes et ignobles.

    Leurs complices de la Cour de Justice Européenne décident que les femmes musulmanes peuvent s’accoutrer de costumes orientaux, aux mépris des lois et règlements votés par les élus du peuple ! Il faut en terminer avec les tchadors, les hijabs, les niqabs et autres burqas : çà suffit, pas chez nous !

    Il est urgent de mettre fin aux salamalecs grotesques avec les rois du pétrole qui aident les terroristes de DAESH.

    LA CRISE EST DERRIERE NOUS ! 

    Vraiment ? Il suffit d’ouvrir les yeux, de regarder autour de nous, de parler avec des commerçants ou des industriels, de lire les rubriques économiques des journaux et des hebdomadaires ou de poser quelques questions pertinentes à son banquier, pour s’apercevoir que la fameuse « confiance » n’est pas revenue depuis 2008 !

    Malgré un euro en repli de 33% contre dollar, depuis 1 an, un baril de pétrole qui vaut la moitié en 15 mois et des taux d’intérêts au plus bas, les économies européennes ne s’améliorent pas.

    Au contraire, les balances commerciales sont déficitaires dans la plupart des pays, alors que la conjonction des 3 paramètres ci-dessus aurait dû dynamiser toutes les exportations et faire tourner les usines européennes à plein régime, comme le promettaient les gourous du mondialisme.

    C’est le chômage qui augmente partout ou stagne à des niveaux élevés.

    Dans la plupart des pays la dette publique augmente parce que les dirigeants refusent d’appliquer des mesures structurelles indispensables à une saine gestion des finances publiques, pour ne pas mécontenter les citoyens-contribuables-électeurs. Et justement, ces contribuables sont, eux, de moins en moins nombreux et étranglés par des impôts et des taxes de plus en plus lourds.

    Selon un rapport de l’OCDE, paru en décembre 2015, au sujet des impôts dans le monde, c’est toujours le Danemark qui avec 51% de recettes fiscales par rapport au PIB, arrive en tête du palmarès, suivi par la France avec 45,2%, de la Belgique avec 44,7% et de la Finlande avec 44%. La Grèce taxe à hauteur de 36% du PIB, l’Espagne à 33,2%, le Royaume-Uni à 32,6 %, l’Irlande à 30%, les USA à 26% et le Mexique avec 19,5%.

    Quand on sait que la France et la Belgique se trouveront chacune avec une dette publique qui dépassera les 100% par rapport au PIB en 2016, on peut se demander si ces gouvernements font réellement preuve de bonne gestion….sans oublier leurs promesses impliquant des augmentations considérables de dépenses en matière de retraites des fonctionnaires et de soins de santé pendant les décennies à venir.

    Il est urgent de stopper les déficits et le gaspillage des deniers publics.

    FAIRE FACE A LA SPOLIATION BANCAIRE. 

    La déliquescence du système bancaire européen est un problème structurel, car les grandes banques restent bâties selon le modèle de banque universelle, c’est-à-dire que les activités de marché, risquées, ne sont toujours pas séparées des activités de banques de dépôt. La loi mal nommée « de séparation des activités bancaires » a été vidée de son contenu.

    Aujourd’hui vos dépôts bancaires dans les grandes banques européennes financent des activités spéculatives, comme en 2007, contrairement à ce que prétendent les publicités de ces banques.

    La plus grande ignominie trouve son essence dans l’accord européen sur les faillites bancaires, qui n’est que de la poudre aux yeux !

    En effet, en cas de déconfiture d’une institution bancaire, les actionnaires perdent tout ou partie de leur investissement. Mais si le montant des pertes dépasse les capitaux propres de la banque (soit une perte supérieure à 8% du montant total des actifs), c’est au tour des créanciers les moins bien assurés, puis, le cas échéant, les détenteurs d’obligations dits « seniors » et en dernier recours les déposants ayant un compte de plus de 100.000 euros, qui paieront les dégâts !

    Sachant qu’une banque comme BNP-Paribas-Fortis dispose d’environ 75 milliards d’euros de fonds propres pour un bilan de 2.500 milliards (sans compter le hors-bilan qui représente plusieurs fois le bilan), un simple risque de contrepartie, c’est-à-dire un défaut d’un acteur financier avec lequel BNP-Paribas-Fortis a des engagements, et les 75 milliards partiront en fumée en quelques jours ! Et cela, malgré les propos paternalistes et mensongers des « professionnels du risque » prétextant que le collatéral (les garanties mises en place lors de transactions avec d’autres institutions financières) prévient ce genre d’accident.

    La directive relative au redressement des banques et à la résolution de leur défaillance (BRDD) a été transposée par ordonnance à la France le 21/8/2015. Elle met en place un système de « bail-in » -soit un sauvetage interne- en opposition au « bail-out » -ou renflouement externe- par l’Etat. Elle a pour objet de régir les problèmes de liquidation judiciaire de banques. La BRDD est une pièce maîtresse de l’Union Bancaire et son objectif est de pouvoir restructurer les banques au bord de la faillite, sans que le contribuable soit obligé de mettre la main à la poche pour préserver la stabilité financière.

    Explications données lors d’un communiqué par la Commission Européenne, sans rire ….

    Vous connaissez beaucoup de clients de banques qui ne sont pas des contribuables ?

    Et que chacun se souvienne du krach de la Banque of Cyprus dont TOUS les clients ont dû payer les pots cassés, entrainant des milliers de faillites des sociétés clientes de la banque et la ruine de multiples autres déposants.

    Il est urgent de mettre les banksters au pas.

