Ce n'est pas le tout de râler contre le résultat de dimanche dernier, voici une excellente occasion de montrer que l'on est un patriote conséquent... Dimanche prochain, à 10 h, rendez-vous Place de la Madeleine.
Résistance - Page 18
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Dimanche 13 mai, 10 h, Place de la Madeleine à Paris, TOUS A LA MANIFESTATION NATIONALISTE UNITAIRE CONTRE LE MONDIALISME....
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RAPPEL : Dimanche 13 mai, 10 h, Place de la Madeleine à Paris, TOUS A LA MANIFESTATION NATIONALISTE UNITAIRE CONTRE LE MONDIALISME....
Ce n'est pas le tout de râler contre le résultat de dimanche dernier, voici une excellente occasion de montrer que l'on est un patriote conséquent... Dimanche prochain, à 10 h, rendez-vous Place de la Madeleine.
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Présidentielle : un gagnant, le mondialisme, un perdant, le Peuple français, une réponse, la résistance nationaliste.
Par Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau de la NDP
La campagne présidentielle est enfin terminée et le résultat de celle-ci est conforme à ce qui devait arriver. Cette élection relevait plus de la farce que d’autres chose puisque elle voyait s’opposer deux candidats qui peu ou prou défendaient finalement la même idéologie, à savoir le mondialisme. Or, que le mondialisme soit servi à la sauce libérale ou à la sauce sociale-démocrate, le résultat est toujours le même : la fin de notre indépendance nationale et la mort de notre identité européenne. Dans ce domaine les deux finalistes n’avaient rien à envier l’un à l’autre.
Sarkozy avait été élu, en 2007, en faisant croire aux Français qu’il allait faire une politique résolument « de droite » guidée exclusivement par l’intérêt national. J’entends encore raisonner les éloges de certains amis nationaux éblouis alors par autant d’audace. Il fallait pourtant être bien naïf pour le croire. Rappelons à ceux qui ont la mémoire courte que durant ses 5 années de règne Sarkozy s’est conduit en parfait petit valet servile des intérêts supranationaux, de la pensée unique et du politiquement correct. En effet :
- qui a fait appliquer le traité européen malgré le « non » massif des Français au référendum de 2005 ?
- qui a nommé des gadgets de gauche style Frédéric Mitterrand, Bernard Kouchner, Fadela Amara, Rama Yade, Eric Besson etc. à des postes de secrétaires d’état ou de ministres ?
- qui a pris Bernard-Henri Lévy comme conseiller particulier ?
- qui a lancé la France dans une guerre en Lybie et y a installé la charia (à moins que ça ne soit pour détruire des preuves de financements occultes …) ?
- qui a mis en place un président musulman en Côte d’Ivoire ?
- qui a réintégré la France dans le commandement de l’OTAN ?
- qui a laissé des soldats français se faire tuer en Afghanistan dans une guerre qui n’est pas la nôtre ?
- qui a augmenté la dette française de plus de 500 milliards d’euros ?
- qui a créé plus d’une vingtaine de nouveaux impôts rien que ces 5 dernières années ?
- qui a laissé plus de 200 000 immigrés rentrer légalement en France chaque année ?
- qui a reconnu l’indépendance de l’état fantoche et musulman du Kosovo ?
- qui explose tous les records de chômage et aggrave la précarité dans notre pays ?
Il est facile de brandir le drapeau tricolore un mois durant avant les élections, mais il est plus difficile de faire oublier son triste bilan et de berner les Français deux fois de suite. Le résultat est là : un mondialiste « de droite » est battu et un mondialiste de gauche est élu. Dans cette présidentielle il y a donc un gagnant : le mondialisme, et il y a un perdant : le peuple français.
Dans cette élection, la position de la Nouvelle Droite Populaire a été des plus claires. Sans se faire aucune illusion sur la politique qu’aurait continué à mener Sarkozy s’il avait été réélu nous avons refusé d’emblée d’être associés à l’arrivée de la gauche au pouvoir. Nous avons donc laissé le libre choix à nos adhérents entre ce que certains d’entre eux considéraient comme un moindre mal, le vote Sarkozy malgré tout, le vote blanc ou l’abstention. De même, au sein de l’Union de la Droite Nationale, certaines composantes ont fait un choix beaucoup moins nuancé que le nôtre. C’est leur strict droit. Une union implique des différences, c’est ce qui fait sa force. L’élection est passée nous ne reviendrons donc pas sur le choix de chacun. Ce qui compte maintenant, c’est l’avenir. Et avec tout ce que nous concoctent le les socialistes, nous avons de bonnes raisons de penser que celui-ci ne sera pas vraiment rose.
