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2015 : Etat d’urgence ; 2016 : Urgences d’Etat

A l’aube de l’An Nouveau, force est de constater que la caste politico-médiatique s’enferme dans le déni de réalité tant dans le domaine social et culturel que dans ceux de l’économie et de la finance.

NOUS, NOUS LES RAPATRIERONS !

 Les âmes charitables, chrétiens de gôche, les associations droits-de-l’hommiste et les élus « humanistes » nous abreuvent de solidarité pour accueillir les réfugiés-migrants martyrisés de tout horizon.

Pour quel intérêt ? Par obligation morale ? Par éthique ? Par arrière-pensée économique ou financière ? Par idéologie ?

Ou par une émotivité incontrôlée ?

Un proverbe ne dit-il pas que « Charité bien ordonnée commence par soi-même » ?

Si, et seulement SI, on peut concevoir que le voisin d’un pays étranger se trouve persécuté par son gouvernement, pourquoi refuser son arrivée provisoire dans notre pays ? A condition que dès la paix retrouvée il s’en retourne dans ses foyers.

C’est ce que prévoit la loi, la charte du Haut Commissariat aux Réfugiés et la Convention de Genève.

La réalité dépasse de loin la théorie et l’esprit des traités. Depuis 1974, la CEE a stoppé toute immigration économique, mais dès 1976 la plupart des pays européens ont autorisé le regroupement familial, ce qui a amplifié l’immigration extra-européenne.

L’Europe dans son ensemble a été confrontée à des centaines de milliers de demandes d’asile (politique, culturelle, sanitaire ou économique) tous les ans et depuis 40 ans. Seuls 10 à 20% des dossiers ont été déclarés recevables. Pour les 80% qui ont été déboutés du droit de résider en France ou en Europe et ont en conséquence reçu un ordre de quitter le territoire, seule une minorité (6%) est réellement rentrée chez elle ! Les autres, la très grande majorité, sont des clandestins, des sans-papiers qui se sont incrustés chez nous. Au fil des ans les différents gouvernements européens les ont légalisés, puis naturalisés ! C’est là le vrai scandale, car ces hors-la-loi n’avaient plus aucune raison de rester chez nous, sauf à nous coloniser avec la complicité des socialo-capitalistes.

Il est donc urgent de renvoyer les inassimilables, les profiteurs et les indésirables, dans le pays de leurs aïeux.

Dans un éclair de lucidité, Charles De Gaulle avait déclaré en 1959 à Alain Peyrefitte « On aime bien les Allemands, ils apportent Goethe et Mozart, mais on n’aime pas les Allemands quand ils arrivent à un million ! »

Et l’on comprend aussi la xénophobie des Majorquins quand ils subissent la colonisation germanique dans tous les secteurs d’activités, comme c’est le cas dans les stations balnéaires de Paguera et de Cala Ratjada où l’on ne se trouve plus aux Baléares, mais en Bavière.

Et c’est pareil à Ajaccio où la population a bien raison de crier « ARABI FORA ! » quand les agresseurs de pompiers et de policiers ce 24 décembre sont outrageusement soutenus par Manuel VALLS …

Partout dans le monde c’est une question de quantité et d’assimilation. L’immigration c’est comme le potage : un peu de sel et de poivre, ça va : mais toute la salière c’est immangeable !

Seuls les européens acceptent cette aberration, véritable génocide de notre civilisation, imaginé, planifié et imposé par les eurocrates de Bruxelles, laquais du Nouvel Ordre Mondial.

Quand la crédulité des électeurs sera surmontée, viendra alors l’obligation de la RECONQUISTA.

Et curieusement, ce sont des élus communistes qui font preuve de lucidité, tel André GERIN, maire PCF de Vénissieux (69) qui déclarait il y a quelques mois : « Actuellement sur certains territoires, se mêlent drogues, mafias, et islamisme, afin d’exercer un contrôle dans les quartiers… Aujourd’hui on ne peut plus se contenter de la moindre demi-mesure. Les responsables de l’autorité du pays et les responsables politiques doivent le dire clairement : « l’ennemi de la France, c’est l’islamisme…La parade policière, judiciaire, voire militaire se pose de manière sérieuse. »

Mais qui donc a favorisé l’installation de cette 5ème colonne dans nos quartiers ?

