Avec “La princesse et la Grenouille”, l’industrie Disney enterre les racines européennes de contes magnifiques tels que “La petite sirène” de Hans-Christian Andersen, “Blanche-Neige” des frères Grimm ou encore, “Cendrillon” de Charles Perrault.
Depuis 1992, les princesses valorisées à l’écran par le géant américain sont toutes issues de la “diversité”. Dans “Aladdin”, l’orientale Jasmine triomphe. Puis, en 1995, l’indienne Pocahontas devient un nouveau modèle. Enfin, douze ans avant Tiana, tandis que la mondialisation marchande et humaine s’intensifie, l’Asiatique Mulan se révèle la nouvelle égérie de Disney. Sous la férule de l’ultrasioniste Michael Eisner, le patron de Disney, la propagande mondialiste tourne à plein régime.
Source : Défense de la race blanche