Nous avons tous appris que le multiculturalisme et la diversité sont un enrichissement. C’est peut être une réalité pour certains, mais ce n’est pas le cas pour la majorité des gens et certainement pas pour ceux ou celles qui en sont les victimes.
L’une des victimes les plus connues en Grande Bretagne est Katie Piper. La jeune femme avait une carrière de modèle et de présentatrice de télévision.
Un jour elle rencontrera le grand amour, Daniel Lynch, une “chance” pour la Grande Bretagne, via Facebook. l’idylle ne durera que deux semaines. Après deux semaines le couple se rendit à l’hôtel. Katie ne cédant pas assez vite aux avances de son amant, ce dernier la viola et la violenta pendant de longues heures. Elle ne portera pas plainte par peur des représailles et se fit soignée à l’hôpital.
Daniel essaya de contacter Katie. Katie voulant lui donner une deuxième chance accepta de se rendre au cyber café du coin. Sur le chemin elle vit un jeune homme, Stefan Sylvestre, une autre “chance” et complice de Lynch, tenant un gobelet en carton à bout de bras. Croyant qu’il s’agissait d’un sans abris qui faisait la manche, Katie se baissa pour chercher son porte-monnaie, c’est à ce moment que Stefan Sylvestre lui envoya l’acide sulfurique contenu dans gobelet à la figure.
Katie à perdu l’usage d’un œil, elle perdu son visage que les médecins essayent encore de reconstruire à partir de peau prélevée sur son dos, elle n’a pas été capable de manger ni boire pendant des mois car l’acide a pénétré son œsophage, elle a subit 30 opérations à ce jour.
Daniel Lynch et Stefan Sylvestre ont été condamné à la prison à perpétuité avec 16 et 12 années incompressibles. Mais les coresponsables, les politiciens à l’origine de la politique d’immigration-invasion, ceux qui ont fait venir ces gens, ne seront pas inquiétés.
Aujourd’hui Katie est une victime parmi tant d’autres de la politique criminelle d’invasion. On parle d’elle en Grande Bretagne car son cas est particulièrement horrible.
Comme d’habitude on constate le silence assourdissant des médias francophones. Si la victime était une “chance” et le coupable un indigène, la news aurait fait la une de tous les journaux.
Source : Altermedia