Hollande et les siens l’ont d’ores et déjà annoncé : ils veulent donner le droit de vote aux immigrés, légitimant ainsi l’implantation sur notre sol de populations venues d’ailleurs et dépeçant encore plus la France de son identité avec tout ce que cela peut impliquer. Rappelons qu’en 2007, Sarkozy était aussi favorable à cette mesure. Nous, nationalistes, nous avons toujours été contre ce droit de vote puisque nous sommes contre l’immigration. Lors des législatives qui se dérouleront les 10 et 17 juin prochains, nous présenterons des candidats à travers toute la France. Ceux-ci feront campagne pour rendre la France aux Français.
Face au mondialisme, il n’y a qu’une réponse à imposer : la résistance nationaliste. Et le premier rendez-vous de cette résistance nationaliste, ce sera dimanche prochain 13 mai, à 10 h, place de la Madeleine à Paris.
Source : Synthèse nationale
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Jeudi soir au Local
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Second tour de l'élection présidentielle : la Nouvelle Droite Populaire ne choisira pas
Un communiqué de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire :
Voter Hollande ? Bien sûr que non. Voter Sarkozy ou s’abstenir ? C’est l’alternative à envisager.
Certains de nos amis militent ardemment pour le vote Sarkozy, évoquant le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel, et le matraquage financier des Français. Ils auraient pu aussi évoquer, ce qui nous semble tout aussi important, l’abandon de la filière nucléaire française et, de facto, un abandon de souveraineté. Ils évoquent avec effroi la perspective d’accrocher le portrait de Hollande dans leurs mairies et expliquent que la politique du pire est la pire des politiques, considérant que s’abstenir reviendrait à voter Hollande, et qu’il convient de voter utile. Soit. Mais avec ce type de raisonnement, nous serons amenés, demain, à voter aux élections législatives pour un candidat socialiste plutôt que communiste ou pour un candidat radical de gauche plutôt que socialiste, ou encore pour un candidat de l’UMP plutôt que pour un centriste. Et puis, après-demain, pour Mélenchon, un tout petit peu moins pire que Poutou, le candidat de l’extrême-gauche trotskiste. Le premier aurait guillotiné en 1792, le second dès 1789…
Qui sont les responsables majeurs de la situation identitaire dramatique que vit la France ? Les socialistes ? Absolument pas. Le regroupement familial fut décidé par Giscard d’Estaing et Chirac, pas par Mitterrand. Quelle fut l’action de Sarkozy, durant son mandat, pour protéger la France de l’invasion ? Juppé, maire de Bordeaux et Gaudin, maire de Marseille, encouragent la construction de grandes mosquées. Sont-ils socialistes ? Quelle furent les mesures de Sarkozy pour lutter contre la fortune anonyme et vagabonde ? Et n’évoquons pas le fiasco de l’Education nationale. Quant à l’insécurité…Et puis la politique étrangère désastreuse menée en Libye, notamment sous les auspices du super-ministre des Affaires étrangères, Bernard-Henry Lévy… Passons… On pourrait multiplier les exemples. Le CRIF soutient Sarkozy, plutôt que Hollande, soupçonné d’avoir dans son entourage des personnes trop sensibles au drame que vivent les Palestiniens. C’est son droit, comme c’est celui de certains d’entre nous de voter Sarkozy, malgré tout, ou de ne pas voter Sarkozy, et donc de s’abstenir.
Source : Synthèse nationale
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Dimanche 13 mai, à 10 h 00, Place de la Madeleine : Manifestation nationaliste unitaire contre le mondialisme
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Le n°27 (mars avril 2012) de Synthèse nationale est sorti
Au sommaire :
Editorial de Roland Hélie : Présidentielle, que faire ?
Tribune libre à Yvan Blot : le point sur la Présidentielle...
Dossier : le prêt à penser est de gauche, la culture est de droite... articles de Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Patrick Parment, Bernard Bres....