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    L’année 2016 ne sera ni heureuse, ni porteuse de bonnes nouvelles, contrairement aux discours mensongers des Chefs d’Etat nous ayant présenté leurs « bons vœux » CRAPULES !

    Pieter KERSTENS

    Article relevé sur Altermedia

  • Rivarol cette semaine

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    Au sommaire :

    Chronique de la France asservie et… résistante, par Robert Spieler — Une tragédie européenne : les Allemands de Russie, par Nicolas Tandler — Le petit coin du talmudiste : Introduction au Chabbat (18) — Iran-Etats-Unis : l’imbroglio proche-oriental, par Léon Camus — Entretien avec Magnus Martel, auteur de Plaidoyer pour l’armée française, propos recueillis par Scipion de Salm — A Davos, l’économiste en chef de l’OCDE a jeté de la glace sur l’optimisme officiel, par Jim Reeves — Des basculements électoraux décisifs en Argentine et au Vénézuela ? — Donald Trump face à l’épreuve de vérité, par Paul Sigaud — Féministes ou “Femen” prises dans les rets de leurs contradictions ?, par François-Xavier Rochette — Cinéma, par Léon Camus — Un génie nommé Leni — Le Devoir d’Histoire de Pierre Vial, 2 janvier 1492 : La prise de Grenade scelle la longue marche de la Reconquête —  L’oligarchie parade au Forum économique mondial 2016 de Davos, par Arnaud Raffard de Brienne — Dites-le avec des Tweets… — Les écrivains peu connus : Eva Léonie Lack — Patrick Laurent tire sa révérence  — Glossaire de nescience — Des stratégies incompréhensibles par Hannibal.

  • Bye, bye, Taubira : bon débarras !

    Femme courageuse défendant ses convictions avec une foi inébranlable, cette Ministre de la Justice représente l’incarnation d’un Système que je combats. Cette militante gauchiste œuvre pour le Nouvel Ordre Mondial et compte des complices dans toutes les organisations internationales. Ces dirigeants qui ne savent pas, qui ne peuvent pas ou qui ne veulent pas accepter les réalités. Ces modernes inquisiteurs de la Religion Droits-de-l’hommiste.

     ET ON TUERA TOUS LES AFFREUX *

    Ceux qui détiennent le pouvoir légal, mais déconnectés du monde réel de leurs concitoyens, prennent leurs désirs qu’ils voudraient nous imposer, comme une certitude non contestable. Et leurs rêves ne sont pas les nôtres, nous, ceux d’en bas, qui sommes confrontés aux maux qui gangrènent notre quotidien. Ces princes qui dirigent nos pays, élus ou cooptés, bénéficient de sinécures hautement rémunérées et de privilèges moyenâgeux. Si encore ils étaient compétents, efficaces et honnêtes moralement, le peuple n’exprimerait pas son mécontentement, que ce soit à Saint-Brieuc, à Barcelone, à Athènes ou à Cologne. Partout un sentiment de révolte gronde : cela ressemble étrangement aux semaines qui ont précédé la révolution de mai 1968. Après avoir assisté à la révolution de Jasmin dans les pays arabes en 2011, allons-nous aussi connaître un printemps du muguet en Europe ?

    Parce que, franchement, peut-on réellement bondir de joie et relever une nette amélioration quand on examine la situation où se trouvent certains pays européens depuis 40 ans :

    • Augmentation ininterrompue des impôts et des taxes
    • Hausse du chômage structurel et surtout parmi les moins de 25 ans
    • Insécurité grandissante dans toutes les villes
    • Corruption permanente des élites au pouvoir
    • Immigration sauvage envahissant nos quartiers
    • Islamisation de tous les secteurs d’activités
    • Laxisme généralisé de la Justice envers les délinquants
    • Enseignement scolaire défaillant
    • Déliquescence totale du rôle de l’Administration

    Ne touchez pas à ma sœur ! Clandestins, aidez-nous à combattre le racisme : rentrez chez vous !

    Un seul exemple suffit à résumer les tares du Système que Bruxelles veut nous imposer : Le Nouvel An à Cologne, en Allemagne !

    Les faits ont été occultés par la police et passés sous silence par les médias durant 3 jours. Il s’agissait d’attentats à la pudeur et de harcèlements sexuels commis à l’encontre, non pas de quelques femmes, mais de plusieurs centaines, par des hordes de maghrébins et d’immigrés arabes en chasse de gibier féminin.

    Et le scandale en Allemagne incombe à Angela Merkel qui avait ouvert en grand les frontières pour accueillir tous les « migrants » du monde et appelé le peuple germanique à faire preuve d’humanité envers les plus persécutés…sortez vos mouchoirs !

    C’est quand même elle qui, le samedi 10 septembre 2010, lors d’un Congrès de la CDU avait déclaré « le Multikulti a échoué, totalement échoué ! » Comprenne qui pourra.

    Il est probable que lentement, mais sûrement, les complices européens du mondialisme nous conduisent vers le chaos, vers un choc de civilisations et sans doute vers des affrontements armés entre les communautés. Car comment expliquer sinon leur laxisme, leurs silences, leur lâcheté et leur veulerie ?       Du chaos naît la tyrannie, dont Platon disait :

    « Lorsque les pères s’habituent à laisser faire leurs enfants.

      Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles.

     Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves.

      Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois, parce qu’ils ne reconnaissent plus,

      au-dessus d’eux, l’autorité de rien ni de personne…

      Alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie. »

     *Titre d’un roman-noir, fiction de Vernon Sullivan (écrit en 1948).        

    Pieter  KERSTENS.