Qui donc a permis à des « cellules dormantes » de se développer dans les banlieues ?

Qui donc a laissé se propager les métastases mortelles d’un fanatisme religieux ?

Qui donc a accordé sciemment l’implantation de mosquées wahhabites et takfiristes partout en France ? Les laïcards ont bien su appliquer les lois de 1905 contre l’Eglise et son clergé et il ne devrait pas être si difficile de faire pareil pour l’Islam.

Il est urgent de préserver notre civilisation et de défendre l’héritage culturel transmis par nos ancêtres.

 

 « L’OBJECTIF FINAL EST D’ANÉANTIR DAESH ! », selon le ministre J-Y LE DRIAN.

Et après la tuerie de Charlie Hebdo, l’Elysée avait déjà déclaré la guerre au terrorisme !

On en voit les résultats en Europe. Mois après mois, la collaboration entre les services secrets européens montre les lacunes et les incompétences des gouvernements respectifs qui, aveuglés par leurs dogmes du « vivrensemble » et du « padamalgam », sont les premiers responsables des erreurs de diagnostics et des victimes tuées par des assassins fanatiques.

Une armée est faite pour se battre et pour vaincre. Non pas pour servir de force de maintien de l’ordre, comme dans les pays totalitaires, déployée lors de plans « Vigipirate » ou « Sentinelle », dont l’inutilité est prouvée par les massacres du Vendredi Noir 13/11.

Est-il impossible de nettoyer les banlieues dans les cités européennes où s’exercent les racailles ? Est-ce irréalisable de mettre hors d’état de nuire les quelques milliers de multirécidivistes « bien connus de la Justice » qui, de Copenhague à Lunel, de Berlin à Londres et d’Ajaccio à Bruxelles, se livrent aux délits et aux crimes avant de semer la terreur.

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Quand on déclare la guerre au terrorisme, on ne se livre pas au commerce avec ses parrains et l’on ne devient pas aussi le complice de ceux qui recrutent, arment et financent DAESH, comme l’Arabie Saoudite, le Qatar, la Turquie, Israël ou les Etats-Unis : on rompt tous les contacts sine die.

Jean-Claude JUNCKER et sa Commission Européenne sont des félons et de lamentables lâches en tolérant qu’un pays européen soit occupé. Ils doivent exiger la libération de la partie Nord de Chypre, occupée par l’armée turque depuis 40 ans ! Leurs gesticulations sont répugnantes et ignobles.

Leurs complices de la Cour de Justice Européenne décident que les femmes musulmanes peuvent s’accoutrer de costumes orientaux, aux mépris des lois et règlements votés par les élus du peuple ! Il faut en terminer avec les tchadors, les hijabs, les niqabs et autres burqas : çà suffit, pas chez nous !

Il est urgent de mettre fin aux salamalecs grotesques avec les rois du pétrole qui aident les terroristes de DAESH.

 

LA CRISE EST DERRIERE NOUS !

Vraiment ? Il suffit d’ouvrir les yeux, de regarder autour de nous, de parler avec des commerçants ou des industriels, de lire les rubriques économiques des journaux et des hebdomadaires ou de poser quelques questions pertinentes à son banquier, pour s’apercevoir que la fameuse « confiance » n’est pas revenue depuis 2008 !

Malgré un euro en repli de 33% contre dollar, depuis 1 an, un baril de pétrole qui vaut la moitié en 15 mois et des taux d’intérêts au plus bas, les économies européennes ne s’améliorent pas.

Au contraire, les balances commerciales sont déficitaires dans la plupart des pays, alors que la conjonction des 3 paramètres ci-dessus aurait dû dynamiser toutes les exportations et faire tourner les usines européennes à plein régime, comme le promettaient les gourous du mondialisme.

C’est le chômage qui augmente partout ou stagne à des niveaux élevés.

Dans la plupart des pays la dette publique augmente parce que les dirigeants refusent d’appliquer des mesures structurelles indispensables à une saine gestion des finances publiques, pour ne pas mécontenter les citoyens-contribuables-électeurs. Et justement, ces contribuables sont, eux, de moins en moins nombreux et étranglés par des impôts et des taxes de plus en plus lourds.