Le désarmement spirituel de notre société... Georges Dillinger
Alain Juppé, un étranger aux affaires. Patrick Parment
Rétablir la peine de mort pour les terroristes... Bernard Bres
La crise : c'est maintenant ! Pieter Kerstens
Libre échange et immigration : les deux mamelles de la France enterrée Marc Rousset
Europe : est-il possible de concilier fédéralisme et souverainisme ? Jean-Claude Rolinat
L'islam modéré est un leurre... Eric Lhullier
Pierre Nothomb et la grande Belgique... Lionel Baland
Un entretien avec Serge Ayoub sur le lancement du mensuel Salut public
Chronique historique d'Yves Darchicourt
Les pages du Marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
Un entretien avec Jean-Claude Rolinat sur son dernier livre Salazar le regretté...
Je suis partout... l'histoire d'un journal Francis Bergeron
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François Brigneau.... Présent !
L’Ami François est passé ce 9 avril à l’Occident éternel. Il était entré dans la quatre-vingt treizième année d’une vie excessivement bien remplie. Son témoignage, celui des ses multiples écrits, restera comme une pierre de touche devant permettre aux générations futures de prendre l’exacte mesure de ce que furent l’après-guerre, les soi-disant Trente glorieuses, l’américanisation et la tiers-mondisation de notre culture, de nos mœurs et du pays tout entier… soit le lent et inexorable déclin de la nation française sapée peu à peu par les forces visibles et invisibles du mondialisme, celles notamment de ces idéologies qui aujourd’hui nous ont conduits au bord de l’abîme.
L’homme était généreux et solide. Fervent de la « petite reine », François passé quatre-vingts ans, écolo en acte, défiait encore chaque jour sur son vélo l’odieuse circulation de la place de l’Étoile, et sans jamais faillir. Grand amateur de la « dive bouteille », il nourrissait sa verve au sang de la terre, et sa prose était de ce rouge vif, de la couleur du vin de nos vignes aux ceps noueux. Mais si François fut un témoin d’élite, il ne fut pas seulement un observateur au regard aigu. Homme d’action, il fut le cofondateur du Front national en 1972. Ce qui n’est pas rien, car par cet acte il allait marquer de son sceau quarante années de notre vie politique.
UN POLÉMISTE REDOUTABLE ET TALENTUEUX
Né le 30 avril 1919 à Concarneau, au sein d’un famille militant à gauche, Emmanuel Allot de son vrai nom rejoint en 1937 Le Parti frontiste issu du mouvement Front commun contre le fascisme fondé en 1933 et membre de la coalition de « Front populaire »… La guerre ayant éclaté, il va rejoindre, comme beaucoup de jeunes gens, la cause de la « Révolution européenne »… Cela jusqu’à s’engager dans la Milice alors que les “Alliés” viennent de débarquer sur les côtes du Cotentin. Arrêté et séquestré par les FTP, il accueille avec un immense soulagement les policiers qui viennent se saisir de lui. Comme il le rappellera plus tard, il vaut mille fois mieux des fonctionnaires soumis à des règlements que des brutes ivres de meurtres et de vengeance.
À la prison de Fresnes où il séjournera un an, il retrouvera Robert Brasillach (l’homme qui donne des boutons au triste sire Mélenchon). Ce dernier sera fusillé le 6 février 1945 au Fort de Montrouge… Depuis André Chénier et Lavoisier guillotinés sous la Terreur, l’on sait que la « République n’a nul besoin de poète »… ou de savant. Ayant recouvré la liberté, Emmanuel Allot épouse la nièce de l’écrivain et biographe de Philippe Pétain, Georges Suarez qui eut l’insigne honneur d’être le premier journaliste exécuté par les Épurateurs. Il commence à partir de là sa carrière de romancier, d’essayiste et de pamphlétaire sous le pseudonyme de Julien Guernec. Ce n’est que quelques années plus tard que François Brigneau verra le jour et il sera immédiatement reconnu et récompensé par le Grand prix de littérature policière attribué à son roman noir La beauté qui meurt.
