Lu dans le Figaro de ce jour sous la plume d’Ivan Rioufol sur les réactions de la communauté juive après le procès du barbare tortionnaire Fofana et autres crimes : « La communauté juive, elle, désigne un danger qu’elle ressent comme étant un avertissement pour tous. Refuser de l’écouter est une manière d’accepter l’intolérable.
Pour autant, l’heure est aussi venue d’entendre les autocritiques de ceux qui auront contribué à la communautarisation de la société, ce possible prélude à son éclatement. De ce point de vue, nombreux auront été les intellectuels juifs français à avoir oeuvré (avec d’autres, certes) pour faire accepter toujours plus d’immigration extra-européenne, au nom de la terre d’accueil, du cosmopolitisme, du vivre ensemble. C’est un peu leurs résultats qu’ils contemplent, dans ces tensions dont leurs coreligionnaires sont devenus les trop fréquentes victimes. Qu’attendent-elles, ces belles âmes qui veulent à bon droit protéger l’identité d’Israël, pour réclamer de la mesure dans la politique d’immigration qui, en France, reste intouchable ? »
C’est très exactement ce que je n’ai régulièrement cessé d’écrire depuis des années et de dire sur Radio-Courtoisie. On attend donc toujours les repentances de l’ancien maoïste Bernard-Henri Lévy ou encore celle de l’inénarrable Enrico Macias, et de bien d’autres.
Source : Bernard Anthony