Selon un rapport de l’OCDE, paru en décembre 2015, au sujet des impôts dans le monde, c’est toujours le Danemark qui avec 51% de recettes fiscales par rapport au PIB, arrive en tête du palmarès, suivi par la France avec 45,2%, de la Belgique avec 44,7% et de la Finlande avec 44%. La Grèce taxe à hauteur de 36% du PIB, l’Espagne à 33,2%, le Royaume-Uni à 32,6 %, l’Irlande à 30%, les USA à 26% et le Mexique avec 19,5%.

Quand on sait que la France et la Belgique se trouveront chacune avec une dette publique qui dépassera les 100% par rapport au PIB en 2016, on peut se demander si ces gouvernements font réellement preuve de bonne gestion….sans oublier leurs promesses impliquant des augmentations considérables de dépenses en matière de retraites des fonctionnaires et de soins de santé pendant les décennies à venir.

Il est urgent de stopper les déficits et le gaspillage des deniers publics.

 

FAIRE FACE A LA SPOLIATION BANCAIRE.

La déliquescence du système bancaire européen est un problème structurel, car les grandes banques restent bâties selon le modèle de banque universelle, c'est-à-dire que les activités de marché, risquées, ne sont toujours pas séparées des activités de banques de dépôt. La loi mal nommée « de séparation des activités bancaires » a été vidée de son contenu.

Aujourd’hui vos dépôts bancaires dans les grandes banques européennes financent des activités spéculatives, comme en 2007, contrairement à ce que prétendent les publicités de ces banques.

La plus grande ignominie trouve son essence dans l’accord européen sur les faillites bancaires, qui n’est que de la poudre aux yeux !

En effet, en cas de déconfiture d’une institution bancaire, les actionnaires perdent tout ou partie de leur investissement. Mais si le montant des pertes dépasse les capitaux propres de la banque (soit une perte supérieure à 8% du montant total des actifs), c’est au tour des créanciers les moins bien assurés, puis, le cas échéant, les détenteurs d’obligations dits « seniors » et en dernier recours les déposants ayant un compte de plus de 100.000 euros, qui paieront les dégâts !

Sachant qu’une banque comme BNP-Paribas-Fortis dispose d’environ 75 milliards d’euros de fonds propres pour un bilan de 2.500 milliards (sans compter le hors-bilan qui représente plusieurs fois le bilan), un simple risque de contrepartie, c'est-à-dire un défaut d’un acteur financier avec lequel BNP-Paribas-Fortis a des engagements, et les 75 milliards partiront en fumée en quelques jours ! Et cela, malgré les propos paternalistes et mensongers des « professionnels du risque » prétextant que le collatéral (les garanties mises en place lors de transactions avec d’autres institutions financières) prévient ce genre d’accident.

La directive relative au redressement des banques et à la résolution de leur défaillance (BRDD) a été transposée par ordonnance à la France le 21/8/2015. Elle met en place un système de « bail-in » -soit un sauvetage interne- en opposition au « bail-out » -ou renflouement externe- par l’Etat. Elle a pour objet de régir les problèmes de liquidation judiciaire de banques. La BRDD est une pièce maîtresse de l’Union Bancaire et son objectif est de pouvoir restructurer les banques au bord de la faillite, sans que le contribuable soit obligé de mettre la main à la poche pour préserver la stabilité financière.

Explications données lors d’un communiqué par la Commission Européenne, sans rire ….

Vous connaissez beaucoup de clients de banques qui ne sont pas des contribuables ?

Et que chacun se souvienne du krach de la Banque of Cyprus dont TOUS les clients ont dû payer les pots cassés, entrainant des milliers de faillites des sociétés clientes de la banque et la ruine de multiples autres déposants.

Il est urgent de mettre les banksters au pas.

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L’année 2016 ne sera ni heureuse, ni porteuse de bonnes nouvelles, contrairement aux discours mensongers des Chefs d’Etat nous ayant présenté leurs « bons vœux » : CRAPULES ! ».

Pieter KERSTENS

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