UN HOMME ENGAGÉ
Ses collaborations (littéraires et journalistiques) seront multiples et éclectiques. Elles s’enchaîneront désormais sans discontinuer tout au long d’une vie marquée par un engagement nationaliste croissant. Celui-ci allant de pair avec l’acuité d’une perception toujours plus fine et incisive des maux qui accablent le monde contemporain. Les titres auxquels il apporte son talent et sa plume couvre le vaste panorama d’une presse où il était encore possible d’échapper quelque peu à la langue de bois et à la propagande de la pensée unique : Paroles françaises, La dernière lanterne, Indépendance grançaise, France Dimanche, Le Rouge et le noir, Constellation, La Fronde, Rivarol (de sa création en janvier 1951 jusqu’en 1952), Ciné Monde, L’Auto-journal, Semaine du Monde, Télé Magazine, Paris Presse (où il est grand reporter), l’Intransigeant, l’Aurore, Présent et Minute dont il est l’éditorialiste et le pilier jusque dans les années 1980… enfin il assurera des chroniques hebdomadaires dans National-Hebdo, ainsi que la rubrique télévision, signant ses articles de l’ironique pseudonyme Mathilde Cruz !
LE COFONDATEUR DU FRONT NATIONAL
Pour la partie militante, en 1965 lors de la campagne des présidentielles, il est l’un des protagonistes du Comité de soutien à Jean-Louis Tixier-Vignancour. Il est de tous les combats de première ligne, et d’abord à Ordre Nouveau. C’est lui qui est à l’origine de la création le 5 octobre 1972 du Front national pour l’unité française autrement appelé Front national. Jean-Marie Le Pen en devient le premier président et François Brigneau en assurera la vice-présidence pendant sa première année d’existence. Roger Holeindre, Pierre Bousquet et Alain Robert composent le bureau national de la nouvelle formation politique. Fin 1998, lorsqu’éclata la crise entre Jean-Marie Le Pen et Bruno Mégret, François Brigneau choisit de s’éloigner, quittant les colonnes de National-Hebdo, mais sans renoncer pour autant à porter son regard critique au-delà de la ligne d’horizon médiatique, notamment par le truchement du Libre Journal de la France Courtoisie de Serge de Beketch et de ses écrits, essais et mémoires.
Au cours de sa carrière, sa profonde conscience du rôle des lobbies — qui n’existent pas — le conduira à plusieurs reprises devant les juges… notamment pour avoir qualifié Anne Sinclair, la richissime Mme Strauss-Kahn née Rosenberg, de « marchande de soutiens-gorge à TF1, juive mal assimilée de tendance socialiste », et, avec une semblable aménité, son confrère Philippe Alexandre de « marchand de bretelles à RTL, juif assimilé de tendance centriste » ! Il ne manquera pas de qualifier ultérieurement icelle — coup pied de l’âne ou compliment déguisé ? — de « pulpeuse charcutière cacher ». Or chacun sait pour avoir lu le Dictionnaire des lieux communs de Gustave Flaubert que « toutes les charcutières sont belles » !
En 1992, lors de l’acquittement (temporaire) de Paul Touvier — celui-ci écopera ultérieurement d’une peine de réclusion criminelle à perpétuité —, François Brigneau écrit : « En 1945, les crimes commis par les Français qui s’étaient rebellés contre le gouvernement légitime et légal de leur pays furent absous, quelle qu’en fût l’horreur […] et celle-ci ne manqua pas. En revanche, les crimes commis par les Français obéissant aux ordres du gouvernement légitime et légal de leur pays continuèrent d’être poursuivis et condamnés, longtemps après la Libération. […] La vraie revanche de l’humanité sur le crime, c’est la chambre d’accusation qui vient de la prendre. Elle a blanchi et libéré Touvier. […] Quant à moi, après ma mort, je voudrais qu’une plaque fût apposée sur ma maison. On lirait ces mots : “Ici, pendant la chasse à l’homme, Paul Touvier et les siens furent reçus chaque fois qu’ils le désirèrent”… ».
Notons tout particulièrement, parmi ses très abondantes contributions à l’écriture de l’histoire cachée, ou non dite, du temps présent, le titre de l’un de ses Derniers Cahiers auto-édités daté de 1992 et consacré au portrait singulier d’un réprouvé : « Mais qui est donc le professeur Faurisson ? ». La question méritait en effet d’être posée !
L’inhumation de sa dépouille mortelle aura lieu le vendredi 13 avril à 14h15 au cimetière de Saint-Cloud. Mais pour longtemps encore François Brigneau sera des nôtres, car nous entendons d’ici la voix qui toujours répondra à l’appel de son nom : “Présent” !
L. C.
Source : Rivarol
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Source : François